À elle
Son agonie a commencé il y a bien longtemps. Bien avant que les douleurs physiques ne deviennent son quotidien, les douleurs de son âme l’avaient envahie. Avec sa perte, elle s’était perdue elle-même, et elle n’a trouvé en moi, ni en personne, les raisons de faire la paix avec la vie ou la mort.