Mot-clef: Jeunesse

L'effervescence est à son comble, rappelant Nouakchott des années 60-70 quand les salles de cinéma attiraient les après-midi une jeunesse qui n'avait que l'embarras du choix pour se distraire.

Aujourd’hui, je reviens avec un autre billet. Des témoignages d’étudiants que j’ai rencontrés, qui m’ont parlé à cœur ouvert d’eux-mêmes, de leur relation avec leurs pays, de leurs familles, de leurs aspirations et de ce lendemain qu’ils sont en train de dessiner pour eux-mêmes et pour les leurs. Ils sont Haïtiens, Marocains, Français et Maliens, une telle diversité d’origine et de culture représente une richesse. L’instant de ce billet, ils m’ont confié leurs parcours ainsi que leurs aspirations. Je le redis, je suis curieux de l’autre, de son univers, de ce que sa présence et son aura apportent au monde. Je tais mes inquiétudes une minute pour laisser parler les autres. Je fais quelques pas en arrière pour admirer le tableau dans toute sa splendeur, je vous invite à faire de même.

Plus d’une semaine après la mise en ligne des premiers résultats "Parcoursup", les étudiants qui demeurent incertains et livrés à eux-mêmes sont nombreux, et ce, à quelques semaines du bac. Sur liste d’attente ou recalés, ils attendent la suite des résultats, impuissants.

Hier c'était mon anniversaire. J'ai 36 ans et je suis déjà en train de cesser de me considérer comme un jeunot.

Les amours de jeunesse ont souvent cet arrière-goût amer qui vous fait croire que vous n’êtes pas digne de vivre l’amour tel que relaté dans les éditions Arlequins où tout se termine souvent bien pour les amoureux.

Les proverbes d’antan peuvent-ils rester d’actualité pour les jeunes d'aujourd'hui ? Pouvons nous encore en tirer des enseignements et de la sagesse ?

Les jeunes camerounais sont de vrais débrouillards. Ils vous le diront eux-mêmes, ils peuvent tout faire – c’est-à-dire qu’ils n’ont pas de préférence en termes d’emploi. Le problème, c’est que pour trouver un emploi il ne faut pas « pouvoir » tout faire, il faut au contraire « savoir » faire, bien, une seule chose. En un mot, il faut avoir une formation, être qualifié, dans un domaine bien précis.

Madagascar connaîtrait une autre réalité si on arrêtait de palabrer, d’imaginer et de discuter de théories. Madagascar serait mieux si on ouvrait les yeux.

Mon Mali à moi, c'est où le Tamashek et le Bamanan prennent une tasse de thé. Mon Mali, c'est voir à Mopti un Peulh et un Dogon boire du lait ensemble.

Sérieux, c’est normal que le ministère de la Communication n’ait pas de site Internet pour communiquer en temps réel sur les activités du gouvernement ?

Coup de blues à N'Djaména.

Le thé est un facteur de rassemblement pour les jeunes, dans la capitale guinéenne et en périphérie. Autour d'un verre, on discute de tout et de rien.

Nombreux sont ces jeunes issus de la diaspora qui après avoir terminé leurs études dans des pays étrangers décident d'acquérir une nouvelle nationalité.

Mais il ne suffit pas d’être jeune pour représenter la solution. Ce sont les qualités morales et éthiques, les compétences intrinsèques de tout un chacun, et notre capacité à mettre l’intérêt général au-dessus du personnel qui font qu’une nation prospère. Les jeunes oui, mais ceux qui ont les compétences, la vision, la volonté.

Comment la génération Z discute-t-elle quand ce n'est pas possible IRL ? Quelles plateformes utilise-t-elle pour communiquer ? Pour quel usage ? Avec qui ?

Le 10 février 2016, le Président de la république du Cameroun a annoncé la mise sur pied d’un plan triennal spécial jeunes… Un an plus tard, quelles sont les avancées dans l’exécution de cette initiative ?

De plus en plus de jeunes se plaignent de douleurs au cou. Elles sont souvent dues à l'utilisation du téléphone portable. Découvrez comment les éviter !

Ceux qui fuient leurs pays pour espérer trouver des horizons meilleurs choisissent la facilité, disent-ils. Moi, je crois qu'ils sont les plus débrouillards.