metzou8

Agressions au marché de Colobane : les jeunes filles ciblées !

agressionsLes jeunes filles ne savent plus quel chemin emprunter au marché Colobane. Et pour cause, des actes de grand banditisme et d’agressions physiques hantent le sommeil de ses jeunes filles qui ne savent plus où donner de la tête en ces temps de recrudescence de la délinquance.

Aujourd’hui, beaucoup de victimes ont été dénombrées au marché de Colobane. Des malfaiteurs ont volé les achats d’une jeune fille, emportant par devers elle son argent. La jeune fille n’a fait rien d’autre que de baisser ses larmes. Pour dire, circuler à Dakar n’est plus chose facile.

 

 

En tout cas, les citoyens n’ont que leurs yeux pour pleurer.


« Désormais les nouveaux bacheliers vont s’inscrire en ligne » annonce le professeur Mary Teuw Niane, Ministre de l’Enseignement Supérieur

 

les bacheliers
les bacheliers

Du nouveau au Sénégal. A partir du mois d’octobre prochain, les nouveaux bacheliers vont s’inscrire en ligne. C’est ce qu’a déclaré le professeur Mary Teuw Niane, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche en  lançant  officiellement au mois de juin dernier, le nouveau processus de pré-inscription, d’orientation et d’inscription des nouveaux bacheliers pour l’année 2013 /2014. Il est matérialisé sur le portail :http : //www.campusen.sn.

« La généralisation de la pré-inscription en ligne des nouveaux bacheliers désirant poursuivre leurs études dans les universités publiques s’appuie sur deux expériences d’envergure nationales réussies » avait soutenu  Mary Teuw Niane, le ministre de l’enseignement supérieur, lors d’une conférence de presse.

Pour le ministre de l’enseignement supérieur, le lancement de cette plateforme est une première étape dans la mise en œuvre du système de gestion et d’information de l’enseignement supérieur qui sera complètement opérationnel pour la rentrée 2013-2014.

Selon lui, il comportera la gestion et le suivi à savoir les orientations, des inscriptions et du pédagogique.

« Les étudiants sont soumis souvent à des tracasseries inutiles, des lenteurs inexplicables et des délais au moment des inscriptions et du payement des droits d’inscription. Et pire, les inscriptions à l’université Cheikh Anta Diop, courent assez souvent jusqu’au mois de Mai » a fait savoir le ministre.

Évidemment, explique Mr Niane, une telle situation hypothèque lourdement la qualité de la formation en ne lui consacrant pas le nombre de semaine ou du volume horaire requis.

Pour cette année, Mary Teuw Niane laisse entendre « que le processus d’orientation et d’inscription des nouveaux bacheliers sera terminé à la fin du mois d’Octobre. Les années suivantes l’objectif est de l’achever à la mi-septembre » dit-il.

Maintenant, la question est de savoir si, les étudiants vont entendre le message du ministre de l’enseignement supérieur. La réponse dans les tout prochains mois avec la nouvelle rentrée universitaire.

Et les bacheliers non encore orientés? Que faire avec cette catégorie? Des questions qui, jusqu’ici n’ont aucune réponse.


Gestion du secteur minier : les États membres de l’UEMOA en ordre de bataille!

 

les États de l'Uemoa
les États de l’Uemoa

Les différents acteurs du secteur minier se sont réunis à Dakar au mois de mai dernier pour voir dans quelle mesure, ils peuvent mettre en place une stratégie de renforcement des capacités des États membres en matière du secteur minier.

« Il s’agit de faire en sorte que les mines puissent servir nos États » a soutenu Ibrahima Diemé, commissaire du département chargé de la sécurité alimentaire, agriculture et de l’environnement au sein de l’UEMOA .

Dans la zone Uemoa, il estime que la gestion du secteur minier est bonne avant d’en ajouter qu’il est convaincu « que tout va se faire pour renforcer la capacité des experts ».

« L’UEMOA essaie de pousser les États membres à améliorer leur politique ; il nous faut renforcer les capacités au niveau des pays membres pour améliorer la gouvernance » a dit pour sa part Babacar Diouf ingénieur à la direction des mines et de la géologie.

Pour Abdoulaye kone directeur des ressources humaines au sein de l’UEMOA, il y’a une campagne  de communication que l’on doit mener, pour que les gens comprennent mieux le secteur minier.


Arts Visuels: les artistes sénégalais mal encadrés

ballet "La linguère"
ballet « La linguère »

Les artistes sont le plus souvent laissés et ne sont pas bien encadrés . C’est du moins ce que constate , Babacar Mbaye Diop secrétaire général de la biennale ; il l’a dit à l’occasion d’un séminaire de formation sur les métiers des arts visuels, au mois de Mai dernier à la maison de la culture Douta Seck.

Les artistes ont à présent besoin de maîtriser leur environnement de travail : décider et déterminer le futur qu’ils souhaitent pour leurs œuvres et comment s’y prendre pour atteindre leur but. C’est pourquoi un séminaire de formation intensive sur les arts visuels  a été organisé dans ce sens.

C’était pour  fournir une base solide aux participants pour la suite de leur évolution dans le marché de l’art.

Pour Babacar Mbaye Diop, secrétaire général de la biennale, il faut encadrer les artistes pour qu’ils puissent faire leur travail.

« Un artiste a besoin d’un agent qui l’encadre » dit-il. Selon lui, les artistes défendent mal leur dossier.

De l’avis du SG de la biennale de Dakar, les artistes ont besoin de renforcer leur compétence avec des outils nécessaires pour développer leur carrière sur le plan international.


Concours scolaire Philipe Senghor : les meilleurs primés !

 

concours scolaire
concours scolaire

Le concours scolaire Philipe Senghor existe  2006. C’est un concours franco-sénégalais qui cherche à  promouvoir la langue française. Il est bien apprécié parce qu’il permet de regrouper l’ensemble des pays francophones. Huit lauréats sont primés cette année, les trois premiers proviennent de la région de Tambacounda.

Pour l’ex-ambassadeur de France au Sénégal, Nicolas Normand, Ila langue française est un aspect  pratique important. Il estime que l’on doit promouvoir davantage cette langue.

En tout cas, le concours a rendu un hommage posthume à Philipe Senghor, » parce qu’il mérite absolument l’honneur »a fait savoir Joseph Pierre Ndiaye le Dc du ministre de l’éducation.

 

 


Changement climatique: l’île de France au secours du conseil régional de Dakar

  

conseil régional de dakar
conseil régional de dakar

C’est dans le courant du mois de jui qu’on a lancé officiellement le plan climat territorial intégré de la région de Dakar. Le PCTI de la région de Dakar a un double objectif : permettre au conseil régional de Dakar de fédérer tous les acteurs du territoire ; au premier rang desquels les collectivités locales infra-régionales et l’Etat-autour des enjeux climatiques et placer au cœur de son action la question du développement.

Un plan climat doit permettre d’identifier les différences sources d’émissions de gaz à effet de serre, de mettre en évidence les moyens de les réduire tout en luttant contre les effets du changement climatique. Pour le président du conseil régional de Dakar, Ousmane Samb, le conseil régional de Dakar a décidé d’agir dans le cadre d’une démarche participative en rapport avec les autres partenaires. Il a tenu ses propos, à l’ouverture officielle du PCTI.

Selon lui, l’objectif du PCTI est d’inscrire la question du climat au centre des débats. « Notre région est confrontée à des problèmes » dit-il. Il estime que le lancement du PCTI est le fruit d’une coopération avec l’île de France.


Droit à l’alimentation : les Nations Unies pressent les gouvernements africains

  

experts africains
experts africains

Benjamin Hounton, représentant régional adjoint pour l’Afrique de l’ouest du haut commissariat des Nations-Unies au droit de l’homme invite les États africains à respecter les engagements  découlant des instruments internationaux

Le rapporteur  spécial des Nations-Unies a convoqué une réunion le mois dernier à Dakar pour discuter du droit à l’alimentation. C’était une réunion conjointe  avec le haut commissariat au droit de l’homme (HCDH) et l’organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao). « Les États ont l’obligation et le devoir en vertu du droit international, de respecter, de protéger et de mettre en œuvre les engagements découlant de ces instruments internationaux. Ainsi, les États s’engagent à mettre en place des mesures et législations nationales compatibles avec leurs obligations et devoirs découlant de ces traités et démontrent leur détermination à œuvrer pour rendre la jouissance effective par les populations de tous les droits reconnus universellement et garantis par les instruments nationaux, régionaux et internationaux » a soutenu Benjamin Hounton, représentant régional adjoint pour l’Afrique de l’Ouest du haut commissariat des Nations-U.Il a tenu ses propos aujourd’hui, à l’ouverture officielle de la réunion d’experts sur la mise en œuvre au plan national du droit à l’alimentation en Afrique de l’Ouest.

Pour le représentant régional du haut commissariat des Nations-Unies, le droit à l’alimentation qui est une composante essentielle des droits économiques et sociaux va occuper pendant deux jours les experts ici présents dans la capitale sénégalaise. Il a fait savoir que ces derniers vont s’entretenir de son importance et des défis qui accompagnent sa mise en œuvre.

Toutefois, il a rappelé l’importance pour les États de remplir leurs obligations découlant des instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme en s’appuyant sur les recommandations des mécanismes des droits de l’homme de l’Onu. Selon lui, il est nécessaire de s’inspirer dans l’élaboration et la mise en œuvre des documents de politiques publiques avec l’appui des partenaires au développement. Pour cela, il laisse entendre que «  le HCDH et la FAO en partenariat avec les acteurs étatiques et non étatiques poursuivront le travail de sensibilisation et de plaidoyer pour une prise en compte effective du droit à l’alimentation dans les stratégies nationales de développement économique et social.

 


Vers une sensibilisation des jeunes au métier d’entrepreneur: explication Pape Landing Mane, Président du CJD

 

Abdoul Mbaye premier ministre du Sénégal
Abdoul Mbaye premier ministre du Sénégal

Pouvez-vous nous expliquer le CJD?

Le CJD est un mouvement de jeunes dirigeants (chefs d’entreprise et cadres dirigeants), représentatifs du tissu économique et qui défendent l’idée d’un libéralisme responsable. C’est aussi un lieu où les jeunes dirigeants viennent rompre leur isolement, se former, progresser et faire des propositions pour la promotion de entrepreneuriat. Ce mouvement existe aujourd’hui dans plus de treize pays à travers les 3 continents (Afrique, Amérique du Nord et l’Europe). Bientôt le CJD sera présent en Asie.

Au Sénégal où l’association existe depuis mai 2011, nous avons beaucoup travaillé sur la promotion de entrepreneuriat, notamment auprès des jeunes qui vient de s’achever avec le Congrès National « Entrepreneuriat et Développement » présidé le 14 Juin dernier par M. Abdoul MBAYE, Président de la République du Sénégal.

Ce mandat vient d’être bouclé par la course de l’entrepreneur, organisée ce samedi 29 juin 2013 qui consistait à mettre en équipe un élève, un étudiant et un entrepreneur en vue de retracer toutes les étapes de création d’entreprise, de mise en place d’un business plan et de recherche de financement.

Comment êtes vous arrivé à mettre sur pied le CJD

La création du CJD au Sénégal est l’œuvre de l’ancien président du CJD International Zakaria FAHIM qui a dû torde la main à l’ancienne présidente du CJD Sénégal pour venir lancer le CJD en Avril 2011. En effet, Ndeye Marième était très active dans le mouvement associatif a été mis en relation avec Zakaria par le biais de sa patronne.

Depuis sa création, nous ne cessons de mener des activités pour la promotion de entrepreneuriat, notamment auprès des jeunes par le biais du mandat 2011-2013 était « Jeunesse et Leadership : Osez Entreprendre »

Nous continuons dans cette lancée et entendons massifier le mouvement et en faire une force de propositions qui se fera entendre sur toutes les problématiques ayant trait à entrepreneuriat et à la vie économique et sociale du Sénégal.

Est-ce que les jeunes d’aujourd’hui ont une culture de l’entrepreneur ?

De part les différentes actions menées par le CJD, nous avons pu constater un regain de cette culture d’entreprendre au niveau des jeunes, mais malheureusement inhibée par l’accès au financement. Et donc depuis lors nous ne cessons de sensibiliser les jeunes à vaincre la peur et entreprendre. Nous avons eu à faire, une caravane « SAGA AFRICA » de Dakar à Casa en passant par Nouakchott, Dakhla et Marrakech pour amener des jeunes porteurs de projets au salon « HUB AFRICA » des entreprises et des entrepreneurs africains. Au retour de notre caravane, certains de ces porteurs de projets ont créés leurs entreprises.

Par ailleurs en collaboration avec la communauté Android Creative Touch pour le concours de création d’applications pour smartphone, nous encadrons des jeunes dans la réalisation d’un business modèle de leurs projets.