Massytey

je dirais au monde que je pars

Poème : Je dirai au monde que je pars

 

c'est toujours difficle de partir, mais quand onfait ce choix, c'est qu'on a une bonne raison de le faire
je dirai au monde que je pars

   Je dirai au monde que je pars,

Je lui dirai de ne point me retenir

Que tout ça c’est bien fini,

Que mes larmes ne peuvent plus s’évader,

Que mes rires ne peuvent plus couler

 

   Je dirai au monde que je pars,

Loin des misères de ce monde

Je lui dirai que c’est insensé d’aimer,

Je lui dirai que je me sens blesser

Que mes rimes se sont envolées,

Que mes rires ne sont plus rythmés

Je dirai au monde de ne point insister,

Les choses de la vie ne sont point éternelles,

Je lui dirai comme dans un discours solennel,

Que mon cœur peine à aimer

 

Qu’il est trop tard pour le rattraper,

Qu’il est impossible de le sublimer,

Qu’il s’est éteint pour l’éternité,

Qu’il s’en est allé loin de cette vesprée

 

Je dirais au monde toutes mes peurs,

Toutes les peines que j’endure au quotidien

Je lui dirai que je fais des efforts pour être à la hauteur,

Que j’essaie d’être en apesanteur

Je lui dirai de ne pas croire en mes sourires,

De ne pas croire en ce visage de délicatesses

Je lui dirai de ne pas croire en moi,

Que mes espoirs, sont perdus, finis,

Je n’ai plus la force de lutter,

Je n’en peux plus de m’acharner

Chaque année, je ne fais qu’espérer,

Pour qu’un jour je sois couronner,

 

   Je dirai au monde que je pars,

Dans ce monde d’où l’on ne revient pas

Dans ce monde fait de merveilleuses lumières,

Dans ce monde que les poésies terrestres affectionnent tant

 

Je pars, pour de vrai,

Je pars pour ce monde que tout le monde ignore,

Fait de pensées et de pensants,

Un monde qui me définit parfaitement

Un monde, qui me convient réellement

Alors moi, aussi je commettrais sûrement cette erreur,

De ne pas rester près de tout ;

Mais je suis sûre d’une chose,

C’est que je partirais…

Pour de vrai !

Lucie Akouvi TETEY , je dirai au monde que je pars, 09/11/2015


Pris au piège

« J’ai toujours pensé que les autres possédaient des dons vraiment exceptionnels jusqu’au jour, où je réalisai que moi aussi j’en possédais. Quand je compris que j’étais un don, alors tout autour de moi s’illumina, et enfin j’assumais ma différence, car enfin de compte, le don c’est sacré » Lucie Akouvi Tetey 13/10/2015

 

c'est ça être pris au piège
c’est ça être pris au piège

Poème : Pris au piège

Quand les bruits des mitraillettes tentent d’assassiner ma quiétude,

Je songe déjà à un lendemain plein de certitude

Des nuits sombres, seul dans le noir,

Le cœur en larmes, plein de désespoir,

Je tente en vain d’écrire un poème,

Certes peut-être ma dernière bohême

Mon existence, s’existentialise

Tout mon être s’amenuise

Je sens comme un poids plus léger que le jour,

Je sens tout mon corps en prendre un coup

Désastre ultime !

Désastre désastreux,

Que de doutes n’envahissent mon âme,

Que de larmes ne rendent leurs armes

Dans mes nuits d’espoir, je chavire,

Maisavant de chavirer, je prends le navire

Vers des cieux inconnus, je vogue,

Seul dans tout l’océan, je vogue…

Que de peines me rendent avide,

Que de tristesse me rend le vide

La vie que le vide emporte,

Ma vie, celle que je transporte

Que de désespoir ne tourmente mon espoir,

Et enfin de compte, je suis pris au piège !

Pris au piège, dans un gouffre infernal,

Dans ce gouffre infernal,

Impénétrable,

Qu’assassine à coup de mitraillettes,

Mes années de triste solitude,

Qu’assassinent en vain mes années de solides tues

Pris au piège de n’avoir pas été,

De n’avoir pas été ce qu’en été,

Les touristes attendent de moi..

Pris au piège,

Pris au piège de ces années de douleur,

Ensanglantées de toute part,

De toute cette part d’horreur,

Que nous livre l’auteur inconnu de tous ces meurtres

Pris au piège,

Pris au piège dans un gouffre infernal,

Impénétrable,

Intarissable,

Insaisissable,

Impitoyable,

Que personne ne sait, mais meurtrier,

Que personne ne sait, mais guerrier,

Que personne n’ose affronter

Que personne ne voudrait surmonter

Et on utilise des figures de style pour le qualifier,

On en parle avec tant de simplicité,

On aimerait le tenir en vérité,

Et pouvoir en être héritier

Mais il nous tient en terreur,

Nous crible de malheur

Assiège nos bonheurs,

Et trouble nos heures

Pris au piège, dans ce piège infranchissable,

Que l’amour trouve impénétrable,

Que la vie trouve inchoisissable

Pris au piège, dans ce monde d’assassins

Qu’assassinent nos idées malsaines

Pris au piège dans nos propres figures de style,

Pris au piège dans nos propres figures de style…

LUCIE AKOUVI TETEY, PRIS AU PIÈGE, 13/10/2015

 


La vie d’une étudiante

De toutes mes expériences de vie, je n’aurais jamais pu imaginer que j’en arriverais à vivre en cité universitaire. Tout ce que l’on peut croire ou penser des cités se révèle parfois vrai, mais la vraie question est de savoir : que se passe-t-il réellement dans ces cités ?

La vie d’une étudiante commence dès son entrée à l’université. On ne s’imagine pas tout de suite que les réalités sont autres que celles du lycée. A l’université, on fait de nouvelles rencontres, on se fait des amis pour la vie et aussi des ennemis. Ma première année universitaire a été pénible, mais j’ai su relever le défi. Cette année encore, la pression monte. Je dois doublement travailler, car j’ai une chambre à conserver. Je dois m’assumer socialement. Ma chambre se trouve au 2e étage du bâtiment S. Du haut de ma chambre, on assiste à toutes les scènes possibles : disputes entre amoureux, discussion rythmée entre amis, des personnes assises à la fontaine regardant les passants, et le plus important, les voitures qui se garent.

ma vie à moi, commence par là
La vie d’une étudiante

Il est désolant de voir des pères de famille qui passent leur nuit avec de jeunes étudiantes pendant que leur femme et leurs enfants les attendent à la maison. Le comble, c’est de les voir garer leur voiture à des heures tardives. Le campus est-il un lieu de savoir, ou un lieu de prostitution ?

Ma voisine de chambre, du nom de Bénédicte, est inscrite en fac d’espagnol, en licence 3. Nos différences d’ethnies n’ont en rien troublé notre quotidien, mais une série d’événements insolites viendra bouleverser notre paisible quotidien. Au bâtiment S, il y a un phénomène que personne ne saurait ignorer : qui a branché son réchaud ?

Cette phrase qui maintenant fait partie de notre quotidien ne laisse personne indifférent. Pour pouvoir utiliser son réchaud, il faudrait s’assurer que personne n’ait branché un réchaud ; une situation pénible, mais qui à force est devenue une seconde nature. Les jalousies entre filles favorisées par les portables dernière génération enveniment le quotidien du bâtiment. Les rapports entre voisines en ont pris un coup. Plus de communication, chacune pour soi, Dieu pour toutes ! Avec l’insécurité grandissante, l’on assista le 16 juillet 2015, alors que nous profitions d’une belle soirée, à campus en folie (1). Campus en folie est l’appellation que je donnai à cette prise de bec entre étudiants membre de l’AGEECI et la police. Une situation que seuls les témoins de la scène pourraient relater sans embûches. Quelle génération sommes-nous ? Je me le demande encore, mais pour connaître la suite de l’histoire, rendez-vous pour un autre acte de  » La vie d’une étudiante « .


je négretise ma négritude

Africainement belle
Je négretise ma négritude
je suis le nègre de la liberté
La négritude

Texte : « Ma philosophie »

Concept : « Je négretise ma négritude »

« Ma philo est ma poésie nègre ! Je la négretise dans ma négritude, car moi je suis nègre, et ma philo à la couleur noire ! » Lucie Akouvi Tetey

 

J’ai d’abord pensé noir avant de penser être. J’ai été noir avant d’être MOI. Mon identité noire s’est révélée avant que je ne naisse,

Oui ! je suis un être à la peau noire.

Je suis un apatride, mais j’ai la peau noire, pas besoin de nationalité pour savoir qui je suis. Loua a demandé : « Qui suis-je ? » Et moi je dis, je suis ce : « Je interrogateur », ce Je qui intrigue les plus infimes parties du cerveau de l’être humain. Il se creuse la tête pour savoir quoi, que répondre ? Alors qu’il n’y a rien à répondre, car la réponse est « Qui suis-je ! »

Je suis Noire, philosophie pensante, négritude des nègres, lutte continuelle pour une liberté poétiquement noire

Je suis la poésie des Noirs

Leur source d’inspiration et comme le café, je me veux chaude,

Aux couleurs de ma terre, vivante et chaleureuse

Aux couleurs des abysses, purement nègre !

J’aurais pu imiter Senghor, mais si je le faisais, alors qui serais-je ?

Je n’imite pas Senghor, il a révolutionné son temps

Et moi, fille du négrier, je m’impose en tant que touche noire !

Un prototype purement africain : je négretise ma négritude

Je ne porte pas de trace de l’Occident, mais le pas de l’Afrique

Je suis celle qui porte en elle le sang du Noir

Le nègre de la lutte, aux temps coloniaux

Je suis le bruit de canons noirs revendiquant dans leurs grouillements une partie de leur histoire.

Je n’imite personne, je suis ma propre imitation.

 

Et dites-moi, qui saurait imiter un nègre dans toute sa négritude ?

J’écris mon état d’âme, je parle de moi, de cette pensée enfouie en moi que personne ne comprend.

Je me dissipe de tout errata et je fais subsister ma pensée. Je pense, pendant que mon esprit peut converser avec mon âme.

Ils parlent de manières, de façons, de tout ce que tu ne comprends pas, que le monde appréhende, mais qui est vérité absolue.

Je fais mon examen de conscience. Ma pensée a été une fois un pensant, et là j’ai laissé mon instinct me dominer. J’ai appris à être un instinct avant d’être une pensée ; j’ai rompu entre moi et le monde toute connectivité déconnective de lui et moi. Je parle de philosophie noire. De toute ma dialectique de vie. De tous ces mots qui me composent, et que personne ne comprend ; et si moi je me comprends, c’est parce que moi je fus un pensant !

Je philosophe avec mes mots.

Je les rends poésie quand ils semblent être un rien.

Je fais comme le nègre, je lutte, je me bats pour faire de ma pensée un vrai savoir africain !

Je pense autrement pour que ma belle Afrique pense bien.

Je parle de survie pour qu’elle vive.

Je ne me défends pas, c’est elle qui me défend.

Et quand tout semble flou, j’ai ma pensée qui me rend lisible.

Je fais de mes écrits de vrais savoirs littéraires.

Je parle d’avenir et pense au passé.

Je m’inspire de ma culture pour faire ma poésie,

Je parle d’elle comme d’un enfant.

Et même si j’étais la mère de tout cet univers pensant, alors rien n’aurait été différent.

Ma philosophie interpelle,

Elle dicte et n’impose pas,

Elle se rebelle,

Elle est belle

Elle un appel au réveil des consciences.

Un réveil noir et conscient !

Elle murmure à l’Afrique le chant de liberté !

Elle apaise les cœurs et unifie les mœurs.

Elle se reconnaît en la liberté de ses fils.

Elle est l’arme des faibles.

L’arme des forts

Elle est noire,

Purement poésie nègre

Elle négretise le monde littéraire à la manière noire

Elle est un Qui suis-je ?

Une réponse interrogative

Elle est elle-même le socle de la vie noire,

Une vérité absolue que personne n’ose démontrer

 

Je pense ma philosophie à la nègre.

Des touches colorées attachées à mes valeurs noires.

Je suis un être pensant mais avant tout une négrillonne.

Je négretise dans ma négritude cette partie de négrier qu’il y a en moi.

Ma philosophie est d’abord noire.

Elle n’a pas les traces de l’Occident, mais les couleurs de l’Afrique.

Elle pense humanité,

Elle pense égalité !

Elle est pour la vérité de l’esprit !

Elle pense pensée noire !

Elle sait que l’Afrique est faite de pensées que personne n’ose développer. Mais moi, je philosophe, j’apporte ma touche de savoir, pour changer le monde. Je négretise ma négritude ;

Je suis Noire et ma philosophie est noire.

Je pense négritude comme Senghor et Césaire.

Je pense liberté comme Mandela,

Égalité comme Gandhi !

Ma philosophie est noire, c’est elle qui a la force du monde. Je la slam sur des airs de soul, je la rap à l’africaine.

Ma philo à moi dépasse les frontières ; elle donne à l’Afrique sa part de volonté ; elle n’excède pas les limites ni ne viole les règles, mais elle dénonce ce que l’esprit humain appelle pensée universelle.

Ma philo est ma poésie nègre. Je la négretise dans ma négritude, car moi je suis nègre, et ma philo à la couleur noire !

Akouvi Lucie TETEY 13/03/2015 Ma philosophie !

28/03/15 ; achevée !


le Français noir! un concept africain!

  BONNE FÊTE DE LA LANGUE FRANÇAISE NOIRE!

image sur la francophonieMoi j’aime le Français! C’est vrai quoi! Le français est une langue indispensable dans la vie de chaque personne. Ici en Côte d’Ivoire, cette langue est pour ainsi dire parlée selon les ethnies. Ce qu’il y de plus perceptible, c’est le Noushi, un dialecte des rues qui ne laisse personne en marge. C’est plus facile  de se comprendre d’autant plus que les règles grammaticales du Français présupposent une véritable connaissance de cette langue. La langue française en elle même est complexe. Alors nous en Côte d’Ivoire, on parle le Noushi.

Le Français est une langue que chacun doit mettre à profit, tant à l’école que dans les milieux urbains. Ce qui est important dans une langue, c’est de pouvoir se comprendre et surtout comprendre les autres. Le Français est la langue qui réconcilie le monde à la littérature. Parler le Français c’est avant tout et surtout être en phase avec son temps. Il faut savoir s’exprimer et exprimer son ressenti. Vivre en démontrant par le peu de savoir reçu que la langue française n’est plus un secret. Oui! Comment affirmer qu’on parle le français si l’on arrive à peine à  exprimer rien qu’une fois ce que l’on ressent. Avec le Français, on vit, on ressent, on dit, on révèle, on met à nue ce que la langue maternelle ne dévoile pas toujours.

Moi j’aime le Français! j’aime cette couleur qu’il revêt et qui s’imprime en moi avec force et douceur! C’est agréable de pouvoir s’exprimer en Français. Les autres ne me comprennent pas toujours, mais j’adore faire des mots, des secrets des dieux. Avec cette langue j’arrive à voiler mes peines; je me découvre un autre univers, j’apprends de nouvelle chose. On commence par ce qu’on sait de mieux pour aboutir à quelque chose de plus grand. Et cette langue est pour moi le monde du parallèle!

Aujourd’hui je fais des néologismes. J’adapte ma langue maternelle au Français. Pour moi être francophone ne veut pas dire perdre ses racines mais plutôt incorporer toutes ces belles traditions ancestrale à ce mythe de langue.

Insuffler à mes racines des traits du français, c’est dire oui aux néologismes et ouvrir le champs à un nouveau courant littéraire: Le Français noir! La modernité engendre une vague de nouveauté et l’Afrique regorge de potentialités inépuisables.

Ignorer nos valeurs en marge de cette langue française serait éluder l’avancée de la science. Et moi, en tant qu’africaine je déclare avant même le 20 Mars que la langue française porte des racines noires!

Senghor et Césaise ont parlé de Négritude, et moi je parle du Français Noir!

Cette langue qui comprend les dialectes africains adaptés à la langue française: Je négretise ma négritude! Ce Concept est d’abord mien mais il est avant tout  Noir!

J’apporte à l’Afrique son vent d’air frais; je suis une de ces filles, et je perpétue mes racines ancestrales en promouvant la langue française. Une langue adaptée à nos valeurs ancestrales ne ferait qu’accroître cette richesse qu’est le Français!

 


le vélo, un espoir, une vie!

    Le V-lo!

Moi j’aime le vélo!     

J’aime en faire quand je suis triste,

Au soleil avec mes amis,

J’aime en faire le soir,

Quand la nuit jette son voile!

Moi j’aime le vélo!

J’aime ses roues qui me font vivre

Une expérience nouvelle et novatrice!

Des sensations que refrène le corps,

A Force de faire du V-lo!

Moi j’aime le vélo!

J’aime ses rires qui me font sourire!

J’aime sa survie, sa lubie!

J’aime son blues, son  jazz, son rap,

une habitude folle qui dérape!

Moi j’aime le vélo!

Cette envie de folie et de liberté,

Cette envie de vie et de complicité!

 Moi j’aime le vélo!

Le risque, le gout de l’aventure!

M’envoler vers des cieux inconnus;

Traverser des sillons impénétrables!

Voguer dans des océans insondables!

Moi j’aime le vélo!

Cette envie de solitude sur les routes!

Partir seul, à l’aventure,

Sans bagages, ni amis,

Avec en soi le goût de l’imprévu!

Moi j’aime le vélo!

J’aime ses couleurs,

J’aime sa candeur,

J’aime sa chaleur,

Et  aussi sa fraternelle ardeur!

Moi j’aime le vélo!

Celui qui me conduit sur le chemin de la vérité,

Celui qui me fait être liberté,

Celui que les hommes ne cessent de convoiter,

Et qui se trouve être leur dignité!

Je l’aime ce vélo, qui me fait exister,

Je l’aime quand je continue de résister,

Je n’attends que lui pour continuer à lutter,

Pour qu’il me mène sur le chemin de la liberté!

J’aime ce vélo,

Je n’en aime que lui,

Et si je ne l’aimais pas,

Je lui dirais toujours oui,

Ce vélo de mes ancêtres,

Ce vélo qui m’a vu naître!

Moi j’aime le vélo!

Celui que je peux écrire V-LO

Et qui t’intrigue,

Mais qui l’émerveille,

Quand moi j’écris V-LO

Il a une partie de mon histoire,

Il dirige mes espoirs!

Et me conduit sur le Weg de la victoire!

C’est lui mon espoir!

Moi j’aime le V-lo!

Je l’aimais, je l’aime et je l’aimerai!

Tous les jours de ma vie ainsi soit dit,

A toi mon Vélo, sur le chemin de ma liberté!

 

 

 


et si je vous parlais d’amour? que me diriez-vous?

PROSE : Et si Je vous parlais d’amour ?

l'amour: le connais tu?
l’amour, la dialectique de notre vie!

                              « J’ai pourtant été une fois au moins amoureuse, et je peux le dire, c’est un sentiment merveilleux qui nous donne de voir le monde autrement, j’ai ressenti au plus profond de moi chaque goutte de cet amour, sans jamais oublier qui j’étais. Mais cet amour m’a conduit à la contradiction amoureuse : aimer c’est vivre emprisonner pour l’éternité dans une prison d’illusion. Qui suis-je ? Peut-être suis-je une de ces philosophes des mots qui sait établir entre ceux-ci et la pensée un rapport de cause à effet ! »Akouvi Lucie TETEY

 

Si aimer était aussi simple alors tous seraient amoureux. Mais ce qu’il y a de plus perceptif en amour c’est la douleur. Elle est parfois physique, expression d’un mal-être, sensation d’aliénation, visage terne sans vie ; elle est aussi interne ; peine, angoisse, rupture entre l’équilibre de l’âme et l’esprit, plus de connexion entre la pensée et le pensant ; toutes les cellules se meurent, c’est ainsi. La douleur est l’expression d’un amour interdit, un sentiment pas dévoilé qui grandit à mesure qu’on aime. Aimer, c’est souffrir, c’est se torturer l’âme pour un instant de bonheur, un moment de silence pour espérer entendre un Je t’aime ! Aimer, c’est vivre en portant sur soi un joug, un joug qui nous conditionne à être des automates, agités par la force de l’amour à en perdre la liberté de Soi ! C’est aussi ça aimé, ressentir une douleur indescriptible, destructrice et dévastatrice.

L’amour serait pour ainsi dire, l’asphyxie de l’âme, une aliénation morale spirituelle et physique, car la relation sensorielle entre notre corps et notre esprit se rompt. L’amour a ceci de fascinant car il est capable d’éluder les fondamentaux de la vie, il subsiste comme entité première, et occupe l’espace vitale de notre cerveau : il devient ainsi le disque dur de notre existence.

Mais, Être amoureux, c’est avant tout être heureux ! Connaître un bonheur plus que félicitées, une dimension de soi qui nous échappe parfois. L’amour est la somme des sentiments qu’un homme et une femme éprouvent l’un pour l’autre. C’est aussi une marque indélébile que l’âme met à nu quand volontairement baisse t-elle sa garde. L’amour est le doux supplice d’une vie trop monotone, un élan vers, une connectivité sensuelle et à la fois spirituelle, quelque chose de sacré et de tabou. L’amour est si je le peux dire la dialectique de toute une vie. Il est l’expression de la souffrance et aussi du bonheur, il est le dévoilé des sentiments et le Tu des douleurs, il est le quotient intellectuel de toute existence terrestre.

L’amour n’est pas seulement torture, il est apaisement, une autre dimension du Soi que personne ne saurait prétendre connaître dans toute sa profondeur. Il est la quête perpétuelle de quelque chose qu’on ne possède pas et qu’on aimerait posséder.

L’amour est un mythe vraiment sacré, il sait lui ce que c’est qu’aimer, car dire je t’aime n’est pas souvent aimer.

L’amour c’est le silence des mots ; ils traversent nos pensées à la vitesse des battements de nos cœurs, à l’heure où les aimés dévoilent tous leurs charmes.

Il est le murmure de la chambre la nuit, le craquement du lit, le bruissement des draps qu’accompagnent les gémissements de l’âme ! Il est cette étreinte que nul ne saurait expliquer, une envie d’autre horizon, un semblant de dégoût, l’expression du péché charnel que Dieu proscris à la lumière du Christ.

 Si je vous parlais d’amour, ce serait pour vous l’occasion d’aimer, de rechercher en vous l’essence de l’amour et contempler les mots à en perdre leur essence pure. Or l’amour ne conçoit pas les mots comme la recherche continuelle d’envies, mais plutôt l’expression de sentiments que les mots de ne peuvent traduire. L’amour c’est ce que chacun conçoit et convoite, et qui reste cacher au fond du cœur comme des liaisons éternelles !

Akouvi Lucie TETEY, Et si je vous parlais d’amour ?


l’amitié, la vraie, et qui est gravée dans mon coeur c’est toi,Dorky!

tu es mon amie, une fleur rare que nul ne saurait admirer et que mon coeur a su contempler!
Dorky et moi, en amphi 7, une amitié authentique

 » L’amitié, c’est celle que l’on conçoit avec soi_même et qui s’étend aux autres. L’amitié est un sentiment précieux qui ne compte pas les heures et qui perdure tant que la vie nous habite! l’amitié, c’est toi Dorky! une amie chère à mon cœur! »

  Akouvi Lucie TETEY

J’ai eu des amis et j’en ai toujours. Mais l’une des plus belles est celle qui m’unit à Dorky. Derrière son air candide, c’est un cœur plein de joie et d’amour que j’ai trouvé.

Elle est cette fleur rare qu’on rencontre au désert et qui d’un air enjoliveur, nous sourit.

Elle est l’humour même du comédien, un sens plus vrai à la vie, une envie de douceur, un rêve d’enfant.

Elle n’a pas jugé ma personne dotée d’un fort caractère qui fait parfois fuir les autres; elle a compris, elle le plus important, et c’est ce qui fait que je l’aime autant.

L’amitié est selon moi, la somme de toutes nos différences que nos oppositions d’idées viennent renforcer. C’est le sentiment indispensable à tout souffle de vie; une transition entre la souffrance et le chagrin;un sens plus fort à notre envie d’amour.

L’amitié, c’est le souffle de toute existence. C’est un sentiment que personne ne peut expliquer, mais qui se transforme très vite en un sentiment indescriptible qu’on appelle Amour.

Avec Dorky, je me sens bien. je suis moi, elle est elle et nous sommes nous; un ensemble heureux, une paire indissociable, une entité première que personne ne pourrait réfuter.

C’est l’une des personnes chères à mon cœur, une amie que j’affectionne de tout mon cœur.

Elle est comme ma poésie que seule devant la feuille j’écris. Cette belle musique qui fait vibrer tous mes sens, ce sentiment d’apaisement et de bien-être, qui me ramène à la réalité.

Elle m’a fait découvrir une autre version de moi qui ne se compare pas à l’amour; cette dimension de l’être que personne ne peut contester. Et je suis heureuse de l’avoir en moi!

On parlera toujours d’amour. De celui pour qui bat notre cœur, mais d’ami comme elle, on en parlera jamais. Car avec elle j’ai tissé les meilleurs liens de ma vie universitaire, les meilleures années de ma vie. Même si le temps nous éloigne, notre amitié résistera; et quoiqu’il fusse dit, notre amitié survivra.

Elle n’est pas sourde l’amitié, elle est

compréhension,

communication,

attention,

appréhension,

prétention,

appréciation,

sensation,

illusion,

désillusion,

conversation!,

divergence d’opinions,

liberté d’expression!

Elle est également apaisement, sentiment, vie! et santé!

L’amitié est le sentiment qui nous ramène à nos réalités et qui nous pousse à nous préoccuper de l’autre. L’amitié c’est toi, Dorky, le merveilleux cadeau de ma vie.

Si je n’ écrivais pas cet article, alors le tourment m’aurait emporté, le désespoir, m’aurait dévasté car sans toi, ma vie est un peu mitigée. j’ai besoin de toi, chaque jour de ma vie; tu es ma sœur jumelle; je ne peux pas me défaire de toi.

Et même si tout nous sépare, et que le temps se dresse comme obstacle entre nous; même si leurs langues de vipère nous enveniment, jamais je ne resterai loin de toi!

Car le vrai sens de l’amitié ce n’est pas d’écouter les battements du monde, mais plutôt d’écouter ceux d’un cœur rempli d’amour et d’amitié!

Car enfin de compte, l’amitié, c’est Sacré!

 

 


Les éléphants! notre espoir, notre vie!

Merci Joël de montrer à quel point ta patrie t’est chère!

« G xui éléphant »

j'aime mon pays et notre équipe nationale!
fier d’être éléphant

 

Allez les éléphants! on compte sur vous pour nous rapporter la victoire! » Akouvi Lucie Tetey!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La victoire des éléphants ce dimanche 01 Février, a prouvé à plus d’un que la Côte d’ Ivoire possède encore des joueurs capables et de surcroît, engagés. C’est difficile de faire confiance à une équipe qui vous déçoit la plupart du temps mais je crois qu’avec un peu de détermination et de volonté tout est possible.

Ce que les ivoiriens oublient, c’est le soutien qu’ils doivent apporter à cette équipe qui cherche encore ses repères.Ces joueurs ont besoin de soutien, pas de découragement.

On ne peut que critiquer de l’extérieur alors que le travail abattu est de taille. Je ne pense pas qu’il soit évident de courir de long en large sur un terrain en quête d’une victoire, celle d’un peuple et non des moindres.

Nos éléphants ont peut-être été déstabilisés au début mais je suis heureuse de voir autant les supporteurs engagés et surtout unis pour leur patrie.

Le football rassemble les peuples! Il les entraîne vers un but commun! Il leur donne de la joie, des pleurs, de l’amour, un amour pour sa patrie, un amour qui se ressent devant chaque match de foot!:Le Football c’est l’hymne des Vainqueurs!

Chacun de nous porte en lui un amour profond pour sa patrie, incommensurable et vivant!

Chacun de nous porte en lui une énergie puissante qu’il ne se doutait pas avoir!

Chacun de nous a sa part d’histoire à écrire!

Participer à l’histoire de son pays c’est ouvrir le champs du possible; oublier les rancœurs pour reconstruire enfin un seul pays. Ce dimanche la victoire des éléphants nous a rassemblé autour d’un même but: La victoire des éléphants!

Et chacun a été heureux de serrer dans ses bras quelqu’un, même un inconnu! Aucun ne s’est soucié des différences, car en Football il n’y a pas de différence!

Aujourd’hui encore nous devons être fiers de porter le maillot ivoirien! Qu’ils gagnent ou pas notre vision doit être d’être heureux et de continuer à les soutenir! Ils sont notre vie, nos frères, notre patrie!

Je suis fière de ma chère patrie la Côte d’Ivoire et surtout fière d’être Éléphant!

J aime ma patrie! elle a la couleur de la vie, de l’amour et de la liberté!

c'est ma patrie et ma vie je suis fière d'elle!
Allez les éléphants!

 


beautiful Mama, beautiful Africa

Africainement belle
Beautiful Mama, beautiful Africa

«   Être une beautiful Mama, une beautiful Africa, c’est être une beautiful femme, oser ce que les autres ne peuvent oser, être une beauté authentique. » Akouvi Lucie Tetey

 

 

 

 

 

 

L‘Afrique est belle de ses richesses, elle possède de belles femmes, d’énormes potentialités qu’elle ne peut soupçonner.  Beautiful Mama, Beautiful Africa, c’est avant tout mettre en relief la beauté africaine, savoir la valoriser, à en être fière.

Combien sommes nous à être des Beautiful Mama? Combien le sommes nous femmes africaines, à mettre notre savoir-faire au service de notre belle Afrique.

Nous sommes dans le creux de ses mains, insondable comme le soleil, qu’attendons nous pour voler de nos propres ailes? Un souffle de vie, peut-être que là encore l’envie se fera sentir.

C’est comme voir la vie plus proche que jamais, retenir son souffle devant le reflet d’un charme silencieux, et ne pouvoir rien dire que Silence!

C’est comme retenir ses larmes devant son sourire enchanteur, ne pas rire quand ses yeux vous sourient, et rester planter là en attendant encore que le monde s’ouvre à nous!

Beautiful Mama, Beautiful Africa, où te caches-tu, quand Mère Afrique cries vers toi? Où es tu quand tout est possible?

L’Afrique a besoin de femmes qui savent oser, et qui se mettent en avant pour faire d’elle le continent du Savoir-faire féminin; l’Afrique, notre belle Afrique a besoin de Femmes, qui n’hésitent pas mais qui tentent l’impossible, qui prennent le devant des choses quand le besoin se fait sentir!

Beautiful Mama, Beautiful Africa, que sais-tu de ton continent? Connais-tu ses larmes? Connais tu sa peine? Sauras-tu panser ses blessures? Seras-tu assez forte pour aller au delà de ce monde? pour percer enfin le mystère de la vie.

L’Afrique a besoin de nous, pour que demain ,elle ne pleure plus; elle a besoin de nous  afin que son sang ne coule plus, car toutes ces guerres et conflits lui ont brisé le cœur.

Qu’attends tu? Où es tu? Elle t’attend, montres-toi, c’est le moment!

Il est maintenant temps de lever le voile sur toutes ces meurtrissures et reconstruire un avenir meilleur à notre Mère Afrique!

BEAUTIFUL MAMA, UN JOUR, BEAUTIFUL AFRICA,TOUJOURS!


drôle de contraste!

belle natureLe but de toute écriture littéraire est de créer un contraste avec le monde qui l’entoure, de part là chacun trouve en lui l’imaginaire nécessaire pour faire valoir son art. La littérature, n’est-elle pas la recherche d’une imagination pure et vivante qui au delà de tout déterminisme fait exister le beau? Drôle de contraste! Lucie Akouvi Tetey

 

 

                                                    

 

 

                                       Je rêve d’Allemagne et de paix,

De liberté et de vie, d’un océan d’amour et de joie, d’une existence parée à toute éventualité

Je rêve d’Allemagne et de paix,

D’un bonheur que surprendrait mes peines, d’envie folle de renaître de ces cendres, rien qu’une fois en passant.

Je rêve d’Allemagne et de paix,

D’amour, d’ennui et de peurs! de nuits noires et désastreuses, que voilent mes rires enchanteurs

Je rêve d’Allemagne et de paix,

D’une odyssée  pleine de charmes et d’entrain, d’une sortie au clair de lune, de tout sauf de guerre!

Je rêve d’Allemagne et de paix, 

D’une plume libre aux couleurs de mes origines! D’une terre sur laquelle poser mes pieds,

D’une rivière dans laquelle me baigner

Je rêve d’Allemagne et de paix,

D’un peu de douceur et de miel! d’une part de moi que je ne trouve pas, lorsque vos regards croisent les phares!

 

Je rêve d’Allemagne et de paix,

De vie, d’envie et de peurs, de racine d’énergie, et de plaintes, d’une vie de plénitude, que Demander de plus? D’un réveil majestueux, d’une envie de jazz, d’un moment de tranquillité D’une musique de pas!

   Je rêve d’Allemagne et de paix,

de rêves éveillés et vermeils, de paris ou encore de Venise, de romance ou peut-être de Liaison.

   Je rêve d’Allemagne et de paix,

de souvenirs , de conjectures, de pensées tendres et folles, de baisers tortueux, d’amour Interdit

     Je rêve d’Allemagne et de paix,

je rêve de ne point m’en dormir encore, dans profond sommeil d’enfant,  fait de rêve et D’illusion.

Je rêve d’Allemagne et de paix, 

d’amour, d’envie et de liberté, d’une envie de tout et de rien  qu’avec toi, sur les traces de Berlin!

 

 


la poétique prose: Rupture

Toute rupture impose un renoncement de soi et une volonté à vouloir aller de l'avant
rupture!

 » J’ai cherché au fond de moi une alternative à toute chose. Ne pas se préoccuper du monde c’est rompre avec lui tout lien d’aliénation ou de liberté.  C’est pourquoi je vous écrit du plus profond de monde d’écriture ma Prosée l’une de mes plus belles pensées poétiques née du concepte Mots de Moi, Moi de Mots , pour juste vous rappeler que les mots ne meurent pas.Ils vivent en chacun de nos écrits; ils sont le souffle d’air vivant que nous respirons, un sens plus sensible à la délicatesse de nos yeux et même là, il y a Rupture.  » Lucie Akouvi TETEY

 

La poétique prose: Rupture

 

Existe-t-il en ce bas monde plus de rivière que de songe? ou peut-être pourrait-on rien qu’une fois trouver un juste milieu entre les choses? Ce que nous voyons n’est-ce pas un rêve dans un autre rêve ? L’illusion ne nous ferait-elle pas de notre état d’ Etre et de Non- être ?

Entre l’Etre et le Non-être, il existe une rupture; entre les mots et la pensée il existe une rupture.

Rompre. Est-ce pour autant le conjuguer au passé composé qui le fait exister? ou établir avec le monde une déconnexion subite ?

Rompre, est-ce pour autant ne plus aimer? ou décider de prendre en main son destin ?

Existe-t-il une connexion plus profonde que l’amour qu’on se porte? Haïr n’est il pas souvent conjugué au temps présent?

Rompre. Est-ce pour autant ne plus aimer? Ou concevoir le bonheur autrement ?

Rompre. Est-ce nier l’évidence du tout ? ou souffrir en silence ?.

 

Rupture

Rupture entre le temps et le vent, déconnexion profonde, parallèle à la notion de vie.

                                                 Rupture

Rupture entre les mots et la pensée. Penser autrement, penser rupture.

Existe-t-il des grouillements plus sonores que ceux du ventre de la terre ?qui suscitent en nous des envies surhumaines ? ou serait-ce le fruit de notre imagination que regarder avec les yeux de l’esprit ?

Rompre. Est-ce pour autant vivre sous le joug de l’amour? ou porter sur soi le lourd tribu des déceptions passées?

Rupture

Rupture entre la vie et la mort. Sillons impénétrables de nos corps mortels.

Existe-t-il ici-bas une existence supérieure à une autre? qui sache établir des ruptures singulières quand il le faut ?

Rompre. Est-ce pour autant se voiler la face? ou se dévoiler à la face du monde comme étant antipathique?

                                                 Rupture

Rupture entre deux êtres pour qui aimer est insensé. Rupture d’une connexion sensible aux charmes de la nature.

Existe-t-il encore dans nos cœurs des voies que ne songent nos envies à dévorer? ou l’homme serait-il un animal pensant capable d’ignorer des larmes assassins ?

Rompre. Est-ce pour autant s’éloigner de la vie en conduisant notre âme au péché de la chair? ou est-ce vivre dans la condition de chasteté qui nous fait être des saints.

Rupture

Rupture entre deux enveloppes charnelles, rupture entre le désir et le plaisir.

Existe-t-il ? En existe-t-il?N’en existe-t-il pas ? ou serait-ce exister rompre? Rupture entre l’esprit et la pensée, rupture d’une connectivité sensuelle. Rompre. Est-ce pour autant se détester? ou voir en cette rupture un bout de liberté.

Rompre est-ce souffrir?

Rompre est-ce mourir?

Rompre est-ce pour autant se trahir?

Rompre est-ce vieillir?

Rupture

Existe-t-il des connexions plus profondes qu’une rupture? Mettant à nu nos tentes terrestres pour ne laisser entrevoir que nos plus belles pensées poétiques.

Rompre? Est-ce renoncer à son bonheur? Rompre est-ce refuser d’être comme eux?

Rupture

Existe-t-il des sensations plus étranges que l’amour, qui perdurent tant qu’on se sent blesser ? ou serait-ce le but de notre vie que de connaître la souffrance ?

Rompre. Est-ce pour de bon, rompre? ou espérer dans son regard un souffle d’amour vivant ?

Rompre est-ce abandonner sa dignité à la triste torture d’une vie de solitude ?

 

Existe-t-il des connexions plus profondes qu’une rupture? Mettant à nu nos âmes immortelles pour ne laisser transparaître que la poétique prose ; car le poète seul sur sa feuille s’applique à vous écrire ses plus belles pensées poétiques.

Rompre. Est-ce pour autant être déconnecté? ou se disperser du mieux de notre esprit ?

Rompre. Est-ce pour autant ne plus le conjuguer au présent ? qui nous dirait : je romps.

Rupture

Existe-t-il ? En existe-t-il ? existerait-il des pensées plus chaotiques? que seul le poète médite, quand seul nous écrit-il sa prosée.

Existe-t-il un refrain plus perçant que celui d’un amour qui se meurt? établissant avec ses sens un semblant de perfection?

Rompre est-ce pour autant fermer les yeux quand la douleur nous assassine? Ou est-ce se perdre dans de viles blessures qui ne font que nous amoindrir ? Rupture entre deux mots qui se croisent. Rupture plus que rupture.

Rupture

Est-ce écrire Rup et Ture? ou est-ce en connaitre le sens qui signifie Rupture? Le poète à qui ce mot est Révélé, est le seul à pouvoir en donner un sens apparent. Usager des mots, seul devant sa feuille, effaçant toute perception visible, il nous écrit la poétique des mots!

Existe-t-il une connexion plus profonde que l’amour ? Haïr n’est-t-il pas souvent conjugué au présent ?

Rompre. Est-ce pour autant ne plus s’aimer ? ou établir avec le monde une déconnexion subite.

   Rupture, est-ce pour autant rompre ?

                                                                                                                                                                            

 


un noël magique

laisser la magie de noël s'opérer en vous!
un noël magique

  Seules les âmes les plus délaissées pourraient vous en conter la magie! Noël est pour elles, un signe d’espoir, un renouvellement de soi, une occasion de pouvoir repartir de zéro.

A chacune des étapes de sa vie l’homme appréhende chaque chose avec beaucoup de tact et de finesse, mais quand il s’agit de Noël, il semble être dans un monde imaginaire! On ne saurait être indifférent devant un charme irrésistible, de même à Noël, c’est une sorte d’euphorie qui nous habite! Même ceux qui ne croient pas en Noël, trouve en eux ce jour là, la force de réaliser des merveilles! La magie s’opère en eux! Les enfants croient-ils en Noël parce que bercer d’illusion? Non! ils y croient car ce jour là les rêves les plus fous deviennent réalité! Toute la musicalité de l’amour les berce; ils découvrent un monde merveilleux qui n’existe que dans les contes de fée!

Noël est le symbole d’une vie pleine d’entrain , de recommencement, de nouveauté! Noël n’est pas seulement le jour de la célébration de la naissance du Christ, Noël c’est aussi la particularité des choses; tous ces évènements qui nous arrivent,et qui ce jour trouvent leurs réponses; c’est aussi ça Noël!

Noël magique, une fête qui rassemble les cœurs, unie les plus divisés, une fête qui appelle à la conversion! Prétendre ne pas croire en l’esprit de Noël, c’est oublier de vivre ce jour là, c’est renoncer à ses rêves d’enfants, c’est également priver ses enfants de leur plein droit à vivre un temps soit peu la vraie magie des fêtes!

On ne pourra jamais oublier cette fête qui rassemble le monde entier autour d’un même but: vivre un Noël magique! On ne peut pas rester là à se morfondre en ce jour de pure joie! Chaque est un poids que l’on porte, mais à Noël la magie s’opère! Plus rien ne nous pèse; on sent le voile se dissiper, la vie reprendre son élan, tout a de l’importance maintenance maintenant, plus rien ne nous entrave: l’homme est en pleine réalisation!

Alors avant de fermer vos portes à l’esprit de Noël, dites vous seulement: Que seriez vous sans un peu de magie?

 


Mon identité personnelle

J’ai toujours rechercher ma propre identité au point de me laisser envahir par de sombres ténèbres, et j’en suis arriver à me demander: Qui je suis réellement

A la question de savoir ce que je représente réellement pour moi, je ne sais si une réponse adéquate me sera trouver, car la nature de l’homme éveille en nous une certaine complexité qui nous laisse toujours sur une note insaisissable.

Moi j’ai grandi dans une famille modeste; j’ai fait l’expérience de la vie assez tôt, mais ce qui m’a le plus bouleversé dans cette vie, c’est de vivre avec un doute dans l’âme.

La plupart de mon temps, j’écris, à travers cet échappatoire je survis. Je me laisse bercer par mes écrits à en perdre la raison. Enfin de compte le bon sens ne s’accompagne t-il pas de folie! Fort bien! D’autant plus que chaque instant de ma vie je l’ai passé en pleurant. Des pleures qui m’ont fait douter de tout. Mon existence entière, en a pris un coup. J’avais beau fuir mes peurs, fuir cette réalité, l’évidence du tout me rattrapait. L’évidence du tout est pour moi le qualificatif de la solitude, peine en mon cœur , sensation d’être mal-aimée, doute en mon âme, peur, angoisse, tristesse.

Toutes les pensées enfouies en moi faisaient surface comme-ci la fin était proche. Je me demandais alors ce que je faisais ici-bas? Pourquoi Moi? Et encore une fois l’évidence du tout avais pris le dessus sur ma conscience tranquille.

A ce stade là, on se sent moindre; tout ce qu’on fait, nous semble peu par rapport à nos attentes, on perd les pédales: on se sent ainsi comme un étranger dans sa propre maison; Tout le monde nous énerve car personne ne comprend ce qu’on ressent. La vie nous semble perdre son charme, tout devient terne autour de nous. Alors on s’enferme dans les prisons de l’Esprit; on tergiverse avec le néant, on s’accroche au désespoir, on devient nos propres ténèbres.

Les sensations de bonheurs nous disparaissent, le contact avec les autre devient plus difficile. On se renferme sur soi; rien n’a pour nous de valeur. Ce sentiment de doute, d’incertitude devient notre compagnon de route, on ne peut plus s’en passer; et c’est de là que partent toutes nos blessures qui s’enfoncent de plus en plus dans un gouffre infernal: Les prisons ténébreuses de l’âme!

J’en parle avec tant d’assurance car  j’ai fais l’expérience douloureuse de ces prisons.

J’ai jamais su trouver les mots pour expliquer mon ressenti. Personne à part moi n’a pu combler ce vide.  En quête d’une identité qui peut-être n’existe pas, j’ai dû traverser des moments d’atroces douleurs. Je semblais  perdue dans cette réalité brute. Ce monde revêtais une face trop mensongère pour que je me laisse attendrir. Mais au fond de moi, je savais que j’avais le choix entre demeurer prisonnière ou décider de me battre!A Force d’être obnubilé par ce que l’on pense de nous, on oublie qui on est : Qui on est c’est ça le plus important!

paraître aux yeux du monde comme une entité pure!
je suis ma propre identité

Je sais que je ne suis pas la seule à avoir pleurer . Je laisse à chacun la possibilité d’affronter ses propres démons et de choisir l’identité qui lui sied. Je ne suis pas la seule à qui les blessures qui ne se voient pas ont causé d’énormes dégâts. Je suis encore en quête d’une présence authentique, d’un Moi qui saurait me donner l’opportunité de vivre selon ce que je ressens…

Qui suis-je réellement? je veux le savoir! Il est surement trop tôt pour essayer de comprendre et de rechercher une certaine identité ou plus,  vouloir comprendre le monde, mais il n’est jamais trop tôt pour mettre un visage sur ce qu’on ressent vraiment au fond de soi!

 


l´amour à fleur de peau

 

c est ca l amour
sous le parapluie amoureux

Il  y a des amours qui vous font ressentir une grande plénitude. Il y en a d´autres qui vous en font éprouver une grande amertume. Mais toujours est-il que l´amour est le seul  sentiment capable de rendre l´homme sensible aux charmes de la nature.

Les hommes ont de coutume toujours été de vrais romantiques. Sous leurs airs de timide, se cache vraisemblablement de vrais gentlemen, de vraies personnalités romantiques, de vrais sensibles en quelque sorte.

En amour on recherche le vrai, le bonheur éternel, celui qui  nous fait voyager en de grandes félicités, un bonheur plus grand que le bonheur. En amour on est tout de suite attentif, aux moindres attentions, on s´éveille, on recherche la présence de l´autre.

En amour on s´efface pour laisser l´autre briller car enfin de compte sans lui, ce serait le néant. Comment concevoir une vie sans amour? Impossible. De cette même  manière que la plante a besoin de lumière, tel est l´homme quand il est amoureux. L´amour lui colle à la peau, il l´enivre et le persécute, et lui ouvre les portes de sa prison.

Je suis prisonnière de l´amour, torturée par cette sensation qui m´embaume le coeur,

enfermée comme un animal en cage, car j´ai l´amour à fleur de peau.

Ma vie? Quelle serait-elle sans amour?

Mes espoirs? quels seraient-ils sans amour?

Subir les effets de l´amertume?

Ou goûter aux plaisirs de l´amour?

Le choix est vite fait car il s´impose à moi comme possibilité. Vivre sans amour serait passer de vie à trépas, vivre dans un monde sans eau, sans raison aucune.

L´amour me permet de respirer le vent frais de la vie. Il m´ouvre les portes du bonheur, m´appelle en des cieux inconnus. L´amour m´égaie, il m´interpelle quand je suis dans le faux, il me pardonne mes fautes, il voit au fond de mon coeur.

Je n´ai plus de meurtrissures,

rien que des joies,

plus de haine,

rien que de la paix.

Je me découvre un certain sens, une nouvelle musicalité.

je ne souffre plus de rien, l´amour m´a guérit.

Je suis libre d´aimer, heureuse enfin d´être aimée!

L´amour me guide, me console!

L´amour le vrai ne s´explique pas, il se vit se médite, se construit.

L´amour à fleur de peau, moi je le ressens!

 


Gbich, le journal 100 % humour

Du 24 au 26 novembre s’est tenu à Abidjan, à l’ Espace Latrille-Events aux Deux-plateaux, le premier festival africain du numérique. Son  objectif : réunir  tous les acteurs des TIC et des télécommunications.

 

En tant que blogueuse et amatrice de ce genre d’évènements, je devais faire un compte rendu de ce qui m’a été permis de voir lors de cette manifestation.

J’ai eu la chance de rencontrer des personnes vraiment investies et chaleureuses avec lesquelles échanger sur le numérique a été un réel plaisir. Parmi les stands que j’ai pu visiter, un seul a pour ainsi dire capté mon attention:  je veux parler de Gbich!

gbich est un l un des journaux qui nous marquent l'esprit
Gbich au festival du web

 

C’est quoi Gbich ?

Gbich c’est tout simplement et avant tout une presse écrite à la sauce ivoirienne qui fait la caricature de la société à travers des thèmes tels que la santé, l’amour, la politique tout en suscitant chez le lecteur le rire et la joie. Il se présente généralement sous forme de BD humoristiques qui sont une aubaine exaltante pour leurs fans.

Pourquoi Gbich ?

Tout d’abord parce que ce type de presse est agréable à lire. Les couleurs y sont bien représentées, la mise en page soigneusement faite, il y a une panoplie de rubriques divertissantes et à la convenance du lecteur qui est toujours en quête d’évasion. Ensuite ma curiosité, car ce fut pour moi l’occasion d’en savoir un peu plus sur Gbich. Et enfin, la place de ce type de média à l’ère du numérique.

Il est tout aussi important de mettre l’accent sur tout ce qui a trait au ludique. En abordant ces thèmes, Gbich atténue l’effet de certaines informations reçues par la population. La menace Ebola, par exemple, a dans ce contexte un tout autre aspect. En adaptant ces informations au divertissement, Gbich nous ramène à nos réalités avec une touche de bonne humeur.

Comme la Volkswagen est la voiture du peuple, Gbich est le journal du peuple!

Pourquoi la participation de Gbich à l’Africa Web Festival ?

Comme tout média qui se veut imposant, ce journal a su trouver sa place dans l’ère du numérique.

En effet, sa participation est la preuve que la presse écrite joue un rôle important dans les mass média. Gbich, à travers cette plateforme donne la possibilité aux amateurs d’Internet de pouvoir lire en temps réel toute la pléthore de rubriques qu’il propose. Le web est ainsi le moyen le plus adéquat quand il peut servir à la promotion de la presse écrite. C’est pourquoi sa contribution à ce festival n’est pas fortuite.

Promouvoir l’utilisation du web est un atout à ne pas négliger dans le domaine des médias. Gbich, par cette initiative a fait du journal un support visuel qui touche la population mais surtout les jeunes, grands adeptes d’Internet.

Gbich, outil utile à une société en plein essor a su convaincre les lecteurs par son efficacité. C’est pourquoi dire que cette presse écrite n’est pas utile serait se leurrer, car sa présence est plus que nécessaire et primordiale.

Alors, je vous laisse découvrir cette merveille sur www.gbich.com


Enfants d´Afrique, espoir d´une Afrique meilleure!!!!

                       A tous les enfants d´Afrique, négligés, opprimés, vous qui avez perdu tout espoir de revoir notre belle Afrique un jour renaître de ses cendres, sachez le,  seul l´espoir fait vivre; je dirais même que l´espoir c´est l´arme des plus forts. Vous êtes l´espoir de cette belle Afrique, vous êtes son ultime combat! Gardez espoir et vos rêves prendront vie!!!!!

dans tes yeux enfants, je lis le rêve de notre belle Afrique qui s´éveille!!!!
L´Afrique dans les yeux de ses fils!

 

On nous dira au grand jamais que seuls les plus forts parviennent à faire de grandes choses et que la force d´une institution réside dans la capacité de ses membres.  ET bien moi je dirai que notre chère Afrique à trouver en ses enfants l´élite de demain. Le monde néglige cet aspect de l´Afrique, l´Afrique elle même ne se rend pas de cet atout majeur qui peut faire d´elle l´une des puissances de ce monde, pourquoi pas The Puissance du monde. Mais trop obnubilé à être encore (si je le peux dire), dépendante des autres, elle en oublie les fondamentaux: Ses enfants! Ses enfants qui constituent en réalité son arme la plus rédoutable, la plus demonstrative, parfaite illustration d´une société qui veut et qui peut apporter un changement en redorent le blason aux couleurs de cette Afrique notre Belle Afrique; Ces enfants d´Afrique candides mais doter d´ esprits innovateurs qui émerveillent et qui laissent entrevoir dans leurs yeux un raillonnement nouveau dans un monde où croire est quasi impossible! Ces enfants d´Afrique garant d´un monde meilleur, avenir certain d´un monde incertain, pilier du devenir de L´Afrique, porte-flambeau des temps ancestraux,  Ces enfants sont l´image même d´une Afrique qui veut et qui peut s´affirmer si on leur donne rien qu´une fois la possibilité de prouver leur capacité à faire de cette Afrique The Puissance du monde!!! L’Afrique possède des ressources pour son propre développement, des ressouces adéquates pour faire fructifier son état de sous développement, mais est-ce que ses dirigeants y prennent gardent? Font-ils du peuple une affaire primordiale? Non, Non et Non! Ils nous parlent d´Emergence plutôt. Or il y a plus important si on veut émerger; faire de ces enfants  d´AFRIQUE les garants de son devenir, que dis-je de son émergence, sinon on finira par immerger et pour de bon. Alors je dirais que notre Afrique c’est notre affaire et non l´Affaire des autres. Si nous enfants d´Afrique, oublions notre lutte pour la rendre meilleure, qui la menera à notre place? Nous devons donc réagir et au plus vite, réagir avant qu´il ne soit trop tard, demain se construit aujourd´hui, aujourd´hui appartient à demain!    Enfants d´Afrique, l´Espoir d´une Afrique Meilleure!!!!!!!!!!


Femme noire, Femme africaine

A toi Femme noire, Femme africaine,
Toi dont la candeur est apaisante,
Toi dont la vue est douce comme un océan en repos!
A toi beauté des dieux, charme éternel!!!!
REFLET MIROITANT D´UN SOLEIL D´ÉTÉ!!!!!!!!!!!!!!

Être une femme africaine
Femme noire, Femme africaine!
Dans le reflet de tes yeux, je lis un avenir radieux
Dans le creux de tes mains, des larmes d´amour!
Dans ton sourire, le silence paisible d´une vie pesante
Et dans tes larmes, la joie de vivre avec tes enfants!
Femme noire, Femme africaine!
Ton reflet trouble, les feuilles au printemps,
Annonce l´hivernage d´été,
Et nous s´en va compter les étoiles en un automne agonisant!
Femme noire, Femme africaine!
Ta beauté est d´un charme hyperbolique,
Destructeur, d´une si belle musicalité,
Que bercent tes chants le soir,
Dans la plénitude de la nuit noire!!!!
Femme noire; femme africaine!
Tu es la plume dont se sert le poète,
Lui qui n´attend jamais le temps d´attendre,
Le temps d´un poème, signe de reconnaissance!!!!
Femme noire, Femme africaine!
Tu es le flambeau de la liberté,
La source de notre inspiration,
Nous les enfants de la patrie!
Femme noire, Femme africaine!
Tes pleurs sont des cris que déguise ton sourire enjoliveur, tes rires résonnent en nous comme la brisure du temps,
La blancheur de tes dents est comme la laine,
Tes doigts, fragiles comme l´argile dans les mains du potier!
Femme noire, Femme africaine!
J´aime écouter ton silence la nuit tombée,
J´aime communier avec l´esprit nocturne!
J´aime me bercer de cette douce sonorité,
Qui ouvre mon âme à de belles psamoldies!!!!!
Femme noire, Femme africaine!
Enivre-nous de douceurs ancestrales, beauté des dieux, Beauté des cieux!!!!
Beauté fragile
Beauté enchanteresse!!!!
Beauté divine
BEAUTÉ TERRESTRE!!!
Beauté ultime!
Beauté de tous les âges!
Beauté que les sages convoitent!
Convoitise des dieux!
Beauté majestueuse!
Beauté du temps!
Beauté atemporelle!!
Beauté naturelle !
BEAUTÉ FATALE!!!!
FEMME FATALE!!!!!!
Femme noire, dans le reflet de tes yeux, je lis le rêve de tes enfants d´Afrique!!