Koffi John ZIDAH

Mémo pour plus tard

Je sais, ça fait bizarre de s’appeler soi-même par son prénom mais au point où tu dois en être, plus rien ne doit te paraître aussi bizarre. Aujourd’hui, j’estime que je vois le monde d’une certaine façon et que pour toi, cela a sans doute déjà changé.



Balade nocturne avec une princesse Peul

Deux (2) mois que nous nous envoyons des sexto et des snaps le matin. Il était temps de nous rencontrer et de réaliser les rêves que nous avions échangé, des rêves que nous avions construits ensemble.

Dimanche 16 heure et trente minutes, serein, je sors de la maison les écouteurs à l’oreille. J’écoutais en boucle « Négritude » de Youssoupha afin de rester assez poétique avant d’y arriver. Quelques heures plus tôt, pendant que je discutais encore avec elle sur Messenger, je dévorais Senteurs des fleurs fanées de Guillaume Djondo et la perspective de me retrouver dans un amour virtuel comme le décrit le poète dans le recueil me traversa assez vaguement l’esprit.

Dans le taxi, pendant que je relisais nos discussions, une vieille dame assise à côté de moi ayant aperçu la photo que la princesse m’avait envoyé quelques semaines plus tôt se mit à me sermonner sur les bonnes conduites. « Vous les jeunes d’aujourd’hui, vous ne savez même plus respectez les femmes et elles non plus ne savent plus respecter leur corps » disait-elle. J’avais hâte que nous arrivions à destination puisque la femme dans le taxi commençait à me mettre mal à l’aise et à m’ôter toutes l’excitation de la rencontre.

A 17h 40, j’étais à la plage et pendant que j’attendais encore, je remis mes écouteurs pour passer le temps.

18h, elle descendait d’une berline blanche. La vingtaine, les cheveux bien soyeux et un corps de rêve. Alors même que ses chaussures haut-talons touchaient le sol, j’entrevoyais ses belles cuisses correctement épilées luire au contact des derniers rayons de soleil. La soirée promettait d’être gracieuse. Très rapidement, nous nous sommes retrouvés dans un des nombreux bars jonchant la côte.

Un cocktail à la main, plus de la complimentais, mieux elle souriait. Elle avait un sourire aussi rayonnant qu’innocent. Très vite, elle me dit qu’elle avait envie de marcher. Je lui proposai alors une petite balade nocturne et elle accepta aussitôt ma proposition.

Nous avons marché une cinquantaine de mètres environ quand je senti la belle inconnue frissonner. Je lui remis alors mon par-dessus en bon « gentlemen ». Elle avait encore souri et elle s’arrêta pour me regarder pendant quelques secondes puis pris un air triste. « Ais-je dit ou fait quelque chose de mal ? » lui avais-je demandé. Elle me répondit « non mon chéri, je viens juste de me rappeler que le dernier était aussi gentil que toi et pourtant je n’ai pas pu résister à l’envie de lui planter un poignard en plein cœur ». La réponse me fit à mon tour prendre un air inquiet et elle éclata de rire. « Wow je ne savais pas que tu pouvais être aussi sensible » lança-t-elle toujours en riant. J’ai souri puis j’ai ris. Elle me regarda dans les yeux et je fis pris d’une folle envie de l’embrasser.

Ça faisait environ deux minutes que nous nous ambrassions. Son haleine fraiche et mentholée me donnait l’impression de voguer sur une mer à la fois douce et tumultueuse. Mes mains retraçaient les contours de son magnifique corps. Je frissonnais à mon tour ; pas de froid mais de désir. Elle se laissait faire.  Alors même que le plaisir commençait à envahir nos deux corps, je m’arrêtai quelques secondes comme pour reprendre mon souffle et je me remis à marcher. Elle me suivi assez étonnée. Un silence assez gênant s’installa alors. Je lui proposai de me raconter son histoire. « Je n’ai pas d’histoire, en tout cas plus maintenant » me répondit-elle. Je lui expliquai alors que nous avons tous une histoire, et ceux qui prétendent ne pas en avoir, sont ceux qui veulent la cacher.

Elle me raconta une histoire pleine d’émotion qui m’arracha une petite larme. « Elle est bonne à aimer celle-là » m’étais-je dis tout bas.

Je lui proposai alors un petit passage à la maison et elle ne déclina pas l’offre. Arrivé, nous entrâmes dans ma chambre et des baisés langoureux se mirent à pleuvoir. Très vite, nous nous allongeâmes sur le lit et je me suis pendant un petit moment d’égarement arrêté pour contempler le joli spectacle qui s’offrait à moi. Cette fois ci, je m’étais promis d’atteindre avec elle des cimes d’un plaisir extatique. Mes mains tremblantes prirent possession de la féminité de la princesse en explorant chaque parcelle de son corps avec l’assurance d’un homme ayant percé tous les secrets intimes de la femme.

« John, John (…) » entendis-je. Le bruit venait de très loin. Je senti alors une petite pincette à l’épaule « John réveilles-toi, tu vas rater ton rendez-vous ! ».

Oui je dormais. Je venais de prendre un whisky que j’ai toujours eu du mal à supporter. Il était 17 h. Je me préparai alors pour une longue balade avec la princesse Peul comme convenu.


Mon top 5 des influenceurs togolais

Le sujet des influenceurs et du marketing d’influence est revenu dans plusieurs débats sur la toile cette semaine. Les positions sont bien divergentes sur le sujet. Alors qui est-ce qui peut être considéré comme un influenceur et comment les reconnaître? Voici mon top 5 des influenceurs togolais.

 

Qu’est-ce qu’un influenceur et où peut-on en trouver?

Au sens le plus large et dans un contexte marketing, un influenceur est une personne qui par son statut ou son exposition médiatique peut influencer les comportements de consommation dans un univers donné. Ces influenceurs sont donc susceptibles d’accompagner les marques dans le cadre d’actions et dispositifs marketing spécifiques. L’influenceur est donc celui qui arrive à modifier ou à canaliser dans un sens le comportement de son audience.

L’influenceur est donc celui qui arrive à modifier ou à canaliser dans un sens le comportement de son audience.

Aujourd’hui, le terme est plus utilisé pour designer les influenceurs du  digital mais il faut garder à l’esprit qu’il existe plusieurs types  d’influenceurs. De l’influenceur statutaire à l’influenceur presse en passant par l’influenceur célébrité et l’influenceur social ou digital, ils sont bien nombreux à influencer nos choix.

Ses publications engagent, attirent l’attention et transmettent un message qui fédère sa communauté. L’influenceur possède souvent une audience très vaste et repartie sur les différents réseaux sociaux ce qui lui permet de toucher le lecteur où il se trouve.

La notion d’influenceur est une notion très relative et sujette à débat. Les frontières peuvent être floues et mouvantes. Pour approfondir le sujet, il faut se reporter au glossaire du marketing d’influence (celui proposé par Traackr ici) qui regroupe une centaines de termes consacrés au sujet.

En recherchant du contenu en ligne, que ce soit rédactionnel ou visuel, vous tomberez forcément sur un influenceur. Et pour le moment, il n’y a pas d’autres moyens de les trouver  même si certains annuaires et outils peuvent vous y aider.

 

 

Mon top 5 des influenceurs togolais.

Cet article pourrait être intitulé : »qui sont les cinq(5) personnes qui m’influencent le plus? ». Ils sont des modèles, des blogueurs ou simplement experts dans leurs domaines, ces cinq personnes sont selon moi(moi uniquement) dans le top 5 des influenceurs au Togo. Alors voici, en attendant un sondage dans les jours à venir mon top 5 des influenceurs togolais 

 1- Noël TADEGNON

 

Noel Tadegnon

Journaliste multimédia depuis plus de 25ans, Noël Kokou TADEGNON est le correspondant au Togo de Reuters Télévision, Deutsche Welle, Canal+ Afrique. Cet influenceur presse pour qui le sujet du marketing d’influence n’est pas inconnu et qui soutien  que « tout le monde influence les autres d’une façon ou d’une autre » est l’une des personnes qui influencent le plus au Togo.

 

2- Cina LAWSON

Cina Lawson

Femme politique et ministre des postes et de l’économie numérique depuis le 17 septembre 2013, Cina LAWSON a été désignée « jeune leader mondial » par le forum économique mondial puis classé parmi les « 20 jeunes femmes les plus influentes en Afrique » par le magazine Forbes et en 2013, elle faisait partie des « 25 femmes les plus influentes du business en Afrique » selon le journal Jeune Afrique. Elle soutient l’action des jeunes entrepreneurs et acteurs du digital. Ses interventions au Forum des jeunes entrepreneurs togolais et à la cérémonie de lancement du projet wifi campus et sa présence sur les réseaux sociaux m’ont permis de la classer comme la personnalité politique la plus influente au Togo.

 

3- Trysha GABA

– Trysha Gaba

Blogueuse depuis 2012, Trysha GABA est une togolaise expatriée en France. Son blog a été cité par le journal Jeune Afrique comme l’un des dix(10) meilleurs blogs mode et tendances en Afrique, la jeune maman de 26ans fédère par le contenu soft de son blog et ses  belles photos instagram, une très importante communauté. Cette dernière  n’est pas essentiellement togolaise mais, la blogueuse est bien connue sur la toile togolaise comme l’une des meilleures du pays.

 

4-  Guillaume DJONDO

-Guillaume Djondo

Élu Meilleur blogueur togolais en 2016, Guillaume DJONDO est juriste de formation, consultant en relations publiques et blogueur passionné depuis près de 5ans. Il milite pour la bonne gouvernance au Togo et est fervent défenseur des Droits humains. Sur son premier blog, il dit de lui même qu’il « allume son cerveau pour faire de ce blog une plateforme d’aveu de ses opinions. Avec plus de 27000 followers sur facebook, et plus de 70000 visiteurs mensuel sur son blog, Guillaume est l’influenceur digital type togolais.

 

5- Aphtal CISSE

-Aphtal Cisse

L’un des premiers blogueurs togolais et l’un des meilleurs, Aphtal CISSE est aussi juriste de formation, social média manager et  » citoyen du monde par principe ». Il  fait partie des ténors des réseaux sociaux au Togo. Il est l’instigateur de la campagne #FaisonsLesComptes qui a défrayé la chronique sur les réseaux sociaux. Il fait partie des personnes qui influencent le plus sur les réseaux sociaux et son nom est le plus cité lorsqu’il s’agit d’énumérer les influenceurs togolais sur la toile.

Ces cinq(5) influenceurs impactent et influencent à eux seul plusieurs jeunes au Togo et ailleurs. Et à cause de l’absence d’un sondage officiel sur les influenceurs au Togo, nous ne pouvons que spéculer et définir à notre convenance les influenceurs.

Si je devais aller plus loin, je citerai sans doute des leaders d’opinion comme : André Afanou, Micheline Sodjede; des blogueurs comme: Le salaud lumineux, Golden BettyEmmanuella EtchriGloria Agowu (…) ou encore des entrepreneurs comme Ismaël Tanko, Séname Koffi (…).

 

Et vous dites moi qui au Togo ou dans votre pays mérite l’appellation   influenceur?

 


Avec son blog, Florian Meloux veut que les sourds « rêvent plus grand »

Que représentent nos handicaps pour nous ? Des obstacles ou des opportunités de s’engager et de changer quelque chose dans le quotidien des autres ?

Très souvent, nous passons notre temps à nous plaindre, à nous apitoyer sur notre sort, sans faire l’effort de penser aux solutions ou même de chercher à informer les autres sur notre problème.

Le blog représente un excellent moyen de partager avec les autres, de les sensibiliser, les conseiller mais aussi de leur redonner espoir. Et quand on lit des blogs dans lesquels on sent un véritable engagement, on a très envie de le partager avec les autres et de le faire connaitre.

Le blog de Florian Meloux

Je suis récemment tombé sur le blog Le monde des sourds et j’ai toute suite aimé le contenu du blog. Un blog qui met en lumière l’univers des personnes atteintes de surdité, qui essaye de leur redonner espoir, qui incite aussi les gens à innover, à utiliser le digital pour améliorer leur quotidien. Je me suis donc intéressé de plus près à son auteur, Florian Meloux, un jeune sourd de 24 ans. Il fait un master en e-business (commerce sur internet) à l’Ecole supérieure du digital à Paris. Il a bien accepté de répondre à mes quatre questions.

  • Bonjour Florian, parle-moi de ton parcours et de ce qui t’a poussé à te lancer dans le blogging.

Bonjour John. Je suis sourd de naissance, je pratique la langue des signes et l’oral. Je suis implanté à l’âge de deux ans avec un appareil cochléaire. Actuellement, Je suis en master e-business à Paris. Mon objectif est de simplifier la vie quotidienne des sourds et de rendre la communauté sourde heureuse grâce aux outils numériques. Dans le futur proche, j’aimerais créer une start-up pour créer un outil du numérique (application, objet connecté, intelligence artificielle…) pour optimiser l’égalité des chances entre les sourds et les personnes qui entendent bien.

Le blog est un outil d’information, j’ai besoin d’informer un maximum de personne sur la surdité, car c’est un sujet méconnu. Également, j’ai besoin de réseau et de relations pour réussir dans le monde des entrepreneurs. Enfin, comme je voulais devenir entrepreneur j’ai lu le livre d’Olivier Roland Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études. Il m’a poussé à créer un blog.

  • En tant que personne sourde, à quels défis as-tu fait face avant de créer ton blog ? Le monde des sourds est-il ton premier blog ?

Comme je disais, mon défi est d’informer un maximum de personnes sur le monde des sourds, la culture sourde et la communauté sourde. Ils méritent d’avoir une place dans la société.

Oui, c’est mon premier blog, il y a pas mal de gens qui sont intéressés !

  • Quel message souhaites-tu diffuser à travers ton blog ? Aux personnes sourdes ? Et à tout le monde ?

Mon message est d’abord pour les sourds, mais aussi pour les entendants et les parents d’enfants sourds.

– Pour les sourds, j’ai plusieurs objectifs :

  • Donner des conseils pour trouver un stage ou un travail,
  • Communiquer avec les entendants,
  • Utiliser les applications pour simplifier la vie quotidienne,
  • Et bien sûr, mieux connaitre le monde des sourds.

– Pour les parents d’enfants sourds, je peux donner des conseils :

  • Trouver une bonne école, pour avoir un bon parcours d’études,
  • Informer sur les aides pour les sourds dans la vie quotidienne,
  • Communiquer avec leurs enfants, donc apprendre la langue des signes,
  • Rencontrer d’autres parents.

– Pour les entendants :

  • Apprendre la langue des signes,
  • Connaître la surdité,
  • Communiquer avec un sourd,
  • Rencontrer un sourd.

 

  • Qu’ambitionnes-tu pour ton blog pour les deux prochaines années ?

Publier deux articles par semaine, ça fait 192 articles en deux ans ! Pour l’année prochaine, je veux avoir au minimum 1500 abonnés à ma newsletter et 1000 visiteurs par jour. Rêvons plus grand !

 

Lien vers le blog de Florian : Le monde des sourds.fr


Parce qu’on l’aime en blanc et en noir!

La page est toujours blanche. Depuis un mois, j’ai essayé de la remplir mais hélas M. Inspiration est absent. La monotonie et la routine ont tout balayé sur leur passage. Alors il a fallu fermer. Ne plus y penser et vaquer à ses occupations sans se retourner, faire 2000 tweets et changer de nom d’utilisateur puis le changer encore. Je voulais montrer que je le pouvais –oui je le peux- mais c’était impossible avec la pression qui devenait beaucoup plus grandissante. Les gars avaient mis la barre trop haute.
Il fallait sortir, aller découvrir, vivre dangereusement. Il fallait prendre des risques, monter sur des marches sans se soucier de ce qui pouvait se passer ensuite. Et parce que le monde est devenu trop connecté, passer de temps à autre sur Facebook fouiner dans la vie des autres sans pour autant savoir pourquoi. J’ai longtemps refusé de croire que les réseaux sociaux pouvaient être un frein à la créativité.


Je suis allé rencontrer des gens que je considérais comme extraordinaires sans pour autant découvrir ce qui en eux les rendait extraordinaire. Il faut écrire. Mais quoi ? Il fallait remplir le blanc sans plagier ou faire du copie coller. On veut toujours faire du parfait sans se demander concrètement ce qui l’est.
Puis un soir qui reste encore flou dans ma mémoire, on m’a dit qu’il fallait se lever et faire le pas sans se soucier de ce que les gens penseront. Et parce que contrairement à ce que je pense, le monde ne tourne pas autour de moi. Les gens ont des problèmes à résoudre et donc se foutent de ce que je ressens ou de ce que je fais à moins que ça ait un effet sur leur vie ou sur leurs problèmes. Ils ne me remarqueront qu’au moment où je l’aurais fait. Alors il fallait se lever.
L’objectif est-il de prouver quelque chose aux gens où de se faire remarquer ? Et bien oui ! J’ai fini par ne plus me voiler la face. On n’écrit pas un blog que pour soit. On l’écrit aussi pour les autres.
Retour à la page blanche…

Page blanche
La page blanche

Elle est toujours blanche et donc à remplir. Un peu de créativité et beaucoup de courage. Voir des mondes à travers le miroir, imaginer et sourire à la vie. Puisqu’on l’aime en blanc et en noir, un peu d’encre et on pourra expliquer.


Les écouteurs dans l’oreille et la berceuse voix d’Ellie Goulding dans l’oreille et dix minutes plus tard tu te rends compte que tu as écrit 400 mots.


Me revoilà!

Une année de silence et me revoilà ! J’ai entrepris ce blog dans l’espoir de faire quelque chose d’exceptionnel et de vivre avec vous une aventure fantastique. Et pourtant juste après la sélection mondoblog, je suis tombé dans une espèce de « bulle de paresse » sans fin et de manque d’inspiration. J’ai beau lire de belles histoires, de beaux billets et des citations inspirantes, RIEN ! Monsieur inspiration m’a juste dit au revoir. J’ai essayé de passer par une porte dérobée et raconter ma vie mais, il semble que ma qu’elle ne soit pas aussi palpitante que je le pensais.

Entre temps, j’ai essayé de trouver les meilleurs titres possibles au blog – je me suis dit que ça pouvait sans doute me permettre d’être plus inspiré – mais cela n’a eu aucun effet. Le vrai problème ce n’est pas que je n’avais rien à dire mais c’est que je me souciais du regard des autres. Je voulais écrire des articles qui frôlent la perfection. Faire vibrer tous les cœurs qui me liront. J’ai même cherché à partager ici avec vous ma plus grande passion qu’est l’entreprenariat. Mais hélas je n’ai pas su trouver les bons mots. Pourtant je pensais avait vaincu la timidité depuis un bout de temps. Comme quoi les vieilles habitudes ont la peau dure.

Mais, je suis passé à une étape supérieure. Une nouvelle manière de penser, une nouvelle façon d’agir. Pour moi, il ne s’agit plus de simplement tourner les mots pour obtenir des textes très longs avec un sens ambigu, ni d’avoir juste le bon style pour ne rien dire en fin de compte. Aujourd’hui, le blog c’est pour moi une façon de m’inspirer moi-même d’abord puis d’inspirer les autres, une façon de pouvoir prendre la parole sans me soucier du temps ou encore une façon de répondre à la vie.
Alors me revoilà, pas pour vous faire tous frissonner en même temps mais un à un. Il ne s’agira plus d’inspirer tout le monde à la fois mais d’inspirer ne serait-ce qu’une seule personne. Il ne s’agira plus d’essayer mais de faire.

A très vite !


Pourquoi entreprendre ?

Bien le bonjour chères toutes et chers tous !

On pose souvent aux écrivains, aux poètes, aux philosophes et aux autres littéraires la question « pourquoi écrire ? ».  Aux activistes « pourquoi militer ? », aux élèves « pourquoi étudier ? » et même aux humoristes on demande parfois « pourquoi faire rire ? ». C’est très compliqué à définir pour ces derniers. Deux écrivains donneront deux réponses différentes (…). Il y a donc toujours une raison qui nous pousse à faire ceci ou cela, à choisir un secteur d’activité plutôt qu’un autre. Il y a une raison qui pousse les entrepreneurs à entreprendre et il y a une raison pour laquelle vous devez vous lancer et devenir ce que j’appelle « l’entrepreneur du futur ».

Pourquoi sont-ils entrepreneurs ?
Comme les écrivains ou les humoristes, il y a diverses raisons qui poussent des gens à entreprendre. Il y en a qui en sont de bonnes, et aussi de mauvaises. Les bonnes raisons vous porterons infatigablement vers le succès et les mauvaises soit vers une prise de conscience soit vers l’échec totale.
– L’envie de liberté, d’indépendance : c’est une raison très commune aux entrepreneurs. Ils veulent être libre, ne pas recevoir d’ordres, rester maîtres de la direction que prendra leur bateau. Ne plus se laisser donner des ordres par un chef qu’on trouve nul.
– L’envie de mieux faire : beaucoup d’entrepreneurs en ont simplement marre du statu quo et veulent mieux faire, changer ce qui est, faire évoluer les choses. Ces genre d’entrepreneurs est porté par une énergie tellement grande qu’il est capable de se relever après plusieurs échecs ou de porter une boîte le plus loin possible.
– Pour répondre à un besoin : la nature a horreur du vide ? et bien, les entrepreneurs aussi.
– L’envie d’être riche : c’est une raison que beaucoup cachent mais qui n’en demeure pas moins une. C’est également la pire des raisons qui peut conduire quelqu’un à entreprendre parce que très vite il se rendra compte qu’il ne devient pas riche et qu’au lieu de cela, il est obligé de faire des efforts financiers pour emmener la boîte plus loin.
– L’envie de se surpasser : certains entrepreneurs ont eu un jour et continuent d’avoir l’envie de se montrer qu’on est capable de faire des plus extraordinaires que ce qu’ils faisaient jusque-là ou ce qu’ils ont fait.
– Prouver aux autres ou le défi : très souvent, on veut montrer à la famille qu’on est beaucoup plus qu’ils le pensent, on veut plaire aux amis, aux gens etc…
– Laisser une trace : innover, créer, entreprendre : ils veulent coûte que coûte laisser une trace de leur passage sur terre, impacter.
– Avoir une idée : parce qu’ils ont une idée ! (aucun commentaire 😉 )
– La vocation : c’est la partie qu’on ne comprend pas et mais qui englobe toutes les raisons. C’est pour certains « un appel mystique et quasi divin » qu’ils reçoivent.
– Et toutes les bonnes et mauvaises raisons que vous pouvez avoir.

Pourquoi vous devriez lancer votre entreprise

Nous pouvons encore citer mille et une raisons qui poussent les gens à entreprendre mais nous ne le ferons pas ! Si vous portez l’une des raisons précitées et que vous avez un minimum d’ambition et de courage, vous devez vous lancer et avec un peu de chance, vous réussirez peut-être à changer l’Afrique et le monde. N’oubliez simplement pas que « l’entrepreneuriat est un sport d’endurance et donc nécessite patience et courage ».


Le livre, le film et moi.

Livre Ouvert
Livre Ouvert

Imaginez une journée ordinaire, vous vous réveillez sans aucune urgence et vous avez le choix entre sortir, lire et regarder votre série favorite.
Bien le bonjour chers tous et chères toutes ! Depuis un bon moment nous sommes en vacance (en tout cas moi depuis quelques semaines seulement), et c’est pour moi l’occasion de me gaver de plusieurs séries télévisées. Je choisi de me plonger dans d’ancienne séries comme « Spartacus », « the Borgias » ou encore « Da Vinci demons ». L’ambiance est particulière, la sensation encore nouvelle entre les scènes sexuelles et les scènes violentes. Je bandais encore et encore. Et je change parfois l’ambiance avec « the house of cards » qui montre les coulisses de la politique (américaine en occurrence). J’ai même à un moment eu l’envie très forte de lancer un blog professionnel dédié au 7ème art (une idée que j’ai toute suite avorté en me tournant vers la réalité togolaise en matière de cinéma). Et puis j’ai pensé, pour tout coiffer, à de petites balades (qui je ne mentirai pas se révèlent très instructives). Sérieusement, je passe de bonnes vacances mais avec la sensation d’un profond vide. Qu’est-ce qui me manque – ou me manquait ?
Je suis en quelques semaines seulement devenu très « addicted to films ». Je ne peux rien faire d’autre sans avoir fini les saisons entières que j’ai. Et dès que ceux-ci finissent, je cours en chercher d’autres. Pourtant malgré les informations que je peux collecter dans ces films, j’ai l’impression de flotter dans l’irréel. Même mes nuits, je les passe devant l’écran de la télévision. Et pourtant, je n’ai rien appris de nouveau ; au contraire, j’ai perdu beaucoup de mes habitudes parmi lesquelles écrire un blog.
Il y a trois jours, je me suis réveillé et j’ai pensé à ce que je faisais de mes vacances. J’ai donc compris que je ne faisais rien pour ma culture personnelle à part connaitre le nom de quelques acteurs et les séries dans lesquelles ils ont tournés, les traits de quelques actrices particulièrement belles. J’ai donc choisi à tout hasard trois(3) blogs et je suis tombé sur des articles très intéressants que j’ai « dévorés ». Je suis revenu à une conclusion très personnelle : la lecture nourrit l’âme plus que tout. Pour les chrétiens, la formule n’est pas nouvelle. Je suis retourné le lendemain lire quelques articles et j’ai choisi un roman, je me suis mis à lire te j’ai compris. La lecture ne peut être remplacé ou encore la lecture rend plus intelligent.
La télévision (je parle ici des films) peut-elle vraiment remplacer la lecture ? En partant de mon expérience, je peux affirmer que non ! Mais aujourd’hui, les bibliothèques sont quasiment vides. WhatsApp et les séries grand public ont remplacé la culture de la lecture. Même les bibliothèques en ligne ont moins d’abonnés que Candy Crush ou Pokémon (les jeux en ligne auxquels je suis également accro). Quelle avenir sommes-nous en train de préparer ? Un avenir numérique où la lecture est bannie ? Un avenir où nous nous exprimerons de plus en plus mal ? Oui puisque c’est dans les livres que nous puisons tout. Aujourd’hui internet nous offre des sites web et des blogs qui nous donnent des textes à lire gratuitement. Pourquoi ne pas en profiter ? Nous devons donc tous nous remettre à la lecture.
Mon chalenge pour les prochains jours est de lire plus de textes que j’en ai lu toute ma vie. Et c’est une tâche ardue que nous devons tous inscrire sur notre agenda. Au reste, je vais continuer à suivre (mais pas au même rythme) des films histoire de ne pas perdre la main et qui sait, peut-être aurais-je un jour le courage de lancer un blog cinéma. 😉


Le web: en 25ans, nos vies ont changé.

Le 20 décembre 1990, Tim Berners-Lee mettait en ligne le tout premier site Web créé à partir des standards HTML qu’il a lui-même inventés, depuis un ordinateur NeXT du Conseil européen pour la recherche nucléaire (le Cern). Un site qui n’a pas été mis tout de suite à la disposition du public (mais réservée au CERN). Cette étape arrivera en août 1991. C’est le début d’une longue histoire qui changera nos vies à tout jamais.

Le CERN raconte que La toute première page Web mise en ligne donnait aux chercheurs des informations sur l’avancée du « projet WorldWideWeb ». Il prévoyait l’utilisation massive des liens hypertextes, reliant chaque page à une ou plusieurs autres, tissant ainsi une toile qui pourrait, sait-on jamais, prendre une dimension mondiale.
Bien le bonjour chères toutes et chers tous. Voilà 25ans que le tout premier site web à été mis en ligne (ou pour dire vrai, mis à la disposition du public). Le pari du projet « Word Wide Web » qui était de relier le monde entier sous forme d’une toile est presque atteint. Et aujourd’hui encore, l’extension du web n’est pas prêt de s’arrêter. En vingt cinq (25)ans, il y’a eu pas mal d’évolution. Le langages de codage s’est aujourd’hui amélioré et grâce à l’extension de l’Internet, tout le monde peut communiquer, tout le monde peut avoir  les informations dont il a besoin, tout le monde peut accéder au web.

Le web ou internet?
J’ai lu un article selon lequel il ne faudrait pas confondre l’avènement du WWW à celui de l’Internet. Il est certe vrai que les « protocoles » sur lesquels se bases internet (et encore faudrait-il que je sache ce dont je parle; j’espère ne pas raconter des âneries) ont été développé avant la première ligne de code HTML mais n’empêche que c’est l’avènement du web qui a fait connaitre internet au monde. Je dis donc que le web n’est que la version public de l’Internet.

 

Internet et nous, toute une vie.

Je me pose très souvent la question de savoir ce que serait notre monde sans internet aujourd’hui. Nous sommes devenu presque tous des « individus connectés ». Plus rien n’arrive sans passer par internet. Depuis Premier achat sur Internet : une pizza au pepperoni, commandée chez Pizza Hut en 1994, plus rien n’est comme avant. Les innovations passent par internet, la vie en générale passe par internet.
Internet nous a gratifié de beaucoup de choses. Les réseaux sociaux nous rapprochent de ceux qui sont loin de nous et nous facilitent la vie, les objets connectés nous permettent de surveiller ce que nous voulons quand nous le voulons.

 

Internet: un objectif atteint?

Oui et non! Lorsque le CERN lançait le WWW, l’objectif qui était de relier le monde entier à travers une toile est atteint. La preuve, je peux me mettre derrière un écran et communiquer avec n’importe qui mais, si l’on devait voir le côté négatif de la chose, on se rendrait compte que l’explosion de la bulle internet a entraîné une autre forme de délinquance, d’inconscience et d’insouciance à voir l’usage qui en est fait aujourd’hui (piraterie, pornographie…).

Vingt cinq (25) ans qui me permettent aujourd’hui sans aucune connaissance en informatique d’écrire un blog. Un grand merci à Tim Berners-Lee pour ce précieux cadeau et puisse l’avenir de l’Internet soit encore plus merveilleuse.


Le journal de mes délires

Regarder par la fenêtre.
Regarder par la fenêtre.

Bien le bonjour ou bonsoir (selon votre position par rapport au soleil) chères toutes et chers tous. Il serait certainement plus polie de commencer par une petite présentation de ma personne mais là, je ne suis pas vraiment sûr de pouvoir dire qui je suis ou ce que je suis. Je m’appelle Igor et je suis né il y a tout juste 26 pluies. Je suis certainement un éclectique qui aborde un autre virage de sa vie, un petit oiseau qui cherche encore de l’altitude. Bref je ne suis pas un être comme les autres. Je suis particulier. Un diagnostic psychologique me décrirait sûrement comme un schizophrène paranoïde en constant délire :D. Mais je suis un sain qui déborde d’imagination et qui devient de temps à autre incohérent.
Depuis un moment, je tiens un journal (pourrais-je le nommer « intime »? Certainement pas puisque vous le lisez en ce moment même) qui me permet de garder en mémoire certaines parties de ma sombre existence. Je vais partager ce journal avec vous. Mais avant de commencer, je dois rappeler que certaines parties de ce journal (au mieux certaines parties de mes délires) sont de caractère « chauds ».
Je commence donc par le tout début de mon histoire (celle que j’ai noté avant d’avoir tout oublié). Tout ce dont je me rappelle de ma vie commence mercredi 24 Mars de l’année 2004.

 

24 Mars 2004: Premier délire.

L’horrible bruit de mon horloge-réveil me tira du lit de très bonne heure. Une espèce d’angoisse me dévora l’esprit. Je ne pu dire quelle en était la cause mais certainement à cause de ce programme ridicule d’intégration entre élèves que mon lycée avait mis en place. J’étais claustrophobe donc je prenais toujours mon bain en laissant la salle ouverte mais ce matin, j’ai eu l’impression que quelqu’un me regardais donc je me suis enfermé dans la salle. À la sortie, j’étais presqu’en retard pour les cours. Heureusement, mon oncle Kyle me déposa au lycée.
À l’entrée du lycée, il y avait cette fille aux yeux doux, l’allure parfaite et le sourire aussi frais et rafraîchissant qu’un jus d’orange glacé. Elle était l’incarnation de la femme parfaite que je m’était taillé depuis un long moment. Elle était certainement venu pour moi, elle avait sûrement une image du mec parfait qui me décrirait sans nul doute. Je la dévisageais de temps à autre mais, elle avait le regard fixé sur moi. Je me sentais enfin homme après toute une vie de solitude.
J’ai imaginé plusieurs scénarios d’approche pendant que j’étais debout à l’entrée. Pendant un petit moment, j’ai cru qu’elle venait à moi mais Isaak (un camarade aussi fou que moi) me toucha l’épaule et m’invita à entrer avec lui dans l’enceinte. Il ne m’avait jamais vu admirer une fille et il est un gros moqueur donc j’ai dû garder ce que j’ai vu pour moi tout seul et avec un petit sourire en coin figé, je rentrait en classe tout content.
Le cours paraissait trop long, les minutes étaient plus longues que d’habitude. Le professeur me parlait directement ce matin là. Il parlait de ma naïveté, de mon inconscience et de mon insouciance (disait-il vraiment tout cela?). Le cours fini plus tôt que prévu. À la cantine, la fille tenait un plateau vide entre les mains et se dirigea de pied ferme vers moi. « j’aimerais bien manger mais si tu viens discuter avec moi, je pense que je pourrait m’en passer » m’a-t-elle dit d’un ton enjôleur. Je n’ai pas pris le temps de réfléchir une seule seconde. Elle m’emmena dans une salle vide et commença directement par ôter ses vêtements. Je contemplais les courbes de sa douce peau sans tache pendant un bref moment avant de lui demander pourquoi se mettait -elle à nu. Elle ne répondit pas- sans doute parce que le désir la brûlait de l’intérieur. Sa main fine et douce suivit le contour de ma mâchoire virile, descendit le long de mon cou, se faufila dans l’échancrure de ma chemise que j’avais pris le temps de deboutonner. La lueur qui brillait dans ses yeux ne laissait aucun doute sur ses intentions. Je saisi le message. Immédiatement, une vague de désir me submergea. D’un geste impatient, elle retira son soutien gorge pour m’offrir deux superbes courbes assorties de boucles. Un très beau spectacle. Le besoin que j’avais de la posséder devenait douloureux, presque insupportable. Et puis….
Plus rien la jeune fille dont je n’avait même pas connu le nom avait disparue. Je remis en place mes boutons avant de voir Isaak rentrer dans la salle. Il était tout souriant. Je ne pouvait m’empêcher de lui raconter mon histoire. Je commençait par « tu sais Isaak… » quand il me secoua me demandant de revenir à moi. Je ne comprenais rien et pendant un instant, j’ai cru qu’il devenait fou. Il insista puis pendant un bref moment de relâchement, je vis ma mère debout la main sur mon épaule. Elle me parlait depuis une vingtaine de minutes mais j’étais en plein délire. Quand j’étais complètement revenu à moi, je senti une humidité dans mon caleçon: j’avais déversé ma semence dans mon délire.

 

…À suivre


Quand on décide de partir

Ce n’est forcement pas tous les jours que nous sommes content de notre vie ou que nous sommes confiant pour un avenir meilleur. Parfois, nous faisons des erreurs qui, vu leurs effets, nous semblent irréparable. Mais malgré tous ce qui peut nous traverser l’esprit à ces moments, nous ne pensons jamais à la fin. Nous craignons d’aller en prison, de tomber malade, d’être ruiné mais jamais il ne nous traverse l’esprit l’idée du dernier départ. Mais pour certains, c’est l’unique solution, la seule alternative: partir à ne point revenir.
Bonjour (ou bonsoir) chères toutes et chers tous. L’avenir est un fléau que nous craignons tous et en même temps une manne que nous cherchons à manger. Nous avons tous à l’esprit une idée de comment l’avenir devrait être pour nous. Et, puisque nous ne pouvons rien prédire, l’avenir vient nous surprendre; elle vient à nous avec tout ce que nous avons demandé, mais pas que. Elle vient également avec l’autre partie, celle que nous détestons mais que nous sommes condamnés à combattre toute notre vie. Avez-vous déjà songé à tout abandonner et à partir?
Avez vous déjà songé à quitter votre quotidien et « traverser le voile »? Certainement pas! Nous sommes trop fiers pour faire une tel bêtise, trop humains pour penser comme des « vampires ». Un « ami » me racontait « comment il a essayé de partir ».

C’était après une semaine entière passé sans 1 franc en poche et après une dispute avec ma mère que je pris une corde pour aller mettre fin à mes jours, m’a-t-il dit. J’étais fatigué de vivre cette vie de (…) et d’avoir à fêter le succès de mes amis avec eux sans le connaitre personnellement. Je me suis isolé dans ma chambre et pris une plaquette entière de paracétamol (un truc de dingue) avant de faire un nœud solide, accrocher le bout de la corde à une planche du plafond de bois. Je ne fis aucune prière et je n’ai même pas pensé à laisser une note (…). Lorsque le tabouret sur lequel j’avais les pieds glissa, je sentais mon souffle diminuer, mes mains et pieds se refroidir. J’ai juste eu quelques minutes pour regretter ce que je fesais quand un cri assourdissant me ramena sur terre. Mon père accouru et trancha la corde avec un couteau. J’étais furieux de n’avoir pas fini ce que j’avais commencé et en même temps content d’avoir été sauvé. J’avais peur d’affronter l’avenir en voyant ce qu’est mon présent.

Ce n’est pas tous les jours qu’on peut être sauvé d’une corde que nous avons pris le temps de faire. Chaque jours, les gens accablés de souffrances, décident d’en finir avec leur vie, ils décident de tout laisser tomber et de partir loin. Déprimé, opprimé, rejeté, comprimé (…), ils ne trouvent plus la dose de positivisme nécessaire pour continuer à croire. Et pourquoi continuer de souffrir?Vous allez donc décider du jour de votre mort, de l’heure à laquelle vous allez quitter la terre. Vous allez mettre fin à une souffrance qui dure depuis trop longtemps.
Le succide, c’est tout un processus, et contrairement à ce que nous croyons ou que nous nous efforçons de croire, il ne s’agit pas d’une personne qui décide par lâcheté ou par égoïsme -quoique ces deux causes existent- de mettre fin à ses jours, mais il s’agit de personnes qui rongé de l’intérieur par les souffrances finissent par perdre complètement leur cœur. Ces gens, nous les croisons chaque jour dans la rue, nous les dépassons, nous faisons tout pour les blesser encore plus. Si seulement nous pouvons savoir que ce rire moqueur que nous envoyons à un tranquille monsieur qui dans un geste maladroit à fait une bêtise allait causer sa mort, l’aurions nous fait? Encore faut-il que nous revoyons notre comportement et notre vie en société. Le vivre ensemble, oui le vivre ensemble.
Et voilà pourquoi les coach en motivation et en développement personnel sont utiles. Même si parfois les discours ne suffisent pas, ils remontent le moral à ceux qui n’en n’ont presque plus.
Si vous pensez au suicide un jour, pensez à votre femme, votre mère, votre père, vos enfants, vos amis, toutes ces personnes qui pensent à vous, qui vous aiment. Pensez au vide que vous allez laisser dans leur vie et renoncez-y. Votre ego démesuré, tentez de le contrôler. Quand vous déciderai de partir, sachez que personne ne fera l’éloge de tout le combat que vous avez mené sur cette terre mais on ne parlera que de votre lâcheté, de votre arrogance et votre égoïsme. Si vous y pensez toujours, cessez de penser et dormez tranquillement… La vie est faite de haut et de bas, ne laissez jamais les bas vous emporter.