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Image par Rudy and Peter Skitterians de Pixabay Avec ma grande sœur Mona Zétrenne, je devais à tout prix écouter N ap fè yo sezi chaque dimanche matin pendant que notre mère préparait à manger. Pour nous, il y a des musiques du dimanche. Nous n’avions pas de critères. Mais certaines chansons ne devaient guère manquer à notre playlist du week-end. J'ai toujours été un amoureux de la bonne musique.
La 15e édition du concours international d’écriture de Chansons sans frontières a récompensé le jeune poète congolais Joël Mahamba. Dans son texte, il raconte la tragédie que traverse le territoire de Beni, en province du Nord-Kivu.
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Crédit: Belles vues de Nouakchott, dunes de sable, dialect indien, un décor immortalisé par aussi des images de drones, nous voilà dans l'ambiance de la célèbre chanson préférée de Ghandi "Vaishna Jan to" version Mauritanienne. Une chanson inscrite dans le patrimoine indien, que Monza interprète ici avec classe.
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Crédit: Maman accourait à toute allure vers moi, elle me prenait dans ses bras et me chantait une jolie chanson. Sa voix était si douce. Normal, c'est ma maman. Je me laissais tomber dans les bras de Morphée au son de sa voix, aujourd'hui encore les paroles de cette berceuse raisonne toujours dans mes oreilles.
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Crédit: Dans les contes et légendes de Madagascar, il y a plein de monstres. Comme les animaux et les plantes de cette ile continent, la plupart de ces êtres sont endémiques mais certains sont des espèces importés d’Afrique, d’Asie et d’Europe. Bon, après le fanany et le tanalasosa de mes articles précédents, j’ai décidé de ne plus les citer un par un mais de faire ce long dossier pour en dire…
Crédit: Je vous peins dans la majorité de mes billets sur Haïti des images d’un pays plutôt sinistre. Mais vous savez quoi ? Dans cette merveille de l’archipel des Antilles, il y a aussi des choses d’un extrême humour. C’est peut être un secret de polichinelle. Le peuple haïtien c’est un peuple qui chante en toutes
Crédit: Une mendiante aveugle venait chaque matin, nous étions alors enfant, chanter devant la porte de notre maison. Elle arrivait à l’heure du petit déjeuneur, quand nous préparions pour aller à l’école. Elle avait une voix puissante et douce. Sa chanson avait la tranquillité d’une berceuse et la ferveur d’une prière matinale. On l’appelait Yaye Coumba, «la mère non-voyante», en wolof. Je crois que personne ne connait son véritable nom. Ni…
Crédit: Juste avant le dernier billet en direct de la Côte d’Azur (eh oui! les jeux sont presque finis malheureusement), je vous emmène au travers de mes virées nocturnes dans la belle citée du sud. En effet, pour suivre successivement les finales des épreuves de chanson et de danse, j’étais le jeudi et le vendredi dernier respectivement à l’Opéra et au théâtre National de Nice. Commençons d’abord par l’Opéra… Jeudi 12…