Mot-clef: poésie

C’est une histoire d’amour. C’est toujours une histoire d’amour. Ça parle toujours d’une histoire d’amour.

« Ô jeunesse sénégalaise, je n’aurai de cesse de te pleurer encore et encore ! Ô jeunesse africaine, elles sont où, les mains qui te sont tendues, lorsque dans l’abîme de l’océan se noie ton avenir ?

C’est une chambre avec vue. J’ouvre la porte de la chambre, je vois la vue. Allongée, je répète : « je ne suis pas un ange. Je ne vous offrirai pas le salut. »

« Confinement » : ce mot a fait irruption dans notre vocabulaire et a bouleversé notre rapport au temps. Face au virus, nous sommes des « patients ». Armons-nous de patience !

Un haïku est un poème, très bref, qui célèbre l'évanescence des choses.

"Souviens-toi des poèmes lus ; Écoute-les mieux, tes petits frissons"... Quelques mots d'Isabelle Kichenin pour terminer la semaine avec poésie.

Je ne sais pas si c’est le vent dans mes cheveux Le soleil qui brille encore 19 septembre en sandales blanches Le rose de mon pantalon de printemps ... Toujours la pédale le vent la piste cyclable Et un bonheur inégalable.

Chacun lit à son tour, ils construisent ensemble le sens, corrigent un mot, une prononciation... On découvre des auteurs, des subtilités de lexique. On voyage d'une langue à l'autre, d'une culture à l'autre.

Par analogie ou par procuration, tu es devenue ma petite sœur. Et moi, ton grand frère. Ton prénom a suffi pour arriver à cette inspiration. Débordante, mon imagination ?

La musique de Tarwa N-Tiniri véhicule les sonorités d'un blues du désert tout proche, elle fait aussi référence aux nomades des montagnes et s'adresse plus largement à toutes les communautés berbères disséminées au nord du continent africain. Créé en 2012, le groupe se compose de six musiciens autodidactes, dont trois frères, tous berbères d'origine nomade. Ils ont entre 17 et 24 ans. Depuis leur première scène à Ouarzazate en 2013, ils peaufinent leur projet artistique qui donnera lieu prochainement à un premier album, très attendu.

Guinée, 28 septembre : les uns se souviennent de l'indépendance de la Guinée le 28 septembre 1958 et les autres pleurent les victimes du 28 septembre 2009.

Amateur de musique classique, fan d'Adele et panafricaniste convaincu, Ayi Dossavi-Alipoeh parle de son parcours, du blogging et de Rosées lointaines.

Et quand tu ris, moi, j’adore ...

Stéphane K parle de comment l’on peut perdre sa vie en futilité alors que l’essentiel est d’une si flagrante évidence. Voici comment ils perdent leurs vies A vivre le contraire de leurs envies, A refouler les désirs de leur cœur, A célébrer les jours de douleur

Si un jour je déménage ce devra être au soleil Dernier étage sous les toits sous l'étoile Au soleil

Il y a cinq ans Guy nous offrait un point de  l’actualité. C’est la place Tahrir qui plus ne tarit… Ou l’état d’urgence décrochant au pays du jasmin un CDI, Quand les querelles tribales emportent le stratège des seigneurs de Benghazi Sous l’hébété regard d’arabes printaniers, soudain épris de nostalgie. Réalisant que la foi est une arme de destruction démocratique, Cachant sous ses habits de révolutionnaire, une longue barbe et…

De toutes les femmes qu’a connu Laskazas, celle-ci est sa plus belle histoire. S’il ne s’agissait que de beauté, Tu serais la seule a être courtisée. Et s’il ne s’agissait que de bonté, Tu serais la seule a être épousée. Le Créateur n’a été ainsi inspiré Que lorsqu’il dessinait ton nez… Et si ce sont tes yeux qui m’ont attiré, C’est ta douceur qui m’a condamné. Le temps a cessé sa triste avancée…

La poésie de Jeanie Bogart sue la tendresse, l’étreinte et le souvenir de ces rendez-vous manqués avec l’aube. Illustration avec "Un jour... tes pantoufles".