Mot-clef: chanson

Les Jeux olympiques de Paris ont toute l’attention des férus de sport depuis la nuit du 26 juillet dernier. Dans ce billet, je te fais un aperçu des moments insolites qui m’ont marquée jusqu’ici.

Avec ma grande sœur Mona Zétrenne, je devais à tout prix écouter N ap fè yo sezi chaque dimanche matin pendant que notre mère préparait à manger. Pour nous, il y a des musiques du dimanche. Nous n’avions pas de critères. Mais certaines chansons ne devaient guère manquer à notre playlist du week-end. J'ai toujours été un amoureux de la bonne musique.

Il y a peut-être une femme à côté de chez vous qui est victime de violences basées sur le genre. Alertez les structures compétentes si vous avez connaissance de ces cas.

La 15e édition du concours international d’écriture de Chansons sans frontières a récompensé le jeune poète congolais Joël Mahamba. Dans son texte, il raconte la tragédie que traverse le territoire de Beni, en province du Nord-Kivu.

Pour l’Etat Français, mon premier prénom, c’est Mélissa ; prénom que je me traîne comme un boulet depuis mon adolescence.

Déjà des accidents de la route en ce début d'année. J'ai le cœur triste. Un texte et une chanson pour aider à la prévention de ces drames.

Pas étonnant qu’en ces temps de pandémie mondiale, les stars africaines se saisissent de la chanson pour sensibiliser les peuples.

Belles vues de Nouakchott, dunes de sable, dialect indien, un décor immortalisé par aussi des images de drones, nous voilà dans l'ambiance de la célèbre chanson préférée de Ghandi "Vaishna Jan to" version Mauritanienne. Une chanson inscrite dans le patrimoine indien, que Monza interprète ici avec classe.

Cher Khalifa, je ne t'écris plus, ni de chansons, ni de messages sur Facebook ou WhatsApp. Où t'écrire ? Et pour te dire quoi ? Sinon l'injustice qui nous prive de toi. Un an déjà !

Elle rêvait juste de liberté Lili. Je me sens heureux et honteux, d’être si libre mais c’est vrai, sans même l’avoir fait exprès. Je rêve qu’elle sorte de sa cage et que l’on voit son doux visage sans ces deux rangées de grillage.

Maman accourait à toute allure vers moi, elle me prenait dans ses bras et me chantait une jolie chanson. Sa voix était si douce. Normal, c'est ma maman. Je me laissais tomber dans les bras de Morphée au son de sa voix, aujourd'hui encore les paroles de cette berceuse raisonne toujours dans mes oreilles.

Je vais vous raconter l’histoire d‘un de mes plus vieux articles de blog sur la chanson « Amina Amina »  qui continue a être partagé, copié et piraté jusqu’à ce jour.

A Lubumbashi, « désolé honorable » fait un buzz. On la trouve sur presque tous les médias, les portables. Une chanson pour les élections.

« 3e mandat », c’est ce titre dont la 1ère version est sortie à Bujumbura. Une chanson interprétée par la super star Pierre Nkurunziza

Dans les contes et légendes de Madagascar, il y a plein de monstres. Comme les animaux et les plantes de cette ile continent, la plupart de ces êtres sont endémiques mais certains sont des espèces importés d’Afrique, d’Asie et d’Europe.  Bon, après le fanany et le tanalasosa de mes articles précédents, j’ai décidé de ne plus les citer un par un mais de faire ce long dossier pour en dire…

Un dimanche de mousson, moi ça me donne envie de chanter. Mais chanter quoi ? « Il pleut, il pleut, bergère… » ? Non, chanter le bonheur de rester enfermé dans une véritable arche de Noé sous les Tropiques. Une arche de Noël quoi !

Je vous peins dans la majorité de mes billets sur Haïti des images d’un pays plutôt sinistre. Mais vous savez quoi ? Dans cette merveille de l’archipel des Antilles, il y a aussi des choses d’un extrême humour. C’est peut être un secret de polichinelle. Le peuple haïtien c’est un peuple qui chante en toutes

Une mendiante aveugle venait chaque matin, nous étions alors enfant, chanter devant la porte de notre maison. Elle arrivait à l’heure du petit déjeuneur, quand nous préparions pour aller à l’école. Elle avait une voix puissante et douce. Sa chanson avait la tranquillité d’une berceuse et la ferveur d’une prière matinale. On l’appelait Yaye Coumba, «la mère non-voyante», en wolof. Je crois que personne ne connait son véritable nom.  Ni…