Nicolas-Etienne

APPEL A CANDIDATURE : Atelier de formation en « ORGANISATION D’UN ÉVÉNEMENT CULTUREL POUR LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES » à Lomé

Crédit photo : Mariam SANOGO

APPEL A CANDIDATURE CLÔTURE

L’Université Senghor, université internationale de langue française au service du développement africain, Opérateur direct de la Francophonie, dont les diplômes sont reconnus internationalement, en particulier par le CAMES, est basée à Alexandrie (Égypte).
D’une part, sa politique de formation se décline sur un cursus de Master en développement africain. D’autre part, elle organise un certain nombre de formations dans différents pays de la Sous-Région.

Ainsi, le Département Culture lance un appel à candidature pour un atelier de formation sur  l’« organisation d’un évènement culturel pour les collectivités territoriales «  qui se tiendra du 13 au 17 novembre 2017 à Lomé (TOGO).

NOMBRES DE PARTICIPANTS
20 participants seront sélectionnés pour bénéficier de cette formation.

QUI PEUT PARTICIPER
– Agents des collectivités territoriales,
– Agents du ministère de culture,
– Promoteurs et/ou entrepreneurs culturels privés,
– Étudiants en animation ou gestion culturelle.

CONDITIONS DE PARTICIPATION
– Résider sur le territoire Togolais,
– Avoir un niveau d’étude universitaire,
– Avoir un projet culturel à l’endroit d’une collectivité territoriale du Togo,
– Être disponible et s’engager à être présent sur toute la période de la formation.

INSCRIPTION
Pour s’inscrire, envoyer votre dossier de candidature à nicolas.sohoungani.2015@alumni-usenghor.org
Avec comme mention en « Objet » : ATELIER DE FORMATION NOV 2017

DATE LIMITE DE CANDIDATURE: Lundi 30 octobre 2017 à 0h00

COMPOSITION DU DOSSIER DE CANDIDATURE
– Une lettre de motivation adressée au Directeur du département culture de l’université Senghor
– Un Curriculum vitae

CERTIFICATION
Un certificat correspondant à une Unité d’Enseignement (UE) de l’Université Senghor sera délivré aux participants à la fin de la formation.

LIEU DE LA FORMATION
Commission Nationale de la Francophonie (CNF) du Togo
Quartier Togo Gaz – Tokoin Gbovié – SOTED,
Derrière l’Hôtel EXCELLENCE, en face de la radio KNTB
Tél : (00228) 22 22 88 90 / (00228) 90 13 30 12
.

NB :
– L’atelier est gratuit
– Les candidats retenus recevront par mail, la notification d’acceptation, le programme détaillé et tout informations complémentaire.
– Pour toute information complémentaire, contacter nicolas.sohoungani.2015@alumni-usenghor.org


APPEL A CANDIDATURE : Atelier de formation en « GESTION DU PATRIMOINE MUSEOGRAPHIQUE » à Lomé

APPEL A CANDIDATURE CLÔTURE

L’Université Senghor, université internationale de langue française au service du développement africain, Opérateur direct de la Francophonie, dont les diplômes sont reconnus internationalement, en particulier par le CAMES, est basée à Alexandrie (Egypte).
D’une part, sa politique de formation se décline sur un cursus de Master en développement africain. D’autre part, elle organise un certain nombre de formations dans différents pays de la Sous-Région.

Ainsi, le Département Culture lance un appel à candidature pour un atelier de formation en « Gestion du patrimoine muséographique » qui se tiendra du 16 au 19 Janvier 2016 à Lomé (TOGO).

NOMBRES DE PARTICIPANTS
12 participants seront sélectionnés pour bénéficier de cette formation.

QUI PEUT PARTICIPER
– Professionnels de gestion du patrimoine culturel
– Etudiants en gestion du patrimoine culturel ou équivalent
– Etudiants en Histoire ou Anthropologie

CONDITIONS DE PARTICIPATION
– Niveau minimum requis : BAC+3
– Etre disponible et s’engager à être présent sur toute la période de la formation

INSCRIPTION
Pour s’inscrire, envoyer votre dossier de candidature à nicolas.sohoungani@gmail.com
Avec comme mention en « Objet » : ATELIER DE FORMATION

DATE LIMITE DE CANDIDATURE: Samedi 31 Décembre 2016 à 0h00

COMPOSITION DU DOSSIER DE CANDIDATURE
– Une lettre de motivation adressée au Directeur du dépaertement culture de l’université Senghor
– Un Curriculum vitae

CERTIFICATION
Un certificat correspondant à une Unité d’Enseignement (UE) de l’Université Senghor sera délivré aux participants à la fin de la formation.

NB :
– L’atelier est gratuit
– Les candidats retenus recevront par mail, la notification d’acceptation, le programme détaillé et tout informations complémentaire.
– Pour toute information complémentaire, contacter nicolas.sohoungani@gmail.com


KINO KABARET TOGO 2016 : Appel à candidatures et à projets

APPEL A CANDIDATURE ET A PROJETS (Clôturé)

Date limite de candidature : Dimanche 14 Août 2016, à 23h59

La 5ème édition du Kino Kabaret Togo se tiendra du 22 au 31 Août 2016, à l’Institut Français du Togo, avec 2 sessions de production mais une seule grande soirée de projection à laquelle sera convié le grand public pour apprécier le résultat de la résidence de production.

Initié au Canada depuis 2001 et au Togo depuis 2012, les Kino Kabarets sont des laboratoires de création où les artistes sont invités à mettre en commun, des ressources humaines et matérielles pour réaliser, en des laps de temps (72heures maximum), des microfilms : écriture, tournage, montage et projection devant le public.

En effet, suite au présent appel à candidature et à projets de microfilms, les meilleures idées (surtout réalisables par rapport au temps) seront retenues par une direction artistique. Durant les réunions de production marquant le début de chaque session de travail (72heures), des équipes seront constituées autour de chaque projet. Chaque équipe tourne et monte son film. Les films achevés sont ensuite programmés dans le cadre d’une soirée de projection publique (marquant la fin de la session). les participants peuvent se retrouver sur plusieurs projets en cas de disponibilité.

Cadre idéal d’échange et de partage d’expérience, les Kino Kabarets constituent un lieu d’apprentissage pour certains, de renforcement de capacités et d’expérimentation des techniques de production cinématographique pour d’autres et ce, grâce à l’entraide et à la collaboration. Contrairement aux différents festivals de films à travers le monde, l’ esprit de compétition n’est pas au rendez-vous dans les Kino kabarets. Tout s’y partage : idées, expériences, ressources matérielles, repas, etc. Cela permet de renforcer l’esprit de réseautage au sein d’un groupe d’envergure planétaire.

le Kino Kabaret Togo, après 5ans au service de la promotion et du développement du cinéma togolais, a permis à plus d’une centaine de jeunes, amoureux du cinéma, de découvrir les secrets de la production cinématographique, de renforcer leur capacité et a rendu possible des connexions professionnelles grâce à la mise en réseau des artisans de l’image, des techniciens et des jeunes réalisateurs aussi bien sur le plan local qu’international.

QUI PEUT PARTICIPER ?
Les Kinos Kabarets sont ouverts à tous, sans distinction de nationalité, de sexe où d’âge. La participation de tous les métiers(scénaristes, réalisateurs, comédiens, directeurs photo, cadreurs, ingénieurs de son, monteurs, décorateur, costumiers, ou même simples curieux ou cinephiles) et niveaux d’expériences est vivement encouragée. Les grands Kabarets (Montréal, Bruxelles, Hambourg, etc.) accueillent des centaines de participants venant des 4 coins de la planète.

QUELLE EST LE THÈME DE CETTE ANNÉE?
Le Kino Kabaret Togo se distingue par l’association d’un thème social à chaque édition. Cela fait de chaque événement, pas forcément un cadre de production de films autour du thème retenu, mais un cadre de sensibilisation des créateurs sur leur choix de sujets.

Le thème de cette 5ème édition est : « Le cinéma, un outil de communication et de sensibilisation sociales »

Vous êtes intéressés? Vous voulez participer?

COMMENT POSTULER ?
Remplissez le formulaire d’inscription sur le blog de Kino Togo accessible à cette adresse : https://kinotogoblog.wordpress.com/inscription
Un SMS ou un mail d’accusé de réception vous sera envoyé après le traitement de votre dossier par notre équipe. Les modalités de payement des frais de participation vous seront communiquées par le même SMS ou mail. Une fois les frais d’inscriptions reçus, un second SMS ou mail vous sera envoyé pour confirmer votre inscription au Kino Kabaret Togo 2016.

FRAIS DE PARTICIPATION ?
Les Frais de participation couvre le déjeuné, la pause café et un T-shirt. Une attestation de participation est décernée.

Frais de participation :10 000 FCFA

NB: Les Frais de participation ne prennent pas encore en charge l’hébergement. De ce fait, tout participants étrangers désireux de se joindre à nous pour cette aventure et qui n’a pas de solution de logement est prié de nous le signaler par mail, le plutôt possible.

VOUS SOUHAITEZ PLUS D’INFORMATION?

Tél : +228 90 84 98 00
E-mail : kinotogo00@gmail.com
www.kinotogoblog.wordpress.com


[Togo] CINÉMA : CLAP IVOIRE 2016, Le Togo ne sera pas en reste

En 2014, le Togo avait marqué son passage à la 14ème édition du festival de cinéma, Clap Ivoire, initié par l’Office National du Cinéma de Côte d’Ivoire (ONACI). Le duo togolais composé de Joël M’Maka Tchedre avec son film docu­men­taire inti­tulé « Nana Benz, les reines du tex­tile afri­cain » et Maxime Tchinkoun avec sa fiction « Les avalés du grand bleu » a remporté 05 prix (dont le grand prix Kodjo Eboucle, rem­porté par le film docu­men­taire « Nana Benz, les reines du tex­tile afri­cain »). A l’édition suivant (2015), ce fut le tour de Marcelin BOSSOU de décrocher le prix de la meilleure photographie avec son film « Les deux frères ». Ce résultat a sans doute permis d’attirer l’attention des autorités togolaises sur la nécessité de soutenir cette filière à laquelle une nouvelle génération de jeunes cinéastes tentent tant bien que mal de redonner vie.

source : africatopsuccess
source : africatopsuccess

CLAP IVOIRE, UNE COMPÉTITION D’HONNEUR ET D’IDENTITÉ NATIONALE
Depuis longtemps, le Sénégal, le Mali, la Côté d’Ivoire, pour ne citer que ceux-là, ont mis en place un dispositif d’encadrement et de soutien des œuvres qui les représentent à ce rendez-vous cinématographique. Le Togo enfin décide, à compter de cette 16ème édition, d’améliorer sa représentation en encourageant les cinéastes togolais à mieux faire. A cet effet, le Ministère de la communication, de la culture, des sports et de la formation civique, a annoncé en Mai dernier, l’organisation d’une journée de sélection nationale dénommée « mini-festival CLAP IVOIRE » au cours de laquelle, les deux films retenus (un documentaire et une fiction) seront primés. Ce geste vise à motiver les créateurs à toujours mieux faire.

IMG_20160617_103438_955UN SUIVI DE L’AVANCÉE DES PRODUCTIONS
En prélude à cette journée de sélection nationale, la Direction Nationale de la Cinématographie togolaise (DNC) a convié le vendredi 17 Juin, les créateurs désireux de prendre part à cette 16ème compétition sous-régionale, qui se tiendra à Abidjan (Côte d’Ivoire), du 06 au 10 Septembre prochain, à une rencontre technique. Dans un premier temps, le Directeur national de la cinématographie, Monsieur Essohanam KOUTOM, s’est informé sur l’avancée des travaux de production. Dans un second temps, ce fut plutôt un débat (entre la DNC, les anciens participants et/ou lauréats et les nouveaux) autour des règles élémentaires qui régissent le festival de Clap Ivoire. Le débat s’est étendu aux dispositifs logistiques et organisationnels à mettre en place pour la réussite de la sélection nationale qui est de loin, la plus importante et la plus stressante pour les créateurs.

Face à cette réelle volonté des différents acteurs à promouvoir la filière cinéma, nous pouvons estimer qu’une véritable démarche est entreprise et nous espérons qu’elle se poursuivra pour au final asseoir les bases d’une véritable industrie cinématographique togolaise.


Togo : Le Cinéma togolais attire IROKO TV et ROCKSTUDIOS

Ce jeudi 16 Juin 2016, les locaux de l’hôtel ONOMO, à Lomé, ont servi de cadre pour une rencontre entre une équipe de Iroko TV/RockStudios et les acteurs de l’industrie cinématographique togolaise. Une rencontre pour le moins officielle que certains professionnels n’ont guère appréciée.

Si en Janvier 2016, la première et plus importante plate-forme de vidéo à la demande nigériane Iroko TV, annonçait avoir signé des contrats à hauteur de 19 millions de dollars, notamment avec le groupe français Canal+ auquel il s’est associé depuis décembre dernier, afin de se développer sur l’ensemble du continent africain, selon Jeune Afrique, 5 mois plus tard, le passage de d’une délégation du géant distributeur de vidéo à la demande à Lomé, a par-contre été officieux. Cela n’a pas du tout contenté la majeur partie des acteurs du secteur conviés à cette rencontre, qui doute du sérieux autour de cette démarche, compte tenu de l’ignorance des autorités compétentes quant à la tenue d’une telle rencontre sur le sol togolais.

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Après un bref échange avec la coordinatrice nationale de la rencontre, dont je tais le nom, deux principaux objectifs étaient à l’ordre du jour :

1) Rencontrer les producteurs togolais en vue d’une collaboration sur des projets futurs avec la branche productrice de Iroko TV qui n’ai autre que RockStudios, nigériane elle aussi, d’une promotion et vulgarisation des productions togolaises sur la plate-forme,

2) Faire un casting afin de recruter des comédiens togolais pour une série télé à venir.

Comment une boîte aussi importante qu’Iroko TV, a-t-elle pu commettre une telle erreur? Conscient que la plate-forme ne diffuse que des longs métrages, pourquoi cet intérêt pour le Togo, un pays où la production actuelle est majoritairement concentrée sur le court-métrage? Sans doute pour une perspective d’avenir, me dira-t-on.

Bien que l’initiative soit louable, elle n’a pas réussi a avoir l’approbation de tous ceux qui y ont été conviés. A en croire les propos de ces derniers, si le géant n’a pas jugé imortant d’informer la Direction nationale de la cinématographie, direction de tutelle de la filière cinématographique au Togo, alors il vaut mieux s’en méfier au risque de se voir exploiter.

Cet incident se doit d’interpeller les professionnels de la filière cinématographique togolaise à une meilleure organisation. Seule une organisation professionnelle aurait pu dans un premier temps rappeler les organisateurs de cette rencontre à l’ordre et en cas de nécessité, faire appel aux pouvoirs publics.

Cela soulève une autre question : Quel est le rôle d’une organisation professionnelle et quel est celui des pouvoirs publics (État)? Je reviendrai certainement sur ce sujet dans mes prochains articles.


Un soulagement pour les artistes togolais

« Faire de la culture un facteur de renforcement de l’identité et de la cohésion nationale mais aussi un outil de développement économique et social, pour la création d’emplois et les activités génératrices de revenus, tels sont les objectifs recherchés à travers cette loi« . Ce fut l’argumentaire de Guy Lorenzo, le ministre de la communication, de la Culture, du Sport et de la Formation Civique, ce 14 Juin 2016, devant les élus du peuple.

Ce projet de loi adopté par l’Assemblée nationale, en sa huitième séance plénière et sur le statut de l’artiste vise est sensé doter le Togo d’un cadre législatif favorisant une meilleure réglementation du domaine de la création et de l’innovation artistiques. Il définit les conditions de reconnaissance de la qualité d’artiste et d’acteur culturel d’une personne physique ou morale tout en précisant les droits et les devoirs auxquels l’artiste est assujetti.

Le texte prévoit également, non seulement la mise en place d’un système d’aide à la création, mais aussi un mécanisme de protection sociale des concernés.

Désormais, un air nouveau souffle sur ce secteur d’activité longtemps relégué au second rang.

Les professionnels de l’industrie cinématographique togolaise sont en attente de l’adoption du code du cinéma, afin de leur permettre de mieux s’exprimer à travers leur art.


APPEL A FILM : FESPACO 2017

Date limite : le 31 octobre 2016.

Le plus grand événement cinématographique sur le continent
Le Festival Panafricain de Cinéma et de Télévision de Ouagadougou (Fespaco) a été créé au Burkina Faso (alors Haute-Volta) en 1969. Il est officiellement soutenu par les autorités voltaïques en 1972 et c’est à ce moment là que les prix font leur apparition, les premières éditions étant sans compétition. A partir de la 6e édition (1979), le FESPACO devient une biennale, débutant le dernier samedi de février de chaque année impaire, afin que le festival ouagalais ne soit pas en concurrence avec les Journées Cinématographiques de Carthage (JCC, Tunisie) créées en 1966 et se tenant les années paires. Les JCC sont désormais annuelles depuis 2014 ; plusieurs responsables du Fespaco évoquent de plus en plus ouvertement la volonté de passer à un rythme annuel. Depuis décembre 2014, Ardjouma Soma est le Délégué Général du FESPACO.
 » Le Fespaco réunit un très grand nombre de cinéphiles, dépassant largement aujourd’hui le demi-million de spectateurs. Il est caractérisé par cette dimension populaire, inexistante dans bien d’autres festivals internationaux de cinéma. Le festival de Ouagadougou est l’un des seuls à proposer à l’ensemble du public de voir les films en lice, pendant la compétition, et sans autre condition que de s’acquitter du prix du billet « , écrit Colin Dupré (auteur du remarquable livre Le Fespaco, une affaire d’État(s) 1969-2009, paru en 2012 chez L’harmattan).

La 25ème édition se déroulera du 25 février au 04 mars 2017, à Ouagadougou (Burkina Faso), avec comme thème ‘’ Formation et métiers du cinéma et de l’audiovisuel  ». Le FESPACO se propose d’offrir un programme varié qui s’articule autour de la sélection des films, du 18è Marché international du cinéma et de la télévision africain (MICA) et des rencontres professionnelles (colloque, table ronde, master class…), axées sur les voies et moyens de faire valoir qualitativement l’activité cinématographique africaine.

25ème FESTIVAL PANAFRICAIN DU CINÉMA ET DE LA TÉLÉVISION DE OUAGADOUGOU (FESPACO)

Les inscriptions sont ouvertes pour la sélection des films de la 25ème édition de la biennale du cinéma africain, prévue du 25 février au 04 mars 2017.

Deux sections sont concernées :
> la section compétition officielle qui est réservée aux films de réalisateurs africains et de la diaspora. Elle comporte les catégories suivantes :
* fiction long métrage : durée minimale de 60 mn ;
* fiction court métrage : durée comprise entre 1 mn et 35 mn ;
* film documentaire : durée minimale de 26 mn ;
* série télévisuelle : 3 épisodes de 13 à 26 mn chacun ;
* film des écoles africaines de cinéma : durée comprise entre 3 mn et 15 mn.

> la section hors compétition qui est réservée aux films des cinéastes du monde (L’Afrique vue par …, découvertes).

Tous les films soumis ne doivent pas excéder deux (02) ans d’âge au 31 décembre 2016 (soit les films produits après le 1er janvier 2015). Merci de lire attentivement le règlement de la sélection officielle (à télécharger sur le site officiel www.fespaco.bf);.

Pour toute inscription au FESPACO, faire parvenir :
– la fiche d’inscription dument remplie (à télécharger sur le site www.fespaco.bf);
– la fiche technique et artistique ;
– le synopsis en français et en anglais ;
– deux (02) DVD du film.

La date limite des inscriptions est fixée au 31 octobre 2016.
Les documents doivent être envoyés par courrier électronique à : dgfespaco@gmail.com

Les copies de films sont envoyées par courrier express à :
FESPACO
Sélection film
650, avenue Kombemba,
01 BP 2505 – Ouagadougou 01
Burkina Faso
Tél : (226) 25 83 70 / 71

18ème MARCHÉ INTERNATIONAL DU CINÉMA ET DE LA TÉLÉVISION AFRICAINS (MICA)
APPEL A INSCRIPTIONS MICA 2017

Les inscriptions sont ouvertes pour la 18è édition du Marché International du Cinéma et de la Télévision Africains, prévue pour se tenir du 24 février au 03 mars 2017.
Le MICA est un espace professionnel de vente et d’achat des oeuvres cinématographiques et audiovisuelles, un cadre de rencontres, de promotion et d’échanges ouvert aux professionnels du cinéma et de l’audiovisuel du monde entier (producteurs, distributeurs, diffuseurs et promoteurs de matériel numériques).

Le MICA offre la possibilité :
* d’inscrire des films qui peuvent être visionnés à la carte par les professionnels accrédités dans un espace aménagé à cet effet. L’inscription d’un film est fixée à vingt-cinq mille (25 000) francs CFA ou l’équivalent en euros (38,11€) ou en dollars US ($42.75 USD), non remboursable ;
* de faire des projections à la carte. Les frais de projection sont fixés à trente mille (30 000) francs CFA l’heure ou l’équivalent en euros (45,60 €) ou en dollars US ($51.30 USD);
* de louer des stands. Le coût de location d’un stand de neuf (09) m² s’élève à quatre cent mille (400 000) francs CFA ou l’équivalent en euros (608 €) ou en dollars US ($684 USD).

Pour toute inscription de film ou de projection à la carte, faire parvenir :
– la fiche d’inscription dument remplie (à télécharger sur le site www.fespaco.bf);
– la fiche technique et artistique ;
– le synopsis en français et en anglais ;
– deux (02) DVD du film.
Pour toute demande de stand, veuillez bien remplir le formulaire mica stands disponible sur le site www.fespaco.bf

La date limite d’envoi des dossiers et des frais d’inscriptions pour les films est fixée au 30 novembre 2016.
La date limite de location des stands est fixée au 31 janvier 2016.
Les documents doivent être envoyés par courrier électronique à : mica18@yahoo.fr

Les copies de films sont envoyées par courrier express à :
FESPACO / MICA
650, Avenue Kombemba,
01 BP 2505 Ouagadougou 01
Burkina Faso
Tél : (226) 25 30 83 70 / 71

Les différents paiements peuvent se faire par virement bancaire aux coordonnées suivantes :
1- Nom du titulaire : Agence Comptable Centrale du Trésor
2 – Banque : BCEAO
3 – Siège ou agence : Agence Nationale du Burkina Faso (Ouagadougou)
4 – Adresse de la banque : 01 BP 356 Ouagadougou (Burkina Faso)
5 – Code SWIFT ou BIC de la banque : BCAO BF BF
6- IBAN : 261 21 00 C 000 50002 / 88
7 – Libellé à l’ordre du « FESPACO – PARTENAIRES »
8 – N° du compte : 000144210162

Contacts FESPACO / MICA :
Mme Lucie A. TIENDREBEOGO, Communication et Relations Publiques, FESPACO
(226) 25 30 83 70 / 71 – (226) 70 23 84 73 – (226) 78 43 12 37
dgfespaco@gmail.com
www.fespaco.bf

Source : Images Francophones


Togo : Un soulagement pour les artistes togolais

« Faire de la culture un facteur de renforcement de l’identité et de la cohésion nationale mais aussi un outil de développement économique et social, pour la création d’emplois et les activités génératrices de revenus, tels sont les objectifs recherchés à travers cette loi« . Ce fut l’argumentaire de Guy Lorenzo, le ministre de la communication, de la Culture, du Sport et de la Formation Civique, ce 14 Juin 2016, devant les élus du peuple.

Ce projet de loi adopté par l’Assemblée nationale, en sa huitième séance plénière et sur le statut de l’artiste vise est sensé doter le Togo d’un cadre législatif favorisant une meilleure réglementation du domaine de la création et de l’innovation artistiques. Il définit les conditions de reconnaissance de la qualité d’artiste et d’acteur culturel d’une personne physique ou morale tout en précisant les droits et les devoirs auxquels l’artiste est assujetti.

Le texte prévoit également, non seulement la mise en place d’un système d’aide à la création, mais aussi un mécanisme de protection sociale des concernés.

Désormais, un air nouveau souffle sur ce secteur d’activité longtemps relégué au second rang.

Les professionnels de l’industrie cinématographique togolaise sont en attente de l’adoption du code du cinéma, afin de leur permettre de mieux s’exprimer à travers leur art.


LE CŒUR DE LA VERITABLE DIVERSITE CULTURELLE, C’EST ICI ET NULLE PART AILLEURS

Plusieurs mois sont déjà passés depuis que nous naviguons à bord de ce navire dont nous ignorons encore les dimensions réelles et connaissons les passagers. Une chose est certaine, nous, les membres de l’équipage avons appris à nous accepter et à nous connaître avec le temps. Quand la navette pris le large, nous connaissions bien la destination finale. Quant aux conditions de la traversée, nous ignorions tout. Bientôt, nous allons accoster pour une première escale et une rétrospection s’impose.

Au début, l’atmosphère était très tendue et suscitait de la méfiance de certains. Au sein de l’équipage, les groupes se formaient par appartenance. Cela était beaucoup plus constaté quand nous nous retrouvions pour le déjeuner. Le réfectoire était situé dans les quartiers supérieurs, juste au dessus de ceux du capitaine de bord. Bien que le déjeuner se passait par affinité, le travail lui, était fait par rapport aux compétences et aux spécialités. certains membres de l’équipage opéraient dans les sections du 6ème niveau et les autres dans celles du 7ème. Mais contre toute attente, contre toute intervention humaine, les choses ont changé. Il ne fallut pas plus d’un mois pour cela.

En effet, cela fait 25 ans que les membres de l’équipage de cette navette, qui se renouvelle périodiquement, viennent de divers horizons. 25 années durant lesquelles il s’est fait une réputation grâce à sa grande diversité et son combat pour l’excellence. Mais notre équipage se distingue d’avantage de tous les autres de part les 25 nationalités qui le composent, une coïncidence? Surement pas. On pouvait lire la surprise sur le visage du capitaine lorsque l’animateur, un des nôtres, fit cas durant la soirée de célébration. Qu’est-ce qui fut vraiment à l’origine du changement des choses?

Les séances de répétition épiçaient de plus en plus le changement d’habitude et le rapprochement entre communautés. Les liens se sont diversifiés petit-à-petit. Chacune des communautés étaient enthousiaste à l’idée non seulement de présenter sa culture aux autres mais aussi d’en découvrir. Plus de 25 cultures différentes à découvrir, toutes réunies en un seul lieu. Quoi de mieux? On a fait en étant à un seul endroit, sur ce navire, en l’espace de ces séances de répétition, un tour du monde plus que parfait de 25 pays. Les uns étaient volontairement disposés à apprendre les pas de danse des autres. Au fil du temps, l’atmosphère s’est détendue. Le silence qui régnait au réfectoire au début avait laissé place à une atmosphère plus animée. Nous cherchions désormais à mieux comprendre la culture de l’autre au-delà des pas de danse.

Au-delà de la vie entre nous, membres de l’équipage, nous étions amenés régulièrement à côtoyer les passagers de cette immense navette. Une autre difficulté qu’il fallut affronter, principalement marquée par la barrière linguistique. La communication était plus gestuelle que verbale. Malgré cela, face à la divergence d’interprétation d’un même geste, une attention particulière s’impose dans leurs utilisations. Obligés de cohabiter avec les passagers tout au long de la traversée, nous avons essayer tant bien que mal de nous adapter à leur mode de vie, au risque de se voir jeter par dessus bord.

Face à toute cette situation, l’équipage a dû mettre en place dans les cabines, des conditions pouvant nous permettre de survivre aux aléas de la traversée. Mais si certains responsables de cabines (bailleurs) interdisaient les visites entre des personnes de sexes opposés, même si elles sont d’une même nationalité, d’autres par contre étaient ouverts à la diversité et tentaient tant bien que mal de s’intégrer à nos cultures. L’ambiance dans les cabines étaient désormais plus gaie. Fréquemment, certaines communautés organisaient de petites fêtes dans leurs cabines et invitaient les autres à se joindre à elles pour un partage cette fois-ci culinaire. Ces moments de récréations nous aidaient souvent à ne pas trop souffrir de l’absence de nos familles et à pouvoir compter les uns sur les autres. cela s’avéra très utile pour faire face au temps qui n’avait pas l’air d’avancer.

Ce gigantesque navire, ce n’était rien d’autre qu’Alexandrie, cette ville maghrébine, et surtout notre vie estudiantine à l’Université Senghor (nos quartiers), nos réalités et les conditions de notre séjour au sein de cette nouvelle maison, que dis-je notre maison. Celle-là que nous avons habité, partagé et chérie durant 8 mois, et que nous chérirons pendant les 16 prochains mois, Inch’Allah! Le cœur de  la véritable diversité culturelle, c’est ici et nulle part ailleurs.


Formation en « Réalisation de vidéos pro avec son smartphone »

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A PROPOS DU COURS

Avec l’avènement des smartphones en 2007, nous disposons presque tous d’une véritable caméra haute-définition susceptible de partager quasi instantanément ses productions sur Internet. Moins sophistiqués que des caméras professionnelles, les smartphones permettent à tout un chacun de réaliser à peu près tous types de vidéos.
Ce Mooc propose aux apprenants de découvrir les règles de l’art du tournage et du montage, et de réaliser des vidéos courtes (de communication, d’instantané, de fiction, d’actualité, etc.).

OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES

  • Au cours des cinq semaines du cours, vous allez successivement :
  • Acquérir les bases du cadrage, de la lumière et de la prise de son.
  • Apprendre à scénariser une histoire : découpage en plans.
  • Maîtriser votre smartphone et choisir les accessoires indispensables.
  • Monter rapidement vos images avec un outil en ligne.
  • Acquérir les bonnes pratiques et méthodes (boite à outils) grâce à des mises en situations diverses et ludiques.

A QUI S’ADRESSE CE COURS ?

Possesseurs de smartphones, curieux, passionnés, ayant envie de créer, de partager et raconter en images, que ce soit à des fins professionnelles ou personnelles.
Quel que soit votre métier, vous êtes sur le terrain et vous voulez communiquer : journalistes, vidéastes, enseignants, chercheurs, artistes, bloggeurs, sportifs, créatifs, community managers, responsables de communication, etc.


L’ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE

EquipePedagogiqueGobelins

Patrick THIERRY (à gauche)
Enseignant et coordinateur pédagogique de la filière “Vidéo“ à GOBELINS, l’école de l’image, Patrick Thierry forme depuis 25 ans des Chefs Opérateurs Prise de vues et Réalisateurs. Il a réalisé plus de 300 films de commande et films documentaires diffusés sur les chaînes de télévision françaises et étrangères. Passionné de voile, il a également mis au point et développé les moyens techniques de tournage maritime chez Royale Production, utilisés pour les courses et régates internationales comme l’America Cup.

Laurent CLAUSE (à droite)
Formateur à GOBELINS, l’école de l’image, Laurent Clause est Journaliste Reporter d’Images, responsable vidéo pour l’agence de presse Alchimie Médias. Journaliste chevronné, il a notamment été à la tête d’une équipe de JRI, en charge de la production des vidéos de 01net, de la rédaction et de la présentation d’un JT vidéo hebdo, et rédacteur en chef des “hors-série” vidéos. Journaliste Plurimédia indépendant, Laurent Clause anime également un blog consacré au “mobile journalism”.

Et des interventions d’experts …

Chef opérateur prise de vue, réalisateur, ingénieur du son, monteur, journaliste,…


ORGANISATION DU COURS

En cinq semaines, ce MOOC, tourné entièrement avec des smartphones, a pour objectif de faire découvrir aux apprenants la réalisation de courts métrages -fiction ou reportage- avec un smartphone. Il alterne apports théoriques et mises en application pratiques.

Ce Mooc favorisera les interactions entre participants avec des discussions en classe virtuelle, des échanges sur les réseaux sociaux et des forums de discussion. Le travail en groupe sera encouragé, ainsi que les échanges, les discussions et les débats dans la communauté des participants.

En vue des exercices de tournage que vous aurez à produire pendant le MOOC, prévoyez au minimum l’acquisition d’un grip pour tenir votre smartphone (les premiers prix sont à 3 €) et d’un petit trépied de table (à partir de 10 €).


PLAN DU COURS

Le MOOC est basé sur une pédagogie par projets. Il alterne parties théoriques et applications pratiques.

Calendrier et progression pédagogique :

  • Introduction : Découverte de l’environnement, de la progression pédagogique les 22 et 23 avril
  • Premier temps : Les bases de la caméra, du tournage (du 24 avril au 8 mai).
  • Second temps : L’interview, le son et la lumière (du 9 au 15 mai).
  • Troisième temps : Le mouvement et les accessoires (du 16 au 22 mai).
  • Réalisation du film final : du 23 mai au 29 mai.
  • Conclusion, remise des prix et certification : du lundi 30 mai au vendredi 3 juin.

Les projets :

La méthodologie repose sur la réalisation de trois projets en fin de chaque semaine :
– Projet 1 : Réalisation d’un film muet sur un thème choisi
– Projet 2 : Réalisation d’un micro portrait
– Projet 3 : Réalisation d’une fausse pub

Chaque projet devra comprendre les phases suivantes :
– Le pitch du film et le scénario
– La préparation du story-board
– Le tournage des plans
– La mise en ligne des films


EVALUATION

– QCM : à chaque étape du cours portant sur les connaissances acquises (méthodologie, techniques…)
– Réalisations vidéo : réalisation de travaux pratiques sur un mode individuel, mise en ligne du scénario, du story-board, des croquis ou photos de tournage, et de la vidéo réalisée, évaluation des travaux par les pairs. Toutes les réalisations vidéo effectuées dans ce Mooc seront évaluées par l’ensemble des participants. Pour chaque projet les 30 meilleures productions seront sélectionnées pour concourir au Prix GOBELINS.

ATTESTATION ET PRIX DU JURY

Les participants ayant complété les QCM et ayant réalisé et rendu les trois projets vidéos pourront obtenir une attestation de suivi du MOOC “Réaliser des vidéos pro avec un smartphone”.

Pour chaque rendu de projet vidéo, un Prix du Jury sera attribué par Gobelins parmi les 30 meilleurs dossiers évalués par les pairs. Ces trois lauréats recevront un certificat de GOBELINS, l’école de l’image, avec mention de leur Prix du Jury.

Un Grand Prix du Jury pour l’ensemble des trois projets sera aussi attribué et donnera au lauréat la possibilité de suivre gratuitement un stage de formation continue de 3 jours à GOBELINS.

Source et Inscription : GOBELINS L’Ecole de l’Image


Togo : LE JEUNE RÉALISATEUR TOGOLAIS STEVEN AF ACCOUCHERA D’UN NOUVEAU FILM « SOLIM »

Solim2Prévu initialement pour sortir en Septembre 2015, le nouveau film du jeune Réalisateur togolais STEVEN AF, « SOLIM« , se verra proposé au public, pour la toute première fois, le Dimanche 17 Avril 2016 à 15 heures.

L’avant première de ce film a eu lieu dans la grande salle du GRAND REX, à Lomé il y a de cela quelques jours. Ce fut une occasion pour le créateur STEVEN AF, de partager le résultat final de son travail avec ses paires, avant la grande première pour le grand public le 17 Avril.

SOLIM qui signifie l’Amour en Kabyè (langue parlée au nord du Togo) retrace la vie d’un jeune dont l’expérience amoureuse ne lui épargnera pas le drame d’une existence précaire. Il ne sera pas question d’amour comme dans les compte de fées, NON. STEVEN AF à travers cette œuvre imaginaire, rappelle le sens de certains de nos désirs et la fragilité de l’homme face à certaines émotions. quand on est prêt à tout donner par amour, on peut tout perdre par amour. Le destin de SOLIM va basculer au fil de ce mélodrame rocambolesque.

l’histoire racontée dans cette œuvre originale, bien qu’entièrement issue de l’imagination de son créateur, tire son origine d’un réel vécu de la société actuelle où règne machination, chantage, déception, criminalité, trahison, bassesse, alcoolisme, drogue et tous les autres maux qui gangrènent nos sociétés du 21ème siècle.

Les vraies questions à se poser est la suite : Que nous reste-t-il à la fin? Quelle a été la vraie raison de notre existence? Malheureusement, on aura jamais le temps de corriger certaines chose et il faudra vivre avec jusqu’à la fin, si bien entendu, nous en avons le courage.

A travers SOLIM, l’on peut également remarqué le résultat de plusieurs années de quête d’un savoir-faire, de la qualité, d’une identité cinématographique nationale, entreprise par le jeune réalisateur dont la patience, le courage et la détermination sont à saluer.

Nous vous proposons dans la galerie ci-dessous, quelques images du plateau de tournage.

Photographe : Sunlight Media-Invest


NOTRE PREMIÈRE RENCONTRE

Bientôt 3 mois que nous échangeons. Malgré les différentes photos que j’ai d’elle, j’ai du mal à me convaincre de son charme. Comment est-elle réellement? Ses photos auraient-elles été truquées? Allions-nous réellement nous entendre?

Dans quelques jours, sa demeure deviendra la mienne, ses voisins les miens, sa gastronomie la mienne. Je respirerai le même air qu’elle. Je pourrai l’admirer de jour comme de nuit.

Au début, j’étais excité à l’idée de faire sa connaissance, tellement j’étais sous le charme de ses photos. Mais plus la date se rapprochait et plus mon cœur battait de plus en plus fort.

C’est jeudi, 10 septembre 2015, il est 05 heures du matin et je suis déjà debout, moi qui suis un habitué de la grâce matinée. Mais bon, je ne pus me permettre de rater mon vol, encore moins cet instant où je la verrai enfin. Mon vol est prévu pour 12 heures et si tout se passe bien, dans 18 heures. Je la verrai enfin. Je serai avec elle. Elle dont j’ai rêvé ces derniers mois, je pourrai enfin l’embrasser.

Il était 19h35. Notre avion amorce son atterrissage. Je venais de faire une journée entière sans dormir. Mais cela valait la peine. Quelques minutes pour faire les formalités et me voici hors de l’aéroport. Il faisait nuit. Un premier balayage du regard puis un second, puis un troisième. Aucune figure ne m’était familière. Sans doute sous l’effet de l’insomnie, mes yeux me jouaient des tours. Un nouveau regard plus lent. NON, elle n’était pas là. La joie a laissé place à la tristesse. Non, ce n’est pas le moment de perdre espoir.

Elle m’avait dit qu’elle habite en bordure de la mer. Sans doute quelqu’un la reconnaîtrait. J’arrêtai un taxi. Cette fois, je ne pu m’empêcher de dormir. Je fus réveillé 03 heures plus tard par le conducteur de Taxi. On était arrivé. A peine les yeux ouverts que je l’ai reconnue. Dans ce froid accentué par le vent marin, elle était là. Dans ce décor d’immeubles aux hauteurs impressionnantes, elle était là, illuminée par toutes ces lampes allumées dans les appartements et le long de la rue principale qui longe la corniche. ELLE, c’est « ALEXANDRIE », une ville d’Egypte situé le long de la Méditerranée. Cette ville qui fut jadis, un grand carrefour commercial entre le Moyen-Orient et l’Occident, cette ville qui a abrité le célèbre Phare d’Alexandrie inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, Je la découvrais enfin.

Auteur : Nicolas-Etienne
Auteur : Nicolas-Etienne


SOLIM

Titre : SOLIM
Genre : Drame
Durée : 91 minutes
Scénario & Réalisation : STEVEN AF
Production : SUNLIGHT MEDIA-INVEST
Avec : Dyann’k DJOVAKPO,  Netti  ANKRAH

SYNOPSIS :
Pour occuper ses vacances, SOLIM fraichement diplômé d’université, participe à la rédaction de la revue chrétienne de l’église catholique de KAVETA.  Sur proposition de SIKA sa copine, il publie une histoire dans la revue. Ce qu’il avait pris pour une fiction n’était qu’une révélation d’un sordide drame. Impliqué dans cette affaire malgré lui, SOLIM n’a pas d’autre choix que de s’enfuir avec SIKA qu’il sauve in-extrémiste d’un incendie criminel. Durant leur évasion, SIKA découvre qu’elle est enceinte et que SOLIM n’en serait pas l’auteur. A ces évènements s’ajouta le décès tragique du père de SOLIM. Dos au mur, SOLIM sombre désormais dans l’alcoolisme. S’en suivra le drame qui bouleversera à jamais son existence.


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ADAMA

Titre : ADAMA
Genre : Animation
Réalisation : SIMON ROUBY
Avec : AZIZE DIABATE, PASCAL NZONZI, OXMO PUCCINO, JACK MBA

SYNOPSIS :
Adama, 12 ans, vit dans un village isolé d’Afrique de l’Ouest. Au-delà des falaises, s’étend le Monde des Souffles. Là où règnent les Nassaras. Une nuit, Samba, son frère aîné, disparaît. Adama, bravant l’interdit des anciens, décide de partir à sa recherche. Il entame, avec la détermination sans faille d’un enfant devenant homme, une quête qui va le mener au-delà des mers, au Nord, jusqu’aux lignes de front de la première guerre mondiale. Nous sommes en 1916.


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LES AVALES DU GRAND BLEU

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Titre : LES AVALES DU GRAND BLEU
Genre : Drame
Durée : 30 minutes
Scénario & Réalisation : MAXIME TCHINCOUN
Avec : Florisse Adjanohoun, Thomas Mignanou

SYNOPSIS :
Dans l’attente des nouvelles d’un proche parent, parti en pirogue pour l’Europe, Madame Koffi, une enseignante, rencontre son élève Enam qui pleure son père.


RÉCOMPENSES :

  • CINEMAS D’AFRIQUE ANGERS 2015 FRANCE – J PUBLIC
  • PRIX DU MEILLEUR COURT METRAGE
  • PRIX UEMOA DU COURT METRAGE DE L’INTEGRATION AFRICAINE FESPACO 2015
  • MENTION SPECIALE  GUILDE DES PRODUCTEURS ET REALISATEURS D’AFRIQUE FESPACO
  • MENTION SPECIALE DU JURY OFFICIEL COURT METRAGE FESPACO 2015
  • PRIX UEMOA  MEILLEURE FICTION  CLAP IVOIRE 2014
  • PRIX CANAL + DU MEILLEUR SCENARIO CLAP IVOIRE 2014
  • PRIX CANAL + DE LA MEILLEURE INTERPRETATION FEMININE CLAP IVOIRE 2014
  • FESCILOM 2015 PRIX DU MEILLEUR COURT METRAGE
  • FESCILOM 2015 PRIX DE LA REVELATION DU CINEMA TOGOLAIS
  • FIFAK 2015 TUNISIE MENTION SPECIALE DU JURY
  • FINALISTE DES 23 MEILLEURS COURTS METRAGES TROPHEES FRANCOPHONES 2015
  • NOMINATION AWARD DU CINEMA AFRICAIN AMAA AWARDS
  • NOMINATION CINEMAS D’AFRIQUE DE VERONE  ITALIE 2015
  • NOMINATION TERTIOMILLENIO  ITALIE  2015
  • en compétition CARAVANE DES CINEMAS D’AFRIQUE  LYON 2016

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AYA DE YOPOUGON

Titre : AYA DE YOPOUGON
Genre : Animation
Scénario & Réalisation : MARGUERITE ABOUET et CLÉMENT OUBRERIE
Avec : Aïssa Maïga

SYNOPSIS :
Fin des années 1970, en Côte d’Ivoire à Yopougon, quartier populaire d’Abidjan. C’est là que vit Aya, 19 ans, une jeune fille sérieuse qui préfère rester étudier à la maison plutôt que de sortir avec ses copines.
Aya partage ses journées entre l’école, la famille et ses deux meilleures amies : Adjoua et Bintou, qui ne pensent qu’à aller « gazer » en douce à la nuit tombée dans les maquis. Les choses se gâtent lorsque qu’Adjoua se retrouve enceinte par mégarde. Que faire ?


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NUIT DE NOCES

Nuit-de-nocesTitre : NUIT DE NOCES

Genre : Drame     Durée : 13 minutes

Réalisation : MARCELIN BOSSOU

Avec : Hicham BELAOUDI, Fatima Zahra MANSOURI

SYNOPSIS :

AHMED (25 ans) et DJAMILA (23 ans), viennent de se marier. Ils viennent d’un milieu modeste respectueux des traditions. Ils sont introduits dans la chambre nuptiale par la mère et la Negafa. Au moment de consommer le mariage, Djamila découvre que Ahmed n’est pas circoncis, ce qui sème un doute en elle sur l’appartenance religieuse de Ahmed. La noce est consommée. Au moment de rendre le drap nuptial, Ahmed constate qu’il n’est pas taché de sang donc que Djamila n’est pas vierge.


Égypte : 14 DÉCEMBRE 2015, UNE SOIRÉE INÉDITE POUR LES 25ANS DE L’UNIVERSITÉ SENGHOR D’ALEXANDRIE

Banderole

A peine 1 mois après notre arrivée à Alexandrie, au sein de la XIVème Promotion de l’Université Senghor d’Alexandrie, que je fus nommé « Président du comité d’organisation et Chef Projet de la célébration des 25 années de la dite université au service du développement africain.

L’Université Senghor, Opérateur direct de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) a été créée par le Sommet des Chefs d’État et de Gouvernement des pays ayant le français en partage, à Dakar, en mai 1989. Sa mission : former et perfectionner des cadres francophones africains de haut niveau, consacré au développement durable de leur continent, aussi bien des secteurs publics que privés. Depuis maintenant plus de 25 ans, l’Université Senghor offre des formations dans 9 spécialités à savoir : Gestion des Industries Culturelles, Communication et Médias, Gestion du Patrimoine Culturel, Gestion des Aires Protégés, Gestion de l’Environnement, Gouvernance et Management Public, Gestion de Projets, Santé International et Politiques Nutritionnelles. Toutes ces spécialités sont regroupés respectivement au sein de 4 Départements : Culture, Environnement, Administration-Gestion et Santé.

Je fus entouré d’une équipe tout aussi dynamique, compétente que diversifiée :

Président du comité d’organisation/Chef Projet :
Monsieur Nicolas-Etienne SOHOU N’GANI (Togo)

Responsable de la Programmation Générale :
Monsieur Béril N’ZILA (Congo Brazzaville)

Responsable de la programmation Musicale :
Monsieur Mampiray SOLOFONIA (Madagascar)

Responsables de la Logistiques et des Costumes :
Madame Marie Dieuleine ALOUIDOR (Haïti)
Madame Franscisca-Laure KOBENO-BINTOU (Centrafrique)

Responsable de l’Accueil :
Madame Alexise Fabienne NIAMIEN (Côte d’Ivoire).

Animateurs :
Monsieur Emile KABORE (Burkina Faso)
Madame Inda ETOU (Togo)
Madame Virginie BIYON (Cameroun)
Madame Mariam SANOGO (Côte d’Ivoire)

Durant 2 mois, nous avons eu à collaborer avec les 25 communautés présentes au sein de cette XIVème Promotion, à adapter un calendrier universitaire très chargé aux différentes séances de répétitions, tout cela dans un professionnalisme inimaginable pour des personnes venues d’horizons divers et qui ne se sont jamais connu auparavant, afin d’offrir aux différents invités conviés à cette soirée, un spectacles riche en couleur et d’une très grande diversité culturelle.

C’est l’occasion pour moi, à travers cet article, de dire un sincère merci à toute la XIVème Promotion de l’Université Senghor d’Alexandrie, au Bureau des Étudiants de l’Université Senghor (BEUS), aux 25 communautés présentes au sein de cette promotion (Algérie, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Centrafrique, Comores, Congo Brazzaville, Congo Démocratique, Côte d’Ivoire, Djibouti, Égypte, Gabon, Guinée, Haïti, Italie, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, Rwanda, Sénégal, Tchad, Togo et Tunisie. ainsi qu’à toute l’Administration de l’Université Senghor, sans oublie l’université soeur, l’Université d’Alexandrie (Représentée par Dr Lana Habib et ses petites protégées).

Rétrospective en images