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À Niamey, les stations d’essence se multiplient tout comme l’essence fraudée vendue en bidon dans chaque coin de rue. À la pompe, l’essence coûte 540 francs CFA contre 500 francs l’essence fraudée : la différence qui fait le bonheur des habitants de Niamey(motocyclistes, taxi..).

Le Mondoblogueur Abdel Latif Idrissa et moi-même avons voulu mettre en lumière deux jeunes nigériens qui s’illustrent par les actions concrètes qu’ils mènent face à la pandémie de Covid-19. Ensemble, nous sommes plus forts !

Fatouma Maiga est une jeune étudiante et entrepreneure dans le domaine du e-commerce depuis 6 ans. Elle vend des articles en ligne. Comme beaucoup de gérants de business, elle a dû s'adapter à l'arrivée du coronavirus.

Au Niger, les lycéens vont devoir boucler le programme scolaire avant le baccalauréat prévu le 17 août. Je connais un jeune garçon dont la vie quotidienne a été bouleversée et les études menacées par la fermeture de son établissement scolaire.

Lundi 1er juin 2020, les cours ont repris au Niger après plus de deux mois de suspension pour cause de coronavirus. Je suis allé rencontré les étudiants de l'Université de Niamey.

Après deux mois de fermeture, les mosquées ont été réouvertes au Niger. Mais dans beaucoup de mosquées de quartiers de la ville de Niamey, les gestes barrières ne sont pas respectés, comme si le coronavirus n’était pas une menace.

Il m'a suffit de jeter un petit coup d'oeil dans mon quartier, à Niamey, pour constater que nous sommes tous touchés d’une manière ou d’une autre par ce virus.

Chez moi “Home sweet Niamey home”, ce sont les premiers mots qui expriment comment il m’est difficile et doux, à la fois, de penser à mon pays. Je suis peut-être partie trop longtemps de “chez moi”, mais si on continue encore aujourd’hui à écrire et à chanter que: “Home is where the heart is”, c’est bien parce qu’en partie c’est vrai. En effet, “chez moi” peut être l’endroit où je  concentre mes intérêts présents, en raison de…

Il n’est pas un seul misérable jour en Afrique subsaharienne, depuis plusieurs décennies, en milieu rural comme en zone urbaine où l’on ne localise pas régulièrement un grin, ce petit attroupement de personnes flânant autour d’une théière bouillante en train de refaire un monde qui leur a filé entre les doigts. Très souvent réunis dans un coin de rue à l’ombre d’un baobab, d’un manguier ou d’un acacia selon le…

M. Khamed Abdoulaye est Directeur général de l’Institut de formation aux techniques de l’information et de la communication de Niamey, Niger. Il est au Sénégal dans le cadre d’un atelier régional des écoles de formation en journalisme d’Afrique francophone, qui discute sur le cursus à proposer aux étudiants-journalistes d’Afrique francophone.Lire la suite de l’article…