En Europe, du moins en Italie, c’est sur ça que je peux parler, les boutiques vendent 24/24 par alternance entre les humains et les machines. Chaque fois qu’on a besoin d’un produit, on en trouve. Le lendemain de mon arrivée en Italie était le jour de l’anniversaire de leur indépendance. Toutes les boutiques étaient fermées. J’ai été pincé par une très grande envie de pouvoir fumer alors que je n’avais plus rien dans mon paquet que j’avais depuis Bamako. Quand mes yeux étaient fatigués de tourner à droite et à gauche sans voir de boutique ouverte, j’ai finalement demandé aux italiens avec lesquels j’étais. Du coup, nous nous sommes dirigés vers une machine accrochée au mur avec le dessin de chaque marque de cigarette.
Commentaires