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La présence chinoise en Afrique: Les Africains dans l’embarras

Sans aucun souci pour leur intégration, les chinois s’installent de plus en plus nombreux dans toutes les villes Africaines. Une présence que l’on a vu exploser juste ces cinq dernières années alors qu’elle se résumait autrefois aux techniciens venus assister le pays frère fraîchement libéré du joug colonial et contribuer ainsi à son essor.


Le Greenwashing : Quand le vert n’est pas toujours vert

  Nombreuses sont les entreprises qui de nos jours ont intégré la tendance écologique : L’arbre Vert. Pour une personne non avertie, la tendance écologique, l’arbre vert ou la feuille verte que nous rencontrons un peut partout sur les emballage ou sur les support de communication serait le fruit du hasard ou d’une simple coïncidence.  Bien au delà, il s’agit d’une mode dont il ne faut pas s’en passer :…


Hier c’était 2014 !

Voici 2015, un mot domine les débats, nous cherchons tous son issu : Émergence, Quel est le poids de ce mot ? Suffit il d’en parler pour qu’il devienne réalité un jour ? L’émergence : Voici le nouveau concept qui laisse indifférente aucune nation : Au Tchad il s’agit de Cap 2020 ; au Sénégal, il s’agit du Plan Sénégal Émergent (PSE); En cote d’Ivoire, au Congo, et un peut partout c’est le même engouement.


Ebola au Sénégal : difficile d’être Guinéen à Dakar en cette période

Ebola, c’est cette fièvre hémorragique qui anime les débats aujourd’hui dans un grand nombre de pays plus particulièrement les pays de l’Afrique de l’Ouest. Depuis sa première découverte au Sénégal à la fin du mois d’août, elle ne cesse de hanter la population tel un monstre dont on connaît le nom et dont ont ignore la position. Il peut frapper à tout moment, n’importe qui et n’importe où.


Le Tchad, pays de Toumaï

Le TchadSalut chers amis internautes,
Par ce présent article, je voudrais vous présenter mon très cher pays le Tchad, pays méconnu jusque là par beaucoup de monde. La preuve est qu’un ami Sénégalais à qui j’ai dit que j’étais Tchadien n’a pas hésité à me demander : «le Tchad, c’est ou ? Est-ce un pays ici en Afrique ?». Cet article est donc à l’intention des amis internautes qui ne cessent de se poser aussi les mêmes questions. Lire la suite de l’article…



Forum Social Mondial (FSM): Oú en est l’Afrique ?

Le FSM constitue un cercle de rencontre des altermondialistes soucieux du bien être de l’individu dans sa société et donc dévouer à lutter contre les injustices dans toutes leurs formes, les problèmes climatiques et bien d’autres maux. Cela se caractérise par le slogan brandi par bon nombre de participants «un autre monde est possible» donc, un monde sans guerre, sans pollution, sans famine, sans haine …. Les 10 objectifs du FSM retenus lors de la 8ème édition à Belém nous en disent plus.


La présence chinoise en Afrique: Les Africains dans l’embarras

Sans aucun souci pour leur intégration, les chinois s’installent de plus en plus nombreux dans toutes les villes Africaines. Une présence que l’on a vu exploser juste ces cinq dernières années alors qu’elle se résumait autrefois aux techniciens venus assister le pays frère fraîchement libéré du joug colonial et contribuer ainsi à son essor. On les trouve désormais partout, du petit commerçant à l’entrepreneur sans oublier l’aventurier, sur les chantiers pétroliers ou de bâtiments et des travaux publics, dans leurs boutiques, dans leurs cliniques, dans les coins de rues exhibant des produits traditionnels conçus généralement à base de feuille des plantes réputés soignés plusieurs maladie à la fois : une boite de médicament qui soignerai la fièvre typhoïde, le diabète, la goutte, la fatigue et les maux de têtes chroniques, n’est-ce pas intéressant ? Et surtout que les prix sont à la bourse de tous.
Dotés d’un esprit aiguë des affaires, ces ressortissants de l’empire du milieu n’ont pour seul obstacle que la langue, ils se font ainsi assister dans leurs affaires par les nationaux avec lesquels la communication reste gestuelle.
Tout le continent noir est sur le coup. N’djamena, Dakar, Yaoundé, ouaga, Abidjan, Bangui et dans bien d’autres ville, les constats sont les mêmes. Il n’est pas rare de trouver dans ces villes des quartiers dénommés ″quartiers chinois″, quartiers exclusivement réservés au commerce chinois et au logement. A Dakar, un tour entre la banque centrale de l’Afrique de l’Ouest (BCAO) et le monument de l’indépendance nous donnerait l’impression d’être en Chine vu cette place forte commerciale chinoise qui s’est développée progressivement ces cinq dernières années jusqu’à avoir aujourd’hui une dimension semblable à celle d’un marché local. Même remarque à N’Djamena au quartier klematte ou l’on peut les voir affairer dans les rues ou dans leur boutiques en bordures de l’avenue EL nimerie, également sur l’avenue Charle Dégaule et au marché de mil, au grand marché rood wooko de ouaga. Sur ces marché on y trouve divers produits : vêtements, chaussures, ceintures, sacs, appareilles téléphone, appareilles électroménagers et appareilles industriels à des prix défiant toute concurrence.
Adaptés au marché africain, ces produits se vendent en grande quantité, ils permettent à beaucoup de famille africains à faible revenu de satisfaire leurs besoins élémentaires : pour préparer les fêtes ou les rentrées scolaires, les parents peuvent économiser jusqu’à deux tiers de leur revenu en achetant des produits Made in china. Avec ces produits, enfants, jeunes et adultes trouvent leur compte. Mais si le prix est à la bourse de tous, la qualité quant à elle, laisse à désirer, cet aspect fait l’objet d’énorme controverses sur les médias: «la qualité dépend du prix, si vous pouvez dépenser 1000 dollars pour un article, ce sera tout à fait différent d’un article de 1 dollar. Si on dit toujours que les produits chinois sont de mauvaise qualité, ce n’est pas juste. […]» a laissé entendre le conseiller économique de la Chine au Sénégal M. Zhou Zhaoming sur les écrans de la télévision africa24.
″Quand on veut noyer son chient, on le traite de rage″ dit-on. L’acharnement des pays occidentaux contre la coopération sino-africaine doit faire l’objet de nos jours d’une attention particulière pour les autorités africaine qui semble être dans l’incapacité de faire le choix entre ″celui que tu aimes et qui t’aime″ et ″celui que tu aimes mais qui ne veux de ton bien″. Malgré tout, puisque l’affirmation de la menace Chinoise pour l’Afrique existe, interrogeons nous sur sa véracité. Nous remarquons ainsi que :
1- le marché africain est submergé par des produits Chinois, cet offensif commercial Chinois suscite espoir et controverse sur le continent noir : l’on ne cesse de s’interroger sur les limites de la politique commercial de la Chine et sur la concurrence directe que font peser ses produits sur le tissu économique africain.

2- l’Afrique est devenue le réservoir de la Chine. Sous prétexte d’exploiter les ressources pétrolières et minières africaines, elle les pille en réalité pour alimenter ses industries ;
3- dans cette ″exploitation″, les mesures de protection de l’environnement sont quasiment nulles, cela porte un coup fatal à l’environnement ;
4- la Chine ne respecte pas les critères internationaux du travail, exporte en Afrique une main-d’œuvre nombreuse et impose un salaire trop bas aux travailleurs locaux ;
5- la coopération intéressée que la Chine mène avec des régimes dictatoriaux enfreint les principes de la démocratie et des droits de l’homme, et trahit son cynisme.
6- les ventes d’armes chinoises ne sont non plus à négliger : la Chine est soupçonnée d’utiliser certains pays africains comme débouchés de sa technologie militaire.
N’est ce pas vrai ?
Assurément.
L’on voit néanmoins l’amitié sincère et dévouée que livre la Chine à l’Afrique.
Nombreux sont ces africains qui reconnaissent que les aides de la Chine ont amélioré les infrastructures de l’Afrique et changé sa physionomie quand l’occident multiplie ses promesses d’aide alors que personne ignore que ce dont l’Afrique a besoin aujourd’hui, c’est une amitié sincère sans hypocrisie, ou nul n’est perdant : le Win-Win
Bien qu’entre celui qui t’aime et celui que tu aimes, la nuance est grande, il est temps pour l’Afrique de faire son CHOIX.
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les talibés au Sénégal

Ces dernières années « le phénomène talibé » semble prendre d’autres tournures sous les yeux des gouvernants, des parents et des défenseurs des droits des enfants. « Le droit ne s’use que si l’on ne s’en sert » dit-on, juste un tour dans les rues, les marchés, les établissements administratifs, et l’université de Dakar la capital sénégalaise, et des villes telles que MBOUR, SAINT LOUIS, KAOLACK nous dira tout de ce qu’est le droit de l’enfant au Sénégal.