Je suis sortie dernièrement et, ayant apprécié le repas choisi, je décide de partager l’adresse avec toi. Le cadre était idéal, le plantain doux, le poulet charnu… Bref, coup de cœur quoi.
Mama ! La personne qui n’a pas encore goûté le porc frit n’a pas encore réellement vécu ! (Toutes mes excuses🙏🙏 les plus plates aux musulmans engagés, mais un jour, un jour, ce sujet allait être mis sur le tapis 😕). Ce que j’apprécie le plus ou auquel je prête le plus d’attention dans les viandes est l’assaisonnement. Cette étape est l’étape phare pour transformer une viande crue pour l’homme ou pour le chien (façon de parler hein 😃). La viande de porc respecte encore plus cette règle… je ne sais pas pour vous, mais j’ai déjà goûté un porc mal assaisonné, et je préfère être torturée que d’en goûter encore…😖😖
Bref, C’est pour cela que nor ? Lorsque j’ai découvert cet endroit nor ? C’est entré dans mes favoris de favoris ! 😍😜
Et si je vous racontais un peu comment j’ai découvert cet endroit ? 😏
C’était un 06, comme ce jour ci. Il y avait une fine pluie qui caressait ma peau, avec un soleil à l’horizon pour me sécher instantanément 😎. Dans ma culture ce double temps (pluie + soleil) annonce l’enfantement d’un éléphanteau (no comment please 😆). J’étais au Carrefour Yassa, à la recherche d’un endroit pour manger (ils ouvrent plus le soir à ce carrefour) ; Et là, je me suis dit que j’allais me rendre à Ndokoti pour combler mon bébé (mon ventre 😉). Malheureusement (ou heureusement 😊), le transport ce jour-là pour Ndokoti était rare (bizarrement), et je me suis dit, je vais d’abord m’arrêter à Nyalla 😪… Et là, la paresse m’emporta, et je décidai de rechercher la perle rare à Nyalla, et pourquoi pas ne pas tenter ce comptoir … ?😤
En réalité, cette histoire ne tient pas la route 😑… Que tous ceux qui y ont cru me pardonnent… C’est juste que des fois, j’aime écrire des romans 😈😈. Je ne sais plus comment j’ai découvert ce bijou, mais je suis bien CONTENTE de l’avoir découvert.
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Je ne cesserais de le répéter, la qualité du repas n’implique pas la négligence du restaurant😑😑. Je sais que cela demande un investissement, mais lorsque la clientèle est satisfaite par le lieu, l’accueil, à chaque passage dans le coin, il n’aura de cesse de s’arrêter à votre comptoir (restaurant) en amenant toujours plus de clients 😃😃.
D’autre part, mises à part mes remarques habituelles, j’ai des remarques particulières aux vendeurs de porc (prêts à la consommation bien sûr 😆). Couvrir vos viandes à l’aide d’une couverture en papier ou alors transparente (pas forcément en plastique) va certes vous coûter un investissement initial, mais qui sera amorti par la satisfaction de vos clients, mesurable par l’augmentation de vos recettes 😍😍. La mentalité générale est que le Camerounais en particulier, et l’africain en général n’a pas à craindre la saleté, l’exposition aux microbes, parce qu’il est naturellement protégé 😐… Je suis de cet avis aussi (lol, ne me demandez pas pourquoi 😂😂), mais ne poussons pas aussi à bout nos protections naturelles 😚.
Devoir acheter un morceau de viande sur lequel planent des mouches n’est ni plaisant, ni encourageant les gars (instant #Moralité 👌).
Mais cela n’empêche que ces gars fassent le meilleur porc que je connaisse à l’heure actuelle 😍😍.
Elle était magnifiquement intéressante. Je venais de rentrer d’une rencontre avec des collègues de bureau, et une famine me tiraillait le ventre. Et je me suis dit (je sais, je me suis dit beaucoup de choses dans cet article 😆), que j’ai besoin d’un bon porc pimenté pour calmer mon cœur (oui le piment et la viande bien assaisonnée calme mon cœur 💕). Bizarrement, le quartier dans lequel j’étais au moment où l’envie m’a prise n’avait que du poulet et du poisson braisés (non, je ne vous donnerai pas le nom du quartier 😈). Du coup, direction Nyalla pour le porc frit ! 😇
Le morceau de porc coûte 700 Francs CFA, et vous avez la possibilité de l’accompagner avec des doigts de plantains frits qui coûtent 100 Francs l’unité. J’ai rossé 2 morceaux de porc et 4 doigts de plantains frits 😝😋. J’étais pleine à un moment, mais vu que c’était bon, un peu beaucoup bon, j’ai forcé pour finir mon repas.
C’est une dame qui gère majoritairement ce comptoir, mais de temps en temps un homme peut la relayer. Elle ouvre dans l’après-midi, c’est-à-dire à partir de 13h et ferme tard vers 21h, 22H (je ne maitrise pas l’heure de fermeture puisque je n’y suis jamais restée jusqu’à la fermeture). L’accueil est convivial, le service équitable, mais pas très rapide aussi (plus dû au temps de friture) 😀😀.
Le seul défaut que je lui reproche (mis à part tous ceux déjà cités bien sûr 😝), c’est l’inexistence d’une sauce différente du piment. Parce que vous l’aurez compris, les non pimentiers (pour une fois que je les défends 😂😂) devront déguster leur porc à sec, sans sauce 😂😂. Bref, passons à l’évaluation.
| Critères /5 | Qualité du plat | Quantité du plat | Prix du plat | Rendu du plat | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Porc Frit Nyalla Rail | 4,5 | 4,5 | 3 | 3,5 | 4 | 3 | 3,75 | 3,75 |
Nombre d’étoiles :
Avant de commencer ce billet, j’aimerais m’excuser ! M’excuser pour l’absence, le silence, qui a duré près d’un mois 😭😭😭 … Il faut comprendre que clog est une passion que je nourris, et non une passion qui me nourrit 😪😑. Donc entre mon boulot classique et la mise en place de mes différents projets, je n’ai pas toujours du temps à moi, ne serait-ce que pour écrire une ligne. N’empêche que je continue ma découverte de restaurants et d’endroits intéressants. Surtout, n’hésitez pas à me suivre sur Instagram pour ne rien manquer de mes marches. Vous m’avez aussi manqué 😘😘😘
Aujourd’hui, je tiens à vous présenter les beignets maïs, et surtout une femme qui les fait bien, même si je la trouve un peu cher. Mais que voulez-vous, lorsqu’on cherche et ne vit que pour le meilleur de la bouffe, on consentit à faire quelques sacrifices 😭😍😍.
J’ai découvert cette dame il y a déjà plus de 3 ans maintenant. Elle se trouve à Akwa, juste en face de la salle de fêtes d’Akwa. La raison pour laquelle je ne vous en parle que maintenant, c’est que oui, je l’avais complètement zappé (vous l’aurez deviné 😅). Et c’est un peu normal dans la mesure où je ne fréquente plus aussi régulièrement Akwa qu’avant. Dernièrement, j’ai eu une forte envie de beignets de maïs, et je cherchais la bonne fée qui soulagerait cette envie. J’ai fouillé en vain dans mes méninges, jusqu’à ce que ma maman me rappelle cette dame d’Akwa (maman travaille à Akwa 😊😊). Il fallait maintenant trouver le bon timing entre mon travail et ses horaires d’ouvertures… Mais avant d’aller plus loin, connaissez-vous réellement les beignets de maïs ? 😏😏
Cette plateforme n’a pas la prétention de fournir les recettes des plats mentionnés (et d’ailleurs même, ce n’est pas son objectif 😆). Donc excusez les gens (cad moi 😆) dans la composition des beignets de maïs que je vais vous donner dans les lignes qui suivent. Ces beignets sont faits de farine de maïs comme leur nom l’indique, de farine de blé, et surtout de bananes mûres (c’est ce qui me tue le plus… dans le goût hein 😍😍). C’est pour cela que ces beignets peuvent être appelés « de maïs » ou « de bananes » suivant la localité où vous vous trouvez (non pas « de koki » 😉).
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Il faut avouer que c’est la banane mûre qui donne le bon goût de ces beignets. Ils (les beignets) sont généralement petits, vendus au prix de 10 Francs CFA l’unité. Toutefois, il existe des exceptions où ils sont gros et vendus à 25 Francs (j’en ai déjà vus à Ndokoti le matin, vers la station essence Tradex par exemple). Cependant, je ne les ai pas appréciés sous ce modèle. Je trouve qu’ils manquent de charme, mais surtout de goût.
Concrètement, cette dame fait dans la production et la vente des beignets de maïs et de blé. Elle a comme accompagnement le haricot, la bouillie de maïs (eh oui, M. Maïs est un gars très polyvalent), le poisson frit, le piment (oui c’est aussi un accompagnement, sauf qu’il a l’avantage sur les autres d’être gratuit MDR 😂😂😂).
La dame principale est en charge de la friture ; elle est soutenue par deux filles qui se chargent des services du client, et doivent transférer les beignets déjà frits sur la table de commerce. Le service n’en ai que plus rapide (et ce n‘est pas nous les clients qui allons-nous plaindre 😊😊).
Vous l’aurez compris, elle ne possède pas réellement un local à elle, sinon un espace sur lequel sont une table (où déposer les produits), un long banc (sur lequel ses filles assistantes et les clients peuvent prendre place), un foyer en suie ou à charbon à côté (c’est où s’effectue les fritures). Et voilà quoi 😑😑.
Elle est ouverte à partir de 11h jusqu’à 19h. Donc si vous la ratez, … Ben vous l’aurez ratée 😂😂
Ses beignets de maïs sont trop chap (bons 😻), cela, je ne discute pas. Cependant, je n’apprécie pas son haricot. Je le trouve semblable au haricot du CornTchap (un plat camerounais. Je vous fais un article dessus dès que j’en vois dans un restaurant). Je n’ai pas goûté à sa bouillie, donc je préfère ne pas me prononcer dessus. Son piment n’est pas top, il ne pique pas, il n’est pas parfumé (condiments, épices, …).
Je ne reviens pas sur mon non amour des commerces de nourriture ouverts, en plein sur la route.
Est-ce que vous connaissez, mesurez ou estimez le potentiel de cette filiale alimentaire, à quel point elle est intéressante et porteuse ? Connaissez-vous les frites de pommes précuites ou pré-frites ? Malheureusement (ou heureusement), ils ne sont pas faits au Cameroun (oui, ce sont les « choses des blancs » parait-il… 😅😅) Toujours est-il que le concept est intéressant et peut être intégré pour nos beignets de maïs. Imaginez un peu que vous ayez un creux et une envie de beignets maïs. Il vous suffirait alors de mettre les beignets au feu 5 à 10 minutes, et vos beignets seront prêts à la consommation.
Et cela est tellement possible, dans la mesure où les deux ingrédients de base, maïs et banane sont versés en sôk sôk au Cameroun. Façon de dire que nous avons toutes les ressources nécessaires pour produire en grande quantité, et donc, ne reste plus qu’à trouver le conditionnement desdits beignets précuits. Ne me remerciez pas, c’est gratuit 😘😘😝😊.
| Critères /5 | Qualité | Quantité | Prix | Rendu | Accueil | Service | Note finale |
| Beignets maïs | 4,5 | 4 | 3,5 | 3,5 | 3,5 | 4 | 3,83 |
Nombre d’étoiles :
Qui connait les BHB ? Beignets Haricots Bouillie (miam 😋). Ceci fait réellement partie des plats « camerounais ». Toute personne « de passage » au Cameroun qui n’a pas tchop ça, n’est pas en réalité passé au Cameroun 😆. Sauf s’il a au moins goûté le poisson braisé… Je peux penser à lui pardonner 😚. Retrouvez ici nos différentes braises.
Bon, je disais donc que nor ? Les BHB c’est la mort ! 😋😋 Vous voulez un petit aperçu ? Voilà ça, #tchakap. Ne regardez pas trop longtemps hein. Sinon vous risquez regretter de ne pas être venus avec moi 😆
Le plat-ci c’est la magie. Vous allez comprendre. Les BHB, Beignets Haricots Bouillie, est un plat constitué des beignets de farine de blé (je me suis toujours demandé si ça ne peut pas se faire avec les beignets de manioc 😐), constitué aussi du haricot (les petites graines rouges hein. Les grosses graines sont beaucoup plus compatibles avec le pilé, mais si c’est bien fait, ça peut passer 😉), et constitué enfin de la bouillie. Il s’agit ici de la bouillie de maïs frais 😍.
Je ne suis pas pour le « traditionalisme exclusif », mais pour un traditionalisme évolutif, moderne à la limite 😊
Suivant chaque cuistot, le mais est concassé, puis tremper 3 à 4 jours, ensuite écrasé et tamisé, avant d’être cuit. Quand la fermentation est réussie et la préparation idéale (hum 😊), vous avez la bouillie parfaite (presque…). Et quand ce n’est pas le cas, vous pouvez vomir (seuls les connaisseurs me comprendront 😖).
Cependant, dans le titre de cet article, je ne me suis pas contenté d’écrire « BHB », j’ai eu l’audace d’y ajouter un « S » (😂😂😂). Que représente ce « S » ? Il faut d’abord comprendre, que j’aime les plats de chez nous, la « nourriture du village » comme dirait quelqu’un 😆, mais je ne suis pas pour le « traditionalisme exclusif », mais pour un traditionalisme évolutif, moderne à la limite.
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C’est ainsi que dans mes billets, j’essaie d’ajouter une touche… une touche là 😆 😉
Pour en revenir à notre BHBS, le « S » représente le Spaghetti. Ah oui ! Vous n’y avez pas pensé hein (ou peut-être que si, mdr). Mélangé au haricot, le BHBS atteint un autre niveau de goût je vous assure 😍😌.
Pour cette nouvelle expérience, je me suis rendue chez Ma’a Aline. Un ange (une angeresse même… ?). Elle m’a tellement bien servie que je me suis demandée si c’est toujours le pouvoir du BHBS là, ou si elle y a mis un peu du sien… Qui a parlé de pouvoir ? Ouep, le pouvoir du BHBS.
Esseuh vous saviez qu’avec 250 Francs CFA, vous pouvez être satisfaits de BHB, partant d’un ventre totalement et complètement vide ? Le genre de ventre qui n’a pas aperçu l’odeur de la nourriture depuis la veille 😅😅. Bien sûr, il y a toujours les plus gourmands, mais à 400 Francs, leur gourmandise elle-même va abandonner. Entre temps, je vous donne la composition de mon repas : Beignets de 100 Francs, Haricot de 50 Francs, Bouillie de 50 Francs, Spaghetti 50 Francs. Suffisant pour combler le ventre et apporter du bonheur à votre espionne 😊😝.
Cependant, mon bonheur ne fut pas parfait. Le trop d’huile dans les beignets : Ceci arrive souvent quand l’huile n’a pas bien chauffé, ou que le feu n’est pas suffisant sous la marmite d’huile pendant la friture. D’autre part, la bouillie : Il manquait le sucre un peu seulement comme ça (mbindi 😈) pour que ce soit mouais 👌 ! Et le spaghetti, je trouve qu’il n’a pas été bien essoré… Le bon côté des choses, c’est que la bouillie était trop bien réussie, le haricot n’était pas en reste. Les petites carottes du spaghetti mettaient aussi la main à la patte (pour le goût quoi 😃). J’allais oublier mon meilleur, le piment, il était perfecto 😃.
Ma’a Aline, elle, elle est trop sympa quoi. Elle taquine, joue, plaisante avec ses clients 😊. Ouverte et cordiale. D’ailleurs, elle fait dans les beignets en soirée, de 18H à 21H. Mais aussi à ça, elle ajoute le cafétariat (service de café et chocolat chaud et d’omelettes). Ce second service, lui est ouvert en soirée et en matinée de 7H à 11H. C’est ce qui d’ailleurs, confère à son cadre de BHB, un cadre plus soft, comparée à ses concurrentes, qui optent le plus souvent pour des abris pas très abrités lol 😬.
| Critères /5 | Qualité du plat | Quantité du plat | Prix du plat | Rendu du plat | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| BHBS chez Ma’a Aline | 4 | 4,5 | 4 | 4 | 4,5 | 4 | 4 | 4,14 |
Nombre d’étoiles :
Découverte: Elle s’appelle Ma’a Damaris. Elle se trouve à Mokolo en bas, juste devant Fokou, à partir de 18h. Son poisson braisé c’est l’AVC ô nong 👌
De vous à moi, vous comprenez que je n’ai pas pu résister à cet appel. Mon ventre, qui, à l’instant de cette recommandation était déjà bien garni, je l’ai vu gronder, comme si son dernier repas remontait à 4h, alors que j’avais mangé il y a quelques minutes 😔😆. Je suis donc partie à la rencontre de mon destin, lors d’un de mes débarquements à Yaoundé 💞.
Ma’a Damaris lance à 18h pile. C’est la marmite de piment et de condiments que tu veux voir. Et quand tu jettes un coup d’oeil derrière la table, tu aperçois la bassine de poisson. Tu comprends que la production de poissons braisés peut atteindre le niveau industriel 😍😍 (je sens que j’aurai trop d’entreprises alimentaires 😌)
Ses poissons ont des prix fixes, 800, 1000, 1300, 1500. Et, s’il te plaît, tu ne choisis ton poisson 😂. Tu indiques ton prix, et elle te sort le poisson correspondant.
Venant de finir un lot de soya, et surtout étant en mission chez Ma’a Damaris 😈😉, j’ai préféré opter pour celui de 800. Au moins, en cas de déception, je ne vais pas trop pleurer 😅. J’avoue avoir apprécié (et déprécié en même temps) cette façon de fixer ses prix. Cela permet de gagner en temps, et d’avoir moins de maux de tête. D’un autre côté, je trouve que discuter les prix avec la commerçante (de façon aimable), apporte un certain charme à l’achat 😏. Mais bon, cela fait perdre du temps, et « time is money » 👌.
Ma’a Damaris a le sang chaud, et n’est sûrement pas habituée 😰😰 à de la douceur de la part des clients comme votre espionne 😔. N’empêche qu’elle dénote d’une bonne rapidité dans la braise et le service du produit fini. Je dirais même qu’elle est en harmonie avec son feu de charbon 😌.
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En ce qui concerne le cadre, c’est le même reproche fait aux braiseuses déjà rencontrées 😠. Il est en plein air, et surtout en pleine route 😰😓. Je ne sais pas comment elle gère en cas de pluie. Au moins y a des bancs sur lesquels on peut s’asseoir pour patienter, c’est déjà un début 😪. Moi j’ai pris la décision d’emporter, chose que je ne fais pas d’habitude. Ça change 😏.
Côté service piment et condiments, Ma’a Damaris est très généreuse. Vous avez aussi la possibilité d’ajouter de la mayonnaise au prix de 100 Francs, et elle te verse ça en sôk sôk (beaucoup, beaucoup)
Par contre, la décoration du poisson est à améliorer, il y a juste quelques oignons sur le poisson, on peut faire mieux.
La braiseuse est aussi très interactive avec ses clients, en tout cas les plus réguliers, parce que ce n’était pas vraiment le cas avec moi 😬. Je crois, de mon expérience, qu’elle a atteint ce niveau avec ses clients parce qu’ils ont brisé la barrière des prix 😃. Quand tu arrives chez elle, tu sais à quoi t’attendre, donc vous gagnez en temps et vous découvrez un autre pan de votre relation 👌.
Pour accompagner vos poissons, elle vous propose des bâtons à 75 Francs l’unité. Ils sont quand même plus économiques et surtout plus consistants que ceux de Douala. Elle vend aussi des bières pour ceux/celles qui veulent « bien accompagner » leur poisson 😉😉
Je parle beaucoup des éléments extérieurs… allons maintenant vers l’essentiel ! 👌👌
Ayant emporté, la dégustation s’est faite à la maison. Il était tout d’abord question de disposer l’ensemble sur un plateau digne d’un poisson braisé, puis de le couronner avec les bâtons de manioc. Je me suis lavé les mains et je suis allée à l’attaque 😉😉.
D’abord le piment 👌. Il n’était pas super (trop fort) et pas assez épicé. En tout cas, j’en ai connu des meilleurs, comme par exemple celui du porc frit à Nyalla Rail 😍 (c’est la magie, je vous assure! 😝). Par contre, contrairement à ce que je pensais, les condiments étaient absents. Je ne sais pas si elle a oublié de me les servir, ou si elle les a directement mélangés avec le piment, ou que sais-je encore …😕😕 Bref, ils n’étaient pas au rendez-vous.
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En ce qui concerne le poisson en lui-même, il était cuit à point, et la chair était vraiment tendre 😋😋. Je me suis même demandé si c’était vraiment le maquereau que je mangeais 😚. Je confirme encore que le rendu final d’un produit dépend amplement du choix de ses matières premières (dans notre cas, le maquereau 😚). Mise à part la tendresse de la chair, le goût était pas mal, en d’autres termes, assez commun. Cependant, la mayonnaise lui faisait atteindre un autre palier 😍😋. Après avoir fini une face du poisson, il était question d’entamer l’autre face. Cette dernière était un peu trop braisée à mon goût, pour ne pas dire brûlée. Quoi qu’il en soit, ce poisson était bon dans l’ensemble 👍😊.
| Critères /5 | Qualité du plat | Quantité du plat | Prix du plat | Rendu du plat | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Poisson braisé chez Ma’a Damaris | 4 | 4 | 3,75 | 3 | 3 | 2 | 4,5 | 3,46 |
Nombre d’étoiles :
Précision : Elle est à côté de Sorepco Mokolo, à près de 200 mètres de Fokou. Merci à Samuel pour ladite précision 😆
Je vous assure que je suis une femme comblée 🙋… Ou plutôt une gourmande 😊 comblée. Dernièrement, j’étais rendre visite aux grands parents 💗, particulièrement à ma grand maman 😍, mon mbombo (« homo » ou encore « homonyme », personne portant le même nom que soi 😉). C’était la chimpatte 😍😌. Elle m’a fait un de ces mbongo ! 😌 Ah maf midé, ce n’est quand même pas ma mbombo pour rien hé ! 😜 Et en passant, ceux qui se demandent où est-ce que j’ai puisé ma part d’amour-là pour la tchop, sachez que c’est elle qui me l’a transmise. Mais bof, ce n’est pas le sujet d’aujourd’hui 😏😄.
Aujourd’hui, nous allons attaquer une autre spécialité camerounaise 😍, qui entre, non pas la catégorie « Braises » 😆, mais plus dans la catégorie « Fritures » : Les beignets koki ou beignets de haricot 😍😍. Mais n’empêche que vous pouvez en faire un plat consistant si vous le voulez hein 😏😌. D’ailleurs, j’ai failli tromper le mbongo de la grandma avec ces beignets 😄, heureusement que je me suis retenue 😅. Mine de rien, il faut avouer que ces beignets là, étaient bien faits 😍😌
Ces beignets, grosso modo, ressemblent à ça.
Je ne maitrise pas leur préparation 😣😣, mais je sais qu’ils sont faits comme les beignets conventionnels 😅, sauf que la pâte de farine de blé (chez les beignets « normaux ») est remplacée par de la pâte de koki 😄😚
Je ne vais pas vous décrire la préparation et la cuisson; ce n’est pas l’objectif de ce clog 😒, et même si c’était le cas, je ne saurai le faire 😜, puisque je ne maitrise pas ces paramètres 😝. Moi je maitrise soloment (seulement) le goût😌.
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Toujours par rapport aux classiques (qui sont ronds 😅), les beignets de koki ont plutôt une forme de losange ou d’ellipse, et la mie est moins présente (donc idéale pour les personnes « allergiques » à la mie de beignets, de pain 👌). Ils sont généralement plus bons avec du piment 😍😍 (je sais que les haineux du piment ne partageraient bien sûr pas mon avis 😒, mais quand même un peu 😜). Quoi d’autre à ajouter ? Ah oui ! Sachez que ces beignets sont faits avec un koki en particulier (koki petites graines), et que le prix de la boite de ce koki n’est pas moins chère 😑, les beignets de koki sont généralement minuscules 😑, et coûtent 25 Francs l’unité 😃👌. Il en faudrait au moins 3 comme ça pour égaler un beignet de farine à 25 Francs 😂😂😂.
D’ailleurs même, les agripreneurs là 😒, il faut sortir le champ de koki petites graines hein 😄, et transformer ça en beignets de koki 😜, ou du moins en farine de koki😃👌 . Cela facilitera plus la tâche à ces vendeuses, et nous clients, on mangera de plus gros beignets à 25 francs 😍 (peut-être même de la même taille qu’un beignet de farine).
J’aborde ces questions tout simplement parce que… ben c’est le but du clog 😜 ! Vous pouvez en trouver à chaque coin de rue, à toute heure de la journée (entre 6H et 18H). Cependant, le beignet koki reste un beignet, et comme la majorité des beignets au Cameroun, ils sont généralement vendus le matin 👌 (pour les élèves, étudiants, travailleurs 👌), entre 06H et 12H. Maintenant, il y en a (comme celle chez qui j’ai acheté mes beignets koki 😍😍 ce jour) qui en font en après-midi (12h à18H).
D’autre part, tous (vendeurs et vendeuses), ne maitrisent pas la préparation 😞. Donc vous pouvez tomber sur des beignets rassis, pas assez cuits ou alors pas bien assaisonnés 😭😭😪. Entre temps, le bon des beignets koki se trouve sur la ligne de l’Ouest 😍😍 (pour aller à l’Ouest du Cameroun) ; je dis ça, je dis rien hein. J’ajoute que lorsque tu accompagnes du bâton de manioc 😍, ça te met dans la sauce 😜 ; bref, assez d’égarement 😐.
Donc pour l’achat de vos beignets koki, je vous conseille de les acheter chez les femmes au voile (souvent musulmanes ou bamounes), soit chez les personnes qui les font directement frire à côté de leur comptoir. Dans les marchés aussi et aux environs, les beignets de koki ne sont pas souvent si mal 😷. Mais pour le reste, je ne vous donne aucune garantie. Si vous testez dans un lieu autre que ceux que j’ai cités, prière de venir partager votre expérience avec nous 😃😃😏
Pour revenir aux beignets koki que j’ai achetés ce jour-là, qui m’ont rappelé le bon goût, ils étaient vraiment bons 😍. Je les ai achetés à la première entrée cité de la paix, venant de Ndokoti. Il était environ 13h, elle venait d’éteindre son feu, et mettait ses beignets dans le seau pour se balader avec (pour les vendre hein, pas pour les partager).
Ces beignets étaient tous mignons (bien dorés 💛) ; j’aurai pu acheter tout le seau juste pour leur mignoncité 😚. De plus, ils étaient tendres, à la limite du croustillant 😚. Pas trop salés, et pas pimentés 😔 (pour les haineux du piment là 😒😅). Mais pour les amoureux du piment comme moi 😌, il y avait une boite de piment juste à côté 😍😌. Un peu brutal ce piment (juste de quoi te réveiller un peu si tu dormais debout 😆), mais rien de bien méchant. J’ai vraiment apprécié ces beignets 😊😊.
| Critères /5 | Qualité | Quantité | Prix | Rendu | Accueil | Service | Note finale |
| Beignets de Koki | 4,5 | 3,5 | 4,5 | 4,5 | 4 | 4 | 4,17 |
Nombre d’étoiles :
Dernière visite : 05/07/2017 Lieu : Débarcadère de Baboanga / Kribi Notation :
Fous rires 😄😄😄, larmes de joies 😂😂😂😂, blagues lancées à tout va 😜😜… Vous imaginez un peu la scène ? Moi je l’ai vécue 😏. Je vous dirais bien que c’est mon quotidien 😃, mais ce serait vous mentir 😝. Tout de même, je travaille à ce que ce soit le cas (il faut dire que j’avance plutôt bien, je suis déjà à 60% 😌). Mais là je ne fais pas référence à ces multiples rencontres où le sourire est le dress code 😌, mais juste d’une en particulier 😄. Après une longue période de formation avec des camarades, nous sommes allés « faire du tourisme », comme dirait une amie à moi. L’occasion pour nous de (re)découvrir une belle ville balnéaire, KRIBI 💙💙💙. Le temps limité, nous n’avons pu faire le tour à fond, mais nous avons touché l’essentiel 👌😌…
Et savez-vous quel est l’essentiel de tourisme dans une ville balnéaire ? Oui oui, la plage d’abord, l’océan ensuite (si les vagues ne sont pas très fortes hein 😰😰), le poisson frais (le plus important pour la tchopeuse que je suis 😆😌)… Bref, s’il y en a d’autres, soit je ne les ai pas visités 😔, soit ils ont déjà disparu de mon esprit 😝.
Parmi l’essentiel de la ville balnéaire, nous avons cité le poisson frais. Mais quelle est la particularité de ce poisson au Cameroun ? Eh oui, c’est qu’il peut être braisé ! 😍😍😍 Déjà que j’aime (pour ne pas dire adore 😍) le poisson braisé (pour ceux qui en doutent, même un peu, prière de vous redirigez ici), j’estime que le poisson frais braisé c’est le summum de tout 😍😌… Bref, c’était mon estimation 😑.
Ce soir-là (oui, c’était un soir), quelques camarades et moi nous dirigeons vers le débarcadère (mais ils ignoraient que je suis espionne 😎… culinaire 😍😌). Bon, peut-être que la situation qui va être détaillée par la suite est en partie de notre faute 😕, ou totalement 😕 ? Mais n’empêche que l’autre partie a sa part de responsabilité (vous êtes perdus nessah ? 😏 Pas d’inquiétude, vous allez vite comprendre 😏).
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Je disais donc, que nous sommes partis au débarcadère le soir. Le débarcadère est l’endroit où le poisson frais débarque (ou est débarqué) 😅😅. En tout cas, c’est plus facile de le retenir comme ça 😂😂, et puis c’est aussi où le poisson peut être braisé ensuite 😄 😍. Et ce dernier, a la particularité de fermer tôt. Genre vers 18H, chaque commerçant, braiseur ou pêcheur, remballe son matériel. Mais nous là, nous sommes arrivés là-bas vers 19H passées, 20h moins. Il ne restait plus qu’un comptoir de braise encore ouvert, et ce soir était notre dernier soir à Kribi 😔😔. Donc, impossible de reporter cette dégustation de poisson frais braisé.
Donc résumé de notre situation : Envie de dégustation de poisson frais braisé, présence d’un seul comptoir de braise (donc pas possibilité de choix), à ce comptoir, présence d’un seul type de poisson (donc encore, pas de possibilité de choix) ; et vous-mêmes, vous savaissez (savez 😝) qu’une entreprise non concurrente sur le marché, se croit tout permis, surtout côté prix de produits… 😨😨
Après quelques instants de concertation avec les collègues, on se décide finalement à marquer ce pas 😌😎. On se rapproche dudit comptoir pour le choix de nos poissons. Seulement le prix m’a donné froid au dos ! 😵 Cela n’est pas tant le prix le problème hein 😬, mais plutôt le rapport prix – poisson concerné par le prix 😖😖😅. Pour dire que le poisson ci-dessous coûte 2500 Francs 😆 (ah oui ! Si tu ne voyais pas depuis la différence entre Douala et Kribi, là cela va te sauter aux yeux quoi ! 😳😲😂😂😂).
Et vous voyez même, ce n’est pas bien décoré hein (faites un tour ici pour avoir une idée de « déco »). Mais bon, je reviendrai sur les critiques du plat un peu plus bas 👇👇👇.
Donc nous sommes là, nous passons commande. La dame en charge (elle se fait assister par une autre femme), n’est pas conviviale, pas non plus impolie (bref, au milieu quoi 😪 malgré les atalacours d’une espionne culinaire 😪😪😪). Nous (moi 😊) espérons donc un service passable. Moi, je prends comme accompagnement des frites de plantains (que je n’ai pas pris la peine de photographier 😔😔 ; trop occupée à commencer ma dégustation 😆😆). Mais un collègue prend des bâtons de manioc (ça me rappelle justement l’article sur les bâtons que je vous avais promis ; on le publie quelle semaine ? 😈). Les commandes sont passées nor ? Nous attendons…
… Et continuons d’attendre ! Nous avons attendu une heure pour servir la première moitié de notre table. Ce serait vous mentir que de vous dire que la pensée de partir ne nous a pas traversée l’esprit. Au-delà de l’attente, j’ai été frappée par une présentation du poisson de mauvaise qualité 😡. Juste quelques oignons coupés grossièrement, et balancés à la va vite 😡 (On pourrait mettre cela sur le compte de la pression de rentrer… sauf que lorsqu’on prend l’engagement d’accueillir un client 😌, ou des clients qui plus est 😌😌, on prend aussi l’engagement de bien les servir 😈😠). Par contre, j’ai apprécié l’action de séparer les condiments et piment du poisson 😇. En général, ces éléments sont mis dans la même assiette que le poisson. Grâce à cette séparation, tu peux facilement gérer les quantités, et donc éviter le gaspillage 😍 (que je déteste 😬). J’ai aussi apprécié le fait que le poisson et le complément soient servis séparément 😍. Je n’y avais jamais pensé, question d’habitude (laissez, les habitudes ont la peau dure 😅). Il faut avouer que le poisson était tout de même bien assaisonné 😊😊.
D’un autre côté, le complément a été en petite quantité 😭😭😭 ; que ce soit les bâtons (2 bâtons moyens à 500 Francs), ou les frites (1000 Francs pour 2 doigts maximum) qui d’ailleurs, ont absorbé de l’huile 😭😭. Ces frites étaient plus petites (en quantité) que celles servies dans les restaus à Doul 😭😭.
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Le cadre quant à lui manquait un peu de propreté, et de décoration attractive (les tables et les chaises étaient placées çà et là, et même pas prêt de l’océan hein 😭😭). Bref, un peu beaucoup (😅😅😂😂) déçue quand même par ce poisson à Kribi, et j’omets les écailles encore présentes sur mon poisson lorsque je le tchopais 😭😭. Je ne sais pas si c’est une spécialité locale 😅😅, mais je ne reviendrai pas chez cette dame. A mon prochain tour à Kribi, plus précisément au débarcadère de Baboanga, j’essaierai un autre comptoir 😇, dont j’ai entendu des louanges 😇😇 (dommage qu’il avait déjà fermé ce jour-là 😔😪).
| Critères /5 | Qualité du plat | Quantité du plat | Prix du plat | Rendu du plat | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Poisson touristique à Kribi | 2,5 | 3,25 | 2,5 | 3 | 3 | 3 | 2 | 2,75 |
Nombre d’étoiles :
Par rapport à la localisation, ne maitrisant pas Kribi 😆, je ne puis vous indiquer comment arriver au débarcadère 😆, d’un côté ou d’un autre 😆. Par contre, la ville étant petite (oui, Kribi est une petite qui est grande, je vous assure 😍), peu importe où vous situez, il vous sera aisé de stopper une unique moto (oui oui, il y a des motos à Kribi 😍😂😂) ou taxi pour vous y rendre (au débarcadère). C’est juste le prix qui variera de 100 Francs à 400 Francs, suivant votre position 👌.
La journée a été rude, des objectifs à atteindre, des rapports à remettre, des personnes à satisfaire… Bof, je suis cass de chez cass 😞😞😞. A ce moment, il me faudrait un bon masseur ; d’ailleurs, qui en connait 😇 ?
Bof (je suis vraiment cass), il faut que je rentre chez moi. Je prends ma moto pour Ndokoti (quand je vais en trouver bien sûr 😪). Difficile de trouver facilement le transport avec cet embouteillage. En tout cas, j’ai le choix ? Oui 😌. Je commence à frapper (marcher 😝), ça peut même me retirer 25 Francs sur le transport 😃… Et que ferais-je de ces 25 Francs ? (temps de réflexion 😤). Ben, soit acheter un citron, soit acheter un prune (safou). D’ailleurs, c’est la période actuellement (des 2 fruits) 😎😎. Sauf que le safou est meilleur que le citron, surtout braisé 😝😋.
Noyée dans mes pensées et mes calculs 😑, je réussis néanmoins à stopper une moto 😬. Il accepte de me prendre malgré les 50 francs que je coupe sur le tarif 😈 (ça a payé de faire quelques pas 😈). Mais ça ne me « protège » pas du « bâchement » 😪. Je me fais bel et bien bâchée, mais moi quoi là-dedans 😂😂 ? Je suis déjà habituée (les habitudes ont la peau dure je vous assure 👌). Je protège juste bien mon sac (on connait les délinquants de Douala 😰).
Bref, j’arrive à Ndokoti, j’aperçois un comptoir de prunes (ma motivation pour économiser mon transport 😚😚). En me dirigeant vers le comptoir, je m’imagine déjà savourant une ou deux prunes grâce à mes économies de transport 😋😋😋. Quel rêve éphémère 😔 ! Vous comprendrez par la suite 😷…
Au Cameroun, nous avons toujours les grandes inspirations 😃😄. Je me demande bien d’où cela nous vient 😆… Sachez déjà à quoi ressemblent les prunes dont je parle depuis là 😂😂😂
Il y a plusieurs façons de les exploiter (pour les consommer bien sûr 😝), mais celle qui se démarque le plus, au Cameroun, est la braise. Hum, la braise 😌😌… La prune est d’autant plus intéressante quand elle est accompagnée d’un compagnon ou tubercule 👌. Mais vu que moi je suis d’une jalousie maladive 😝😝, je la préfère seule, sans compagnon 😄😄.
Néanmoins, les prunes peuvent être souvent accompagnées de maïs, de plantains (d’ailleurs, c’est leur saison actuellement), eux aussi braisés 👍. La chose va plus loin avec le macabo, la patate, le manioc braisé (je tiens à préciser à ce niveau que le bon manioc est super hyper bon avec les prunes cuites à la vapeur 😋😋😋). Seuls les vrais connaisseurs connaissent.
Les connaisseurs là, dites-moi en commentaires si j’oublie un compagnon des prunes braisées 😏…
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Je disais donc être déjà à Ndokoti, lorsque j’aperçois mon paradis de prunes 😍😍😍, je vois déjà les étoiles briller 😆😆, j’en ai même dans les yeux. Sauf que, affaire de saison là, ça fout le camp petit à petit 😡😡😡.
Je vous explique : Je m’approche du comptoir, je vois une belle grosse prune 😍, que je négocierai même à 50 Francs, mais là la vendeuse me sort, c’est 100 Francs. (What ?!?! 😲😳) Et moi je fais : « Weeeeh la mère, toi aussi 😱. C’est la saison des prunes nor 😔😏 ? Comment c’est encore beaucoup cher comme ça 😅 ». Et elle de me lancer un de ces regards 😒😒, puis d’ajouter : « J’ai dit c’est 100 Francs 😒 ». Pfff, aucun sens de la négociation. Mais il faut que je me souvienne de mon objectif premier ☝, manger la prune braisée ce soir 👌. Je me fais alors plus conciliante, et j’enchaine : « Et le plantain, c’est combien ? ». Oui, parce qu’elle en faisait aussi avec le plantain. 150 Francs mama Sarah 😲😳 ! Et c’est un mbindi plantain hein 😑. Vous vous dites sûrement que je l’ai abandonné pour passer à une autre vendeuse 😪😪…
« Le sexe, la religion, le handicap ou pas, la couleur de peau, etc ne comptent pas. Seule la compétence compte »
Effectivement ! J’aurai pu le faire. Mais j’étais trop paresseuse ce jour-là 😬. En plus, je voulais voir si sa marchandise est super bonne, façon elle est tranchante là 😪. Vous savez, en tant qu’espionne culinaire, j’ai un certain sacrifice à faire (eh oui, oui, je suis une sorte d’héroïne 😆😂😂😂), afin de m’attarder plus sur la qualité du produit 😋, que sur les manières du vendeur 😒.
Donc, du coup, j’ai acheté un plantain et 2 prunes. Elles étaient bonnes 😊😊 (vu que j’avais mon envie à combler 😃), mais pas spéciales 😓 (au vu du comportement de la dame 😓). Quoiqu’il en soit, je ne me plains pas, Mon ventre a été comblé 😊😌.
Ce billet voit le jour juste pour vous parler d’une combinaison culinaire camerounaise, prunes + plantains 😍😍. Même à la maison, vous pouvez réaliser cette combinaison, et troquer le plantain contre le manioc ou le maïs.
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Toutefois, dans les prochains billets de braise de prunes, je m’attarderai plus sur les comptoirs concernés. D’ailleurs, j’ai aperçu l’autre jour, un monsieur qui tenait un comptoir semblable 😎😎. Ce type d’images me fait chaud au cœur 😍. Qui a même donné un sexe aux métiers 😒😒. Moi je dis, et je suis catégorique : « Le sexe, la religion, le handicap ou pas, la couleur de peau, etc ne comptent pas. Seule la compétence compte »
A bon compreneur, comprend !
Coucou chers tchopeurs et tchopeuses… Pourquoi je vous fais même le coucou ? Pakdon, je vous fais le pigeon 😀
Bon, pour aujourd’hui, je vais un peu sortir des sentiers déjà tracés. En effet, pour les connaisseurs, et les attentifs, vous l’avez sûrement remarqué (pas de dernière visite, pas de localisation, …). Je vais décrire ici un aliment que l’on retrouve au Cameroun, qui est utilisé dans plusieurs recettes culinaires, mais surtout, je vais décrire une de ses préparations simples, à la portée de tout le monde.
Ce clog a pour visée globale de promouvoir la restauration camerounaise, tout en mettant en avant ces petites astuces et combinaisons culinaires, pouvant nous sauver quand la famine est au rendez-vous, et le nguémé 😕😕 (pauvreté, poches vides) plus qu’à l’heure. Et parmi ces fameuses combinaisons culinaires, le tapioca royal (miam miam 😋😋😋) est au rendez-vous. Sa préparation sera décrite en plusieurs étapes, et suivant le poids de vos poches 😆😆, vous pourrez vous limiter à une étape ou alors, aller jusqu’au bout 😎😎
Le tapioca est un aliment issu des racines de manioc, mélangées à l’huile rouge (ou huile de palme pour les gens qui ont trop fréquenté 😝), puis séchées. Sa particularité est qu’il gonfle (augmente de volume) en contact de l’eau. Il n’a pas de goût particulier, à la limite, il peut être un peu acide.
Sûrement, chacun a son appréciation du bon tapioca, mais pour moi, un bon tapioca doit déjà être beau à l’œil nu 😌 (bien jaune), doit être fin (pas comme la farine de blé hein, mais plus comme le sel de mer, vous voyez ?), du genre, ne pas avoir de gros obstacles, à l’instar des racines mal broyées, ne pas contenir d’impuretés (sable, cailloux, …). Voilà la description de mon tapioca de rêve 😍. Malheureusement 😞 (ou heureusement 😅), pour cet article, je n’ai pas trouvé de tapioca avec cette description exacte.
Comment utiliser mon tapioca en cas de nguémé ? C’est ce que nous allons développer dans la suite 😂😂😂. Déjà, pour le tapioca royal (la version finale), vous aurez besoin des ingrédients suivants :
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Voilà tout comme ingrédients. Bien sûr, il faut prévoir de l’eau. Cela va de soi nor ? 😆😆
Je commence d’abord par mettre mon tapioca sec dans un récipient, l’objectif étant de laver.
J’ajoute donc de l’eau dans mon récipient, puis je remue mon tapioca pendant 5 à 10 secondes. Cela fait, je verse l’eau hors du récipient, en m’assurant, de ne pas verser mon tapioca. Le tapioca étant plus lourd que l’eau, il est en bas, et l’eau en haut.
Je réalise cette opération de lavage 3 fois de suite, pour bien nettoyer mon tapioca, puis j’y ajoute du sucre.
En voilà pour la première étape. Vous pouvez vous arrêtez ici, et dès lors, déjà consommé votre tapioca. Avec 100 à 150 Francs, vous réalisez rapidement et facilement le tapioca de base. Dédicace aux étudiants Camerounais 😂😂😂, on se connait, je suis passée par là. Il y en a qui vont même jusqu’à remplacer le sucre par le sel (j’avoue ne pas avoir encore atteint ce niveau-là ; j’aime trop le sucre 😍😍🙈🙈).
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Après la première étape, et afin d’obtenir le tapioca raffiné, on y ajoute du lait (en poudre dans mon cas). Cela peut être aussi du liquide.
Pour ceux n’ayant à disposition que des biscuits ou les deux ingrédients (biscuits et lait), c’est à ce moment d’ajouter les biscuits. Moi j’utilise les biscuits Parle G (sans publicité). Mais vous pouvez utiliser d’autres marques. Il n’y a aucune obligation 😀.
Ensuite, vient le tour du citron. Vous vous rappelez nor ? Deux cuillerées à soupe de jus de citron. Mais si tu n’as pris qu’une boite de tapioca ou n’est pas trop fan du goût acide, tu peux te contenter d’une cuillerée à soupe.
En voilà tout pour le tapioca raffiné. En allant du début jusqu’à cette étape, vous ne débourserez qu’entre 300 et 400 Francs CFA.
Je rappelle que ce tapioca est capable de combler votre estomac en un repas, ou 2 hein. A bon entendeur, salut 👌👌.
A cette étape, j’ai déjà nettoyé mon tapioca, ajouté sucre, lait, biscuits, citron… A votre avis, qu’est-ce qui manque à mon tapioca raffiné pour qu’il devienne royal ? (je vous aide, jetez un coup d’œil aux ingrédients 😉😉)
Vous savez, dans toute bonne nourriture, qui se respecte, il faut des « obstacles ». En fait, il s’agit de la viande hein 😂😂. Bien sûr, on ne va pas mettre de viande dans notre tapioca raffiné 😳😳 (quelle idée ! 😱😰 Il deviendrait tapioca « mal éduqué » 😂😂😂).
Pour revenir à nos moutons, l’obstacle dans un tapioca, ce sont les arachides (salées ou caramélisées). D’où l’ingrédient manquant. J’ajoute donc l’ingrédient manquant à mon tapioca raffiné. D’abord les arachides caramélisées, puis les salées. (Je sens déjà comment je vais me régaler tout à l’heure mince ! 😝😋)
Voilà alors le résultat final. Cela peut paraitre dégoûtant (j’aime être sincère 👌), mais ça ne l’est pas le moins du monde 👍👍. Et je pense que c’est l’une des magies de la tchop 😍. Tu peux voir une nourriture comme ça qui n’a pas l’air appétissant 😖😖, mais lorsque tu prends une bouchée hein 😑😑, ah maf midé 😲😳, toi même tu confirmes le code 😋😋. Raison pour laquelle ma curiosité culinaire est toujours autant développée après tant d’années 😏😏.
Et le tout, pour 500 Francs CFA grand maximum, et qui peut te donner 2 repas… En tout cas, je vous laisse, il y a un dur tap’s (diminutif du tapioca) qui m’attend 😍😏.
Si vous avez aussi appliqué la recette, bon début d’appétit à vous 😂😂😂.
Il est 13h, et je suis encore assise au bureau… 😳😳😳 Vous vous demandez sûrement pourquoi ; eh bien, parce que j’ai décidé qu’il faut que je fasse un peu de taille aujourd’hui 😆😆😎 J’inspire, j’expire, et j’essaye de reprendre avec mon boulot, mais c’est sans compter sur mon ventre 😑, un traitre ce monsieur 😑 Vraiment, ma faim et moi hein ? Nous sommes des cas ! Des représentations vivantes de l’adage : « Ventre affamé n’a point d’oreille » 😝😝😝
Je me lève moi cougna, cougna, pour me mettre à la recherche de quoi manger. Je ne maitrise pas la zone, mais hors de question de prendre du pain, ou de la sauce tomate aujourd’hui ; j’aurai le reste de la semaine pour me consoler avec ces plats 😕😕 (en fait, j’étais en pleine négociation avec mon ventre : il veut être rempli, mais moi je ne veux pas manger les premiers venus 😒😒 Je suis sélective 👌😌😌).
Bof, j’entreprends mon espionnage. Je guette à gauche, boutique (pain), je guette à droite, comptoirs de table (grignotage), je regarde devant, mini restaurant, mais il n’y que la sauce tomate et le ndolè (ah oui, j’aime trop ce plat, mais il faut aussi varier hein ! Sachez qu’il y a tellement d’autres types de légumes au Cameroun 😋😋😋). Au fait, qui connait le kodibong ? Et surtout un restaurant qui en fait… (C’est un légume). Quand ce monsieur est bien fait, et qu’il passe dans ta bouche, ah maf midé ! C’est le goût que tu recherches ?! (Je me suis égarée 😓). Je disais donc que mes yeux ne voyaient que sauce tomate et ndolè sur les menus des restaurants 😖😖 J’étais déjà prête à abandonner (et à remporter la victoire sur mon ventre 😂😜), lorsque mes yeux tombent sur « Njapche » (bien sûr, il y avait plus bas sauce tomate, et ndolè, mais ce n’était plus mon problème là-bas ; j’avais déjà rencontré mon âme sœur de midi 😍😍😍😂😂). Et en plus, il est mystérieux 😍 Ce nom-là, je ne l’avais pas encore entendu 😍 Je porte mes pieds, et nous allons faire sa connaissance 😋
Je vous assure que mon coup de cœur de ce midi (le njapche 😍), connaissait mon goût plus plus plus pour la culture. Le restau a des tables disposées à l’extérieur comme à l’intérieur. Mais leur particularité, c’est qu’elles sont en rotin, et décorés à l’africaine. Si je n’avais pas déjà une famille à Douala, je passerai volontiers les fêtes dans ce restau s’il est ouvert ; bref, le cadre est appréciable et convivial à mon goût.
Quand je suis entrée, j’ai demandé à notre entremetteuse (avec mon njapche 😂😂 En fait, il s’agit de la responsable du restaurant 😂😂), « C’est quoi le njapche ? » Quand elle me répondit, ce sont des légumes, mon amour pour le njapche augmenta de façon exponentielle 😍😍😍 (oui, j’aime trop les légumes, et je l’assume 😒😝😝). La dame même en question est très accueillante, chaleureuse et sourie à chacune de tes requêtes 😆 Imaginez alors un autre délire, le plat coûte 700 Francs. Et je vous rappelle que jusqu’à présent (dans le fil temporel de mon histoire), je n’ai même pas encore rencontré mon njapche hein ! Hum, je dis seulement dans mon cœur, que s’il me propose le mariage, j‘accepte direct sans réfléchir… 😱😱 Mais bon, après, je me suis ravisée. Il faut qu’il soit quand même bon (et ensuite on pensera mariage 😋😂😂)
Le voilà donc mon plat en question. Après avoir béni le repas, on met une première bouchée dans la bouche…Hum, pas mal. Je sens un goût de pistache derrière ; qu’est-ce que ça donne avec le piment ? Je verse le piment dans mon plat comme si c’était la sauce (krkrkrkr je suis sûre que mon voisin de devant se demandait de quelle planète je viens 😅😅😂😂). Esseuh moi je le gérais alors ? Mais, il faut avouer que son piment est passablement bien fait, et n’est pas assez fort (pour moi 😝). Donc il me fallait mettre une grande quantité pour atteindre mon niveau habituel de piquant 😉😊
Ah oui. Il y a la possibilité d’accompagner votre njapche de poisson ou alors de viande (et le prix ne varie pas, peu importe votre choix). Bon, apprécions donc ce plat 😃😃
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Déjà en terme de légumes, légumes sautés surtout (ou rôtis pour d’autres. Ils sont frits avec la tomate en fait), mes papilles ont certaines exigences. Et j’avoue ne pas avoir été satisfaite de ce côté-là. Il n’y avait pas assez de tomate et de pistache à mon goût. De plus, il y avait encore un peu d’eau dans les légumes. D’aucuns les préfèrent comme ça (mais je ne fais pas partie de ces d’aucuns là 😆😆). Après aussi, j’ai noté une absence d’épices (et vous savez comment j’aime épices). Sinon, le poisson était très bien fait. Je suis rarement tombée sur des restaurants qui font bien leur poisson frit, surtout le maquereau. De même, les plantains étaient bien choisis, et bien faits. Mi mûrs, mi non mûrs… Le juste milieu, mon goût vrai vrai 😍😄
En gros, ce plat est passable, et très rassasiant. Et ce à 700 Francs. Vous avez la possibilité de prendre une bière ou un jus, si c’est comme ça que vous accompagnez vos repas (mais c’est à vos frais hein 😂😂)
Le restaurant de Raïma (c’est le nom de l’entremetteuse) est ouvert de 11h à 22h 😳😳😳 Ça c’est une dame déterminée à chercher son argent d’après moi. Plus de 8h de travail, sans compter qu’elle doit faire le marché et la cuisine avant. Respect 🙇🙇🙇 J’apprécie vraiment cette dame.
En tout cas, Le bon côté des choses, c’est que si je passe dans le coin vers 21h avec le ventre vide, je saurai me satisfaire 😉😊😊😊😊
Je mets ce plat dans la catégorie « plats de résistance ».
| Critères /5 | Qualité du plat | Quantité du plat | Prix du plat | Rendu du plat | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Njapche + plantains mûrs | 3,5 | 4,25 | 4 | 4,25 | 4,5 | 4,5 | 4 | 4,14 |
Nombre d’étoiles :
Qui connait ce met ? 😋 😋 😋 Un des préférés de mon enfance… Et malheureusement aussi, un de ceux qui ont tendances à disparaitre de nos restaurants 😭 😭 😭 (c’est malheureux 😪). Et pourtant, c’est aisé à réaliser, seule la partie pilage nécessite la vigueur d’un(e) jeune. C’est l’une des raisons pour lesquelles je réalise ce clog. Pour en savoir plus, c’est ici.
Il s’agit d’un mini restaurant avec menu très variable (et j’entends par « très variable » le fait qu’il est difficile de voir un même repas dans la même semaine, et même si ça arrive, ce n’est jamais 2 jours de suite). La dame qui tient cet espace est toutes catégories : Koki oh, elle est là, couscous oh, elle est là, banane malaxée oh, elle est là, c’est le ndolè que tu cherches, tu vas trouver chez elle, c’est pommes pilées ? Tu auras seulement. Le seul conseil que je puisse vous donner par rapport à elle, c’est de prendre son menu de chaque jour. Je ne peux (encore) vous le donner, puisque moi-même je découvre encore l’ensemble de ces plats. Mais de ce que j’ai pu comprendre, les menus sont fixés aux jours, en d’autres termes, tous les lundis, il y a un même menu, tous les mardis, un même menu, et ainsi de suite.
Tous ses plats sont à 700 Francs, et je m’en vais vous parler de ses pommes pilées.
Seule précision, ses plats sont de nature pimentés, pas trop aussi hein lol 😂 😂 😂
Par rapport aux pommes pilées, ce sont les meilleures que j’ai mangé depuis fort longtemps. J’ignore même à quand remonte la dernière fois que j’en ai tout simplement mangé. Les pommes pilées ne demandent pas grand-chose. L’assaisonnement est là, ça ne colle pas au palais (ce qui arrive lorsqu’on met trop d’huile), on ne sent pas des morceaux de pommes dans le pilé (ce qui arrive bien sûr lorsque ce n’est pas bien pilé).
Sa quantité de nourriture est vraiment satisfaisante, mais elle déteste le gaspillage… Donc si vous savez que vous ne pouvez pas finir la quantité standard, pardon, veuillez l’aviser à l’avance… Sinon, elle va fâcher sur vous 😠😠😒😒😂😂. Et je suis très sérieuse hein… Et de la même manière qu’elle peut diminuer les repas, elle peut aussi les augmenter 😉. Bien sûr, le prix, lui, ne varie pas, 700 Francs 😏
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Je trouve que ce mini restaurant est merveilleux en tout point (et tout critère, mis à part peut-être le local qui n’est pas climatisé. Mais nous autres, nous nous en contentons de ce local, avec son petit ventilateur 😍😜).
C’est l’un des rares restaurants pour moi (de mon aventure clogueuse) qui répondent à l’expression « Restaurant Camerounais ». Elle varie son menu chaque jour, et ce ne sont que des plats de chez nous… Du couscous sauce gombo aux pommes pilées, en passant par la banane malaxée, les choux aux arachides, et bien sûr, Le fameux Ndole, pour ne citer que ces plats là… Il y en a tellement que je n’ai pas encore réussi à faire le tour 😂😂😂😂
Parlant de sa réputation, la dernière fois que j’y ai mangé, il y a un de ses clients qui venait loin de Bonapriso, pour venir manger chez elle. Comme pour dire que… 😳 cette dame est tout simplement trop high, maman Jenisse (je ne suis pas trop sûre de l’orthographe 😅)
Pour finir mon atalacour, comparé aux mini restaurants à 600 Francs que j’ai connus jusqu’à présent, Si c’est cela 100 Francs, je les sors volontiers de ma poche 😠😎
Elle ouvre à partir de 13h, 14h (cela varie suivant ses difficultés à la cuisine), jusqu’à 16h, 17h. Je suis certaine qu’elle ouvre tous les jours ouvrables, mais j’ignore ce qu’il en est le week-end (une idée ? Veuillez m’en faire part s’il vous plait).
NB : Elle est parfois seule, donc le service peut être lent. Donc souffrez de cela, si vous voulez déguster chez elle
Je mets ce plat dans la catégorie « plats de résistance ». Retrouvez les descriptions de chaque critère ici.
| Critères /5 | Qualité du plat | Quantité du plat | Prix du plat | Rendu du plat | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Pommes pilées Entrée de la gare | 4,5 | 4,5 | 4 | 4 | 4,5 | 3,5 | 3,75 | 4,11 |
Nombre d’étoiles :
Je m’étais dit que j’allais profiter des plaisirs culinaires de Yaoundé en solo, et puis vous faire un recap, à un second passage (vu que je ne maitrise pas la ville)… Mais c’était sans compter sur ce monsieur qui m’a forcée à plier l’échine…
Mon freuh ! Juste l’odeur vous remplir le ventre à moitié ! Sa sauce est un véritable délice ! Et comment vouliez-vous que je ne cède pas à la tentation de vous en parler ? Je vais seulement céder !
Après une visite de la zone, j’étais moi en train de rentrer nayor nayor (doucement, doucement) chez moi. Je ne savais même pas de quel côté prendre le taxi (à Yaoundé, nous sommes plus taxi que moto lol). Avant d’arriver au niveau du comptoir, mon ventre ne gargouillait pas hein. Me voilà, j’avance, me disant que ce comptoir ne va même pas un peu me surprendre, donc mieux je ne m’arrête pas moi (comme quoi les apparences sont trompeuses, mais les odeurs, elles, non 😂 😂 😂). Je passe moi devant le comptoir, monsieur mon ventre se met à gargouiller (wandafoot ! Pourtant ça ne faisait même pas encore 2H que j’avais pris un repas hein). Nessah (diminutif de « n’est-ce pas ») je lui (mon ventre) demande ce qui ne va pas ? C’est là que mes narines interviennent pour donner la justification.
Je rebrousse rapidement chemin pour me placer devant le comptoir. C’est là que la sauce qui mijotait au feu a fini direct avec moi (sentait trop bon). Coup de foudre 😍 😍 😍 😍 😍 😍 😍 😍 😍
Non, mais mine de rien, il faut avouer que le poulet est devenu trop cher au Cameroun hein, tchaï ! Tu vois petit poulet comme ça, on te sort 300 😳 😳 😳 (3 quoi ?!). Les cuisses de poulet que vous voyez là, c’est 500 Francs hein, petit comme ça, et ça ne blague pas. Vivement que la saison des poulets arrive (je sais que ça ne se dit pas, mais je suis désespérée 😅 😅).
Hum, à l’heure-là, voulant à tout prix goûter ce poulet qui m’a captivée (oui oui), et n’ayant pas assez d’argent sur moi (je n’allais quand même pas frapper à pied jusqu’à chez moi aussi hein 😒 😒 😒), j’ai opté pour un morceau de 300 ; sinon j’aurai pris direct le plafond sans hésiter, à savoir un morceau de 1000 Francs. J’ai accompagné d’un plantain (c’est 100 francs le doigt). L’on m’a bien aromatisé ça, en mettant piang la sauce de mon coup de foudre. J’étais même déjà aux anges avant d’arriver à la maison (c’est chez moi que j’ai dégusté mon paquet).
Toutefois, si je pouvais estimer, je dirais qu’un morceau de poulet de 1000 Francs et 3 à 4 doigts de plantains seraient suffisants pour satisfaire en même temps votre faim et votre envie. Maintenant, tout dépend de votre amour du poulet…
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Il s’agit d’une simple table, avec à son bord une plaque à gaz où sont faits les fritures. Devant, le monsieur a exposé les différents calibres de poulet, et derrière eux, les plantains. Tout simplement. Je n’ai noté aucun espace à côté pour poser son derrière et déguster chez lui, donc je suppose qu’il fait principalement dans l’emporté. Je sens que ce monsieur sera au prochain évènement que je vais organiser… Quand on dit « satisfaite ou remboursée » là, je suis tellement satisfaite que j’avais même plutôt envie de le payer pour la satisfaction reçue (mdr)
Par ailleurs, le monsieur a été gentil et souriant avec moi, et serviable aussi. Toutefois, je ne garantis pas que cette réaction soit constante face à ces clients, vu que je n’y suis allée qu’une seule fois. Si Quand je repasse chez lui, je vais vous confirmer l’accueil.
Il est vrai que nous aurions une difficulté avec l’évaluation du rendu, mais je prends le risque de mettre ce plat dans la catégorie plat de résistance 😃. Disons que l’on va associer le rendu à la façon dont sera emballé le plat.
| Critères /5 | Qualité du plat | Quantité du plat | Prix du plat | Rendu du plat | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Poulet et plantains frits à Tam-tam | 4,5 | 3 | 3 | 4 | 4,5 | 3 | 3,5 | 3,64 |
Nombre d’étoiles :
Après un surmenage dû au boulot, j’ai décidé qu’il me fallait quand même un petit repos, ou une petite détente (👏 👏 👏 merci, merci, je l’ai mérité 😊 😊). Direction Yaoundé 😎
Cela faisait bien longtemps que je n’avais plus mis les pieds à la capitale politique (1, 2, 3 ans ? Je ne sais plus). Quoiqu’il en soit, il me fallait marquer le coup (au moins pour les 3 prochaines années qui sait ? 😅 😅 😂 😂 😂). Mais je ne voyage jamais sa passion (vous l’avez devinée, la bouffe), et ayant la grande responsabilité d’être votre espionne culinaire 😍 😍 😍, j’étais déjà en train de tester des trucs dans la voiture avant même d’arriver à destination 😋 😋 😝.
Eh bien, il faut déjà préciser que je voyageais en bus (ouep, j’ai laissé les motos à Doul 😂). Et au Cameroun, pendant les voyages routiers inter régionales, il existe ce qu’on appelle des péages (vous connaissez ? 😝). Et donc, à presque tous les péages, il y a des commerçants « alimentaires » (ils vendent majoritairement de la nourriture). Pourquoi ? Eh bien, ils se disent qu’après une ou deux heures de route, vous pouvez avoir envie de manger, grignoter, boire, et j’en passe, et se portent donc garants pour apaiser vos envies 😌 😌 en échange d’une certaine somme d’argent bien sûr 😂 😂 😂 😂. Souvent ce sont des mets locaux, des fruits sortants tout droit des champs, des jus de nos brasseries, et j’en passe.
Cependant, de mon expérience voyageuse (😌 😌 😌 😌), je sais que ces marchands sont plus nombreux sur la route menant à l’Ouest du pays que sur celle du Centre (Yaoundé) ; ou plutôt (je rectifie mes propos), les marchands faisant dans des mets locaux et produits de l’agriculture, sont plus nombreux… (Complétez la suite 😆 😆). Mais bon, quand je vais augmenter mon expérience (voyageuse), je vais (peut-être) revenir ces propos 😉.
Vu le manque de produits sur la route, je n’ai pas pu tester grand-chose, à part le Mitoumba. Ce sont des tubercules de manioc trempés mélangé à l’huile rouge que l’on faire cuire (dis comme ça, c’est un peu zarb, mais c’est super bon quand c’est bien fait). C’est aussi vendu à Douala, mais je ne sais pas exactement où, mais surtout où on fait le bon 😉. Mais comptez sur moi pour le découvrir (parole d’espionne 😉).
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😂 😂 😂 😂 😂 Oui oui, bien sûr. Cela va de soi 😂.
Déjà, le prix standard d’un mitoumba, c’est 100 Francs. Je ne crois pas avoir déjà vu plus bas que ça, mais plus haut, oui (c’était 150 Francs). Il est emballé dans une feuille (c’est ça qui donne « lo » bon goût), et le produit en lui-même se doit d’être tendre et dur (un peu comme une barre de chocolat). Lorsque tu veux croquer, tu dois rencontrer un peu de résistance, mais quand tu forces, tu dois tomber sur la douceur même. Pas facile de réussir cela, et pourtant c’est l’idéal pour ce met local.
Bien sûr, la texture peut être réussie, mais le goût ne suit pas. C’est pour cela qu’il faut être attentif à la présence de sable dans le met (malheureusement, tout le monde ne réussit pas à l’enlever complètement), le degré de sel (je ne pense pas qu’ils utilisent du cube), et aussi la touche personnelle du cuisinier (ça peut être du piment, une épice ou autre). J’avoue être ouverte 😋
Le Mitoumba que j’ai dégusté ce jour-là était très loin de mes attentes. Déjà pour le détacher, c’était la bagarre. Les feuilles étaient quasiment collées au met lui-même (je crois qu’on l’a trop séché). Après, il y avait l’étape de la dégustation. Ce Mitoumba était trop dur ; je me suis crue tomber dans une arnaque à 100 francs 😓 😓. Et heureusement que je n’en avais pris qu’un seul, c’est que j’allais bien regretter (arnaque à 200 lol). Et enfin, c’était un peu acide. Bref, je l’aurais complètement mis à la poubelle si je n’avais pas autant faim (et si je voulais gaspiller mes 100 Francs). Mais j’ai quand même mis une bonne partie à la poubelle (près de la moitié).
Cette photo est censée représenter le Mitoumba en chair et en os (ou en manioc et en huile rouge 😆 😆). Mais vu que j’étais tellement dépassée par la qualité du met, je n’ai pas pris de photo (😅 sorry). Une prochaine fois, promis.
Bon après, nous n’allons pas mettre l’accent sur le cadre, l’accueil, et autre critère lié à l’espace de vente, vu que c’est sur la route… (vous comprenez nor ?). Et aussi, avant de passer à l’évaluation de ce met, je tiens à préciser que je ne vous décourage pas à ne pas acheter de Mitoumba sur la route de Yaoundé ; bien au contraire, je veux que vous en achetiez, et me démontriez même que c’est moi qui ai été malchanceuse ce jour-là, et chuis tombée sur le mauvais Mitoumba.
Etant un plat unique, ses critères seront aussi uniques 😉
| Critères /5 | Apparence | Texture | Goût | Prix | Note finale |
| Mitoumba sur la route de Yaoundé | 3,5 | 2 | 2 | 4 | 2,88 |
Nombre d’étoiles :
Hum… La personne qui est proche de Bessenguè et qui ne passe pas chez Madame Elombo, va rater quelque chose pour égayer le reste de sa journée. Cette femme est une Cuisinière (avec grand C). Mais ce qui la distingue des autres, c’est son porc fumé ! Trop bon, perfecto. Il est vrai que l’assaisonnement varie souvent d’un jour à un autre (peut-être dû à son humeur du jour), mais son porc fumé n’en reste pas moins bon. Et le plus beau dans tout cela, c’est que le morceau de viande est consistant. A lui, seul, il vous remplit déjà la moitié, voire même les 3 quarts du ventre.
Mme Elombo est spécialisée dans le ndolè, sauce d’arachide avec gombo (ou kenlenkenle ? je ne sais plus), sauce tomate, avec comme accompagnement du riz, miondo, couscous de manioc, et à côté de tout cela, nous avons le porc fumé (spécialité de la maison), et le bar frit.
Ce serait vous mentir que de dire que j’y vais pour autre chose que son porc fumé… Lorsque j’arrive, et qu’il n’y en a plus, je porte mes pieds, et nous changeons d’endroit. Juste pour vous montrer à quel point ce porc est spectaculaire. D’ailleurs, un client de Mme Elombo qui vous dit qu’il n’y va pas avec l’espoir de prendre son porc fumé, soit n’est pas normal, soit est un menteur né, soit n’est pas un client de Mme Elombo ! (et je ne reviens pas là-dessus 😤😤😤)
Et comme son porc là est bon, c’est comme ça aussi que c’est prisé, surtout qu’elle en fait en quantité limitée, très limitée. Elle ouvre aux environs de midi, midi 30. Et là, la course est ouverte. Tu tentes d’arriver une heure après, il y a 90% de chances que le porc soit bolè ! Maintenant, tu peux miser sur les 10% restants hein 😆.
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Mis à part son porc, son ndolè et sa sauce tomate sont délicieux. Je n’ai pas encore eu l’occasion de goûter sa sauce d’arachides, mais à en croire par les dires des autres clients, elle est tout aussi délicieuse. Son ndolè est fait à la manière des Duala, et sans vouloir vexer les autres tribus, c’est eux qui ont la meilleure version du ndolè (ne vous inquiétez pas, je ne suis pas Duala… enfin, je crois 😄).
Le piment alors ! (oui, j’aime M. Le piment, et je l’assume. D’ailleurs, on passe à la mairie bientôt. Vous y êtes tous conviés 😌😌😌) Son piment est trop bon. Quand j’arrive là-bas, je tartine seulement mon plat avec ça. Et lorsque tu mélanges alors son porc fumé et son piment, tu fais un tour direct au paradis de la bouffe (il n’y a que les pimentiers comme moi qui peuvent comprendre 😍😍😍)
1000 Francs cash. C’est tout ce qu’il faut prévoir. Pour la qualité du plat, je trouve que ça a le mérite. Et vous êtes satisfaits à fond. Il y en a même qui n’arrivent pas à finir leurs plats. Mais ne vous inquiétez surtout pas, je n’en fait certainement pas partie. Quoi ? Avec mon porc fumé, ma calcul, ma plan. Même si je suis pleine comment, tout ça doit finir. Je fais de la place dans mon ventre (je pousse à gauche, je pousse à droite 😜), et voilà, on continue le boulot 😋😋.
Je ne vais pas vous mentir (vous-mêmes vous savez que je suis là pour vous dire la vérité). Le restau de Ma’a Elombo est en plein air. Confirmez vous-même.
Bon, disons que c’est à sa véranda, et que sa véranda est entourée de verdures. C’est un beau cadre je trouve. Sauf que les moisissures vertes sur le chemin gâchent un peu le décor d’après moi (bof, mais cela reste mon avis).
J’oubliais, elle ne fait pas de ndolè le vendredi (je le sais parce que j’ai subi 😭). Mais bon, cela s’est avéré être une bonne chose, puisque c’est ce jour-là que j’ai découvert sa sauce tomate 😍 😍 😍 Ne paniquez pas, il y a le porc fumé vendredi 😌 😌
Bien que je mette ce plat dans la catégorie « plats de résistance », j’avoue que je me base essentiellement sur le porc fumé pour l’évaluation. Bref, c’est l’élément que je voulais mettre en valeur ici. Passez chez Ma’a Elombo, et vous ne serez pas déçus 😉.
| Critères /5 | Qualité du plat | Quantité du plat | Prix du plat | Rendu du plat | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Porc chez Ma’a Elombo | 4,5 | 3,75 | 3,5 | 4,25 | 3,5 | 4 | 3 | 3,79 |
Nombre d’étoiles :
Ce plat camerounais est tout aussi populaire que Charlotte Dipanda ou Kareyce Fotso 😌 😌 😌. Oui, ce sont des chanteuses camerounaises. Et leurs musiques égalent un bon plat de ndolè 😋 😋 😋 (avec l’igname blanc ou le plantain ? 😑 J’essaye de me décider 😅). N’importe quel passant au Cameroun ne peut manquer de goûter ce plat local, devenu international 😎 😎 😎 (ici , « passant » renvoie à « personne de passage » 😆 😆 😆)
Bof. Malheureusement, malgré sa popularité, ce plat n’est pas toujours réussi par ses cuisiniers. Il y en a qui le réussissent tellement bien 😍 😍 😍 que l’on aimerait les inscrire au concours MasterChef 😌 😌, et il y en a qui ne le réussissent tout simplement pas 😭 😭 😭, et bien sûr, les intermédiaires, ceux qui se battent, se défendent… J’aimerais en profiter pour rappeler à ces 2 dernières catégories qu’il y a une différence entre « savoir préparer », et donc pouvoir commercialiser cet art 😌 😏 et « aimer préparer », et donc se contenter de faire ce plat chez soi 😪 😒 😔 (non non, vous ne connaitrez pas ma catégorie 😂 😂 😂 😎)
La structure dans laquelle j’ai goûté le ndolè que je vais évaluer dans la suite est un mini restaurant, avec un menu varié, et ondoyant à la vague des jours (bref, ça change chaque jour 😓, mais il y a souvent des plats qui reviennent 😅). Au menu, plusieurs plats locaux comme le okok (à l’arachide grillé 😉), les choux sautés (ou rôties, suivant les habitudes culinaires de chacun), le ndolè (que nous allons évaluer par la suite), et bien d’autres. Ce dernier (le ndolè) fait partie des plats récurrents (quotidiens) du restaurant.
Comme vous pouvez le voir à la photo, je l’ai consommé ce jour-là avec du plantain mûr et de l’igname blanc (oui, je ne me suis toujours pas décidé entre les deux 😂 😂 😂). En effet, la diversité du menu permet à ce qu’on puisse varier les accompagnements. Parmi ces derniers, nous pouvons citer plantains mûrs, igname, pommes, riz, manioc, … C’est qui me fait chaud au cœur dans ce type de restaurants… Esseuh (diminutif de « est-ce que ») vous saviez que vous pouvez aussi varier les sauces (oui oui, dans un même plat), et tout ça à 600 Francs (excusez-moi, j’ai viré en commerciale 😅 😅 😅). C’est tout la beauté de la diversité culturelle, culinaire, « restaurantielle » (vive le Cameroun !).
Ah oui, je n’ai toujours pas répondu à la question « Pourquoi Ndolè mixte ». Et ben, parce que tu peux le manger avec tout ce que tu veux, que ce soit accompagnement ou sauce 👌 ; par exemple, il y en a qui l’accompagne souvent de sauce tomate 😆.
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Le cadre du restaurant rappelle un peu nos cantines ou salles de classe au primaire : 2 longs bancs de part et d’autre d’une table. Il est fait de planches, et aéré avec 02 ventilateurs aux 02 entrées. Les marmites sont dehors (mais pas à l’air libre, rassurez-vous). Pourquoi ça devrait même vous dérangez ? Tsuips 😂 😂 😂. Voilà, le décor est posé. On y trouve 02 serveuses. Une principale (principale parce que c’est la seule qui entre dans les marmites), et une secondaire qui apporte les plats à table.
Revenant au plat que j’ai consommé ce jour-là (ndolè plantains ignames), je ne l’ai pas vraiment apprécié. Le ndolè n’était pas tendre, et il n’y avait pas assez d’arachides. Je crois que de toutes les fois où j’ai mangé le ndolè dans ce restau, c’est la première fois qu’elle le fait aussi mal. Les autres fois, ce n’était pas super, mais c’était quand même bien. Heureusement pour moi qu’elle fait du bon piment 😝 😋 😋. Toutefois, ne vous basez pas sur ce seul plat pour juger le restaurant en entier, parce qu’elle réussit d’autres plats haut la main 👏 👏 👏. A l’instar de son okok, c’est la patate, que dis-je, la chimpatte 👌😍😋. J’en parlerai dans un autre article peut-être (si vous me le demandez gentiment, en me flattant 😎 😎)
Parlant de la dame elle-même, elle est très accueillante, souriante, bonne gestionnaire de clients. Et si vous-même vous êtes un client cool (comme moi 😎), vous pourrez lui demander de rajouter un peu de bouffe si vous n’êtes pas complètement full. En effet, ses plats sont énormes. N’importe qui serait satisfait, sauf qu’il y a ces moments, tu ne sais même pas pourquoi, tu as tellement faim 😅 😅 😅 😅
Les plats sont à 600 francs, donc prière de vous déplacer avec au moins une pièce de 100 Francs en poche, sinon, vous allez dormir là-bas pour le reliquat.
Je mets ce plat dans la catégorie « plats de résistance ». Retrouvez les descriptions de chaque critère ici.
| Critères /5 | Qualité du plat | Quantité du plat | Prix du plat | Rendu du plat | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Ndolè mixte | 3 | 4 | 4,5 | 4 | 4 | 4 | 4 | 3,93 |
Nombre d’étoiles :
Les samoussas… Hum. Avant, je ne les aimais vraiment pas (à cette époque-là, je n’aimais pas aussi la viande, mais ça a changé 😆😂), et ça aussi, ça a changé 😇😌. Je les ai toujours connus faits avec de la viande (plein de viande 😋😋😋), sauf qu’avec le temps, la vie devient chère, et la viande aussi 😅. Du coup, bah, les vendeurs de samoussas en mettent de moins en moins dans leurs produits, et quelquefois, carrément pas 😓. Bof.
Comme vous l’avez constaté dans le titre de ce billet, aujourd’hui nous ne parlerons pas des samoussas à la viande, mais bien de ceux au poisson 😍😋😋😏. En effet, ces histoires-là sont trop bons. Je ne sais pas comment ce monsieur a eu la brillante (que dis-je, la brillantissime) idée de remplacer la viande des samoussas par du poisson (entre temps aussi, il se peut que ce soit moi qui soit trop villageoise, et que ce type de samoussas soit bien répandu, et donc bien connu 😅😅). Quoiqu’il en soit, le résultat, ces samoussas sont appétissants 👌👌
La première fois que je suis allée chez monsieur, je n’avais qu’une seule pensée en tête : « Je vais sûrement encore être déçue, mais bon, tentons quand même le coup ». Je tentais le coup en fait parce que c’était le matin (j’allais au boulot, et il n’y a beaucoup de commerces ouverts à cette heure-là), j’avais faim (du genre, comme si je n’avais pas mangé depuis belles lurettes), et surtout, je ne voulais pas prendre de pain, ou un de mes petits déjeuners de coutume (et non, même les fruits ne me tentaient pas ce matin). Et son comptoir était le dernier commerce intéressant que j’allais croiser sur mon chemin, donc pas trop le choix de tenter le coup 😆😆.
Lorsque je me suis approchée, il était en train de faire frire ses produits. J’ai dit : « Bonjour, 2 samoussas s’il vous plait », en tendant mes 2 pièces de 100 Francs (et oui, un samoussa coûte 100 Francs 😊). Lorsqu’il m’a servie, j’ai dit en souriant : « Merci. J’espère que c’est bon 😃» ; et lui m’a répondu « oui oui ». J’ai hoché ma tête en réponse positive, et j’ai seulement dit dans mon cœur « Ouais c’est ça, même si c’est mauvais, est-ce que tu vas alors me dire ? ». J’ai porté mes pieds, et je suis allée prendre ma moto (pas que j’aie une moto hein, juste que la moto est le transport le plus commun à Douala, surtout avec les embouteillages matinaux. Ce qui est drôle, c’est que ce sont les motos responsables en partie de ces embouteillages, mais ce sont encore elles qui facilitent le transport dans ces embouteillages 😂😂😂😂).
Mama ! C’était bien chaud ! Là, je me suis dit que, même si ce n’est pas bon, ça va quand même passer, puisque c’est chaud 😆. N’est-ce pas j’ai moi croqué ma chose, m’attendant à manger la viande ? Je prends une première bouchée, je mâche, j’avale, c’est bon… Mais je ne sens pas encore vraiment le goût de la viande là, pourtant, j’ai senti un goût qui lui était similaire 😳😳😳 Hum… Nessah, il faut que je me rassure ?
Je croque une seconde fois, je mâche, j’avale. 😳😳😳 Ma réaction était genre « Mais ça c’est du poisson 😳 et pourtant c’est bon 😳 vraiment bon 😳😍😍😋 (en prenant une autre bouchée hein 😂) ». Bien sûr, toutes ces exclamations étaient dans ma tête (j’ai pas encore envie qu’on m’interne 😂😂😂). Bref, pour dire que j’ai expérimenté un nouveau style de samoussa, et que j’ai kiffé 😌😌.
La seule chose que j’ai déplorée (et que je déplore toujours), c’est l’absence de piment (moi et le piment, hum 😅). Mais sinon, côté assaisonnement, c’était bien. Et la quantité de garniture (poisson et légumes) était appréciable. Maintenant, je ne peux faire une à deux semaines sans passer prendre mes samoussas favoris. Avec mes 2 samoussas, j’étais presque K.O. avec ma tasse de café à côté ; ce qui fait qu’une autre fois, je me suis essayé à 3, mais après, j’ai compris que ma limite était 2 😂😂😂, en tout cas, en terme de petit déjeuner. Donc, c’est assez consistant à mon avis, mais pour un repas du midi, quand tu veux refaire le plein d’énergie pour continuer la journée, je ne pense pas (mais cela reste mon avis, testez, vous me dites aussi).
Et si on revenait à notre vendeur. Il se trouve au niveau de Ndokoti, juste avant l’arrêt de bus en venant de la station Tradex, et juste après le rassemblement de motos qui s’y trouve. Son espace se résume en un petit comptoir où il expose sa marchandise, et fait frire ses produits (d’où leur chaleur latente 😏). Du coup, seule option, emporter (cela va de soi). Je ne le dirai pas très accueillant, mais je ne dirai pas aussi peu accueillant. J’ai été polie, j’ai souri, j’ai reçu la même expression.
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Il ne fait pas partie de ces commerçants de chez nous qui essayent de te donner le sourire lors de votre passage chez eux (entre temps, le passage ne dure qu’une à 2 minutes au plus, peut-être que ceci justifie cela ?). Le comptoir est propre, donc je ne panique pas côté hygiène. Quoi d’autre à ajouter ? Rien ne me vient à l’esprit 😅.
Ah oui… Je ne vous conseille pas de laisser refroidir vos samoussas, sinon place à la « racine » 😳 😳 😑 😑😝 😝 😝, bref, sinon, ils vont devenir rassis, en d’autres termes, très durs, et vont donc perdre leur goût.
Comme critères d’évaluation, nous reprendrons ceux liés aux plats de résistance, en omettant quelques-uns, et en ajoutant d’autres.
| Critères /5 | Qualité | Garniture | Quantité | Prix | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Samoussas au poisson | 4 | 4,5 | 4 | 4 | 3 | 4 | 4 | 3,93 |
Nombre d’étoiles :
Oh la la ! Je crois que j’ai un peu négligé mon alimentation ces derniers temps. Trop de boulot les gars (avec les gos hein 😁), vous-mêmes vous « savaissez ». Bof, mais je prends tout de même soin de mon corps, de mon énergie.
En effet, étant donné la dépense d’énergie que je dois fournir pour la réalisation de mes travaux, je dois m’approvisionner en sucre. Et je ne vais pas prendre des carreaux de sucre pour ça, parce qu’après 5 carreaux, Ce n’est plus alléchant. Du coup, que faire ? 😑
Vous l’aurez deviné, la solution réside dans les fruits. Toutefois, un autre problème se pose: je sors très tôt (6h30, 7h), donc où faire mes achats ? Vous me proposerez sûrement d’acheter mes fruits la veille et de les préparer pour le matin. Chouette idée, et d’ailleurs je le fais quelques fois… (Miam, la salade de fruits 😍😍😍) Bref, on en reparlera dans un autre article (Oui, je sais, j’ai trop de choses à vous raconter. Supportez « soloment » mes gens 😉)
Mais le jour où tu dois sorti(e) tôt et que tu as raté la préparation de fruits la veille, tu fais comment ? 😏
Si vous passez par Ndokoti le matin, j’ai la solution définitive pour vous. Si vous ne passez pas par Ndokoti, ben, je cherche encore votre solution 😜
Je disais donc, pour les « ndokotiens » (c’est comme ça que nous nous appellerons dans tout cet article 😂😂😂), il y a un papa-là qui a son pousse pousse, avec au-dessus des ananas 🍍 déjà pelés, et frais grâce à la glace dans lesquels ils sont insérés. Il fait 2 tranches à 100 Francs, mais j’ignore s’il en vend une à 50 Francs. Je lui demanderai à l’avenir.
Soyez rassurés, ces ananas sont bons. J’entends par là qu’ils sont charnus, juteux, et surtout sucrés 😎. J’en achète souvent pour 200 Francs, et cela me permet dans certains cas de tenir jusqu’au déjeuner à midi. Comme quoi avec 300 à 400 Francs, vous pouvez vous satisfaire jusqu’au diner le soir.
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Et je vous assure, c’est souvent bien une purge aux fruits de temps à autres (du genre, tu ne consommes que des fruits dans une période donnée quoi ). Surtout lorsqu’on mangé du npk (grignotage, plat mal préparé, excès de sucre, sel, épices, …) les jours précédents.
Nous parlions donc des ananas de ce monsieur. De mon expérience, il n’est présent au rondpoint Tradex de Ndokoti que le matin, parce que lorsque j’y passe quelques fois vers 10h, il n’y est plus. Donc vraiment, c’est un vendeur matinal pour des ndokotiens matinaux 😀
Toutefois, je crois qu’il devrait opter pour un stand plus accueillant ; un peu comme les vendeurs de pommes. Leurs stands sont toujours jolis, les pommes bien classées, et souvent multicolores. Il y a aussi des vendeurs d’ananas qui s’en sortent pas mal, donc d’après moi, c’est une question de volonté.
J’ai toujours pensé que les vendeurs de fruits (en tout cas, ceux qui savent ce qu’ils font) sont experts dans le choix des fruits. Perso, si j’ai un évènement, ou si je suis un service traiteur, je préfèrerai m’en référer à l’un d’eux pour choisir les fruits de mon dessert ou de mon entrée (avocat par exemple). Je le dis parce que j’ai déjà assisté à des réceptions où la salade de fruits n’est pas très fraiche, ou pas assez sucrée, ou alors pas très mûre. Donc ceci est une simple suggestion aux services traiteurs 😉
Comme critères d’évaluation, nous reprendrons ceux liés aux plats de résistance, en omettant quelques-uns, et en ajoutant d’autres.
| Critères /5 | Chair | Jus | Sucre | Quantité | Prix | Accueil | Cadre | Service | Note finale |
| Ananas ndokotien | 4 | 4,5 | 4,5 | 4 | 4 | 3,5 | 3 | 4 | 3,94 |
Nombre d’étoiles :
Lieu : Non défini Notation : Bientôt
Coucou. « Comment vous allez bien ? » 😆😆😆 Question camerounaise à laquelle on répond soit « oui », soit « non » 😀
Si vous n’avez pas encore lu mon dernier article, retrouvez-le ici.
Bon, aujourd’hui je vais vous parler d’un plat, ou plutôt d’une boisson particulière, sans arrêt sur le lieu de vente. Il s’agit du kossam (c’est le nom que je préfère), encore appelé yaourt ou lait caillé. Sûrement vous avez déjà entendu l’expression camerounaise « c’est le lait ? » ; sachez donc que l’on dit aussi « c’est le kossam ? » 😚. Pour les non-initiés à cette expression, veuillez poser vos préoccupations en commentaires 😉
En gros, vous choisissez le nom qui vous convient, suivant vos envies quoi. Venons-en au faits : comment décrire cette boisson ? C’est une boisson de couleur blanche qui, suivant les fabrications, est plus ou moins dense et sucrée, et un goût cousin du yaourt industriel 😄, avec une texture lisse (pas de grumeaux). Elle est faite dans la majorité des cas de façon artisanale (d’après mes expériences).
Les fabricants prennent d’anciennes bouteilles de jus et d’eau minérale, généralement de 0,33L (ou 0,35L j’hésite) et de 0,5L. Après avoir confectionné la boisson, ils les embouteillent dans ces bouteilles-là (désolé pour la totologie 😅), préalablement lavés, javelisés et tout ce qui va avec (on espère, en tout cas, je suis là pour ça 😉 ). Communément, le kossam dans des bouteilles de 0,33L coûte 250 Francs (comme celle de la photo), tandis que dans celles de 0,5L, il coûte 350 Francs CFA. Toutefois, les prix peuvent légèrement influer suivant que vous soyez dans une zone à tendance kossameuse (où il y a beaucoup de fabricants de kossam 😜) ou pas.
Comment est-ce que je la noterais ? Perso, plusieurs points entrent en jeu :
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Voilà tout en ce qui concerne mes critères pour cette boisson-ci. Si vous en avez d’autres à me proposer, n’hésitez pas à les mettre en commentaires 🙂
Comme je l’ai dit au début, je ne vais pas vous présenter (pas encore) les lieux dans lesquels j’achète mon kossam. En fait, je le ferai dans d’autres articles. Dans cet article-ci, l’objectif est de vous faire découvrir la boisson, ses éléments d’évaluation, et aussi avec quoi vous pouvez l’accompagner.
J’accompagne généralement mon kossam de pain au chocolat (trop bon miam !). Ici au Cameroun, nous avons des boutiques « à chargement » (c’est mon appellation oh). Ce sont des boutiques où le commerçant a un seau de chocolat, de beurre, de mayonnaise (généralement dans les 5L), du pâté, de la sardine, du saucisson, … bref, un peu de tout. L’avantage de ces boutiques, c’est que vous pouvez satisfaire une envie de pain chocolat par exemple, sans avoir à acheter le seau (lol). Toutefois, leur inconvénient (d’après moi), c’est que le client est un peu à la merci du vendeur, ou plutôt à la merci de l’honnêteté du vendeur. Parce qu’il y a des vendeurs qui te vendent 3 cuillerées de chocolat à 50 Francs, et 4 à 100 Francs. Si ce n’est pas du vol, c’est quoi ? 😕 Et il y en a d’autres qui te vendent 4 cuillerées à 50 Francs, et 9 à 100 Francs, ceux-là, ce sont les bons 😍. Bref, si vous voulez en savoir plus ce type de boutiques ou boutiquiers/ières, faites le moi savoir en commentaires 😀
Pour en revenir à mon accompagnement de kossam, je prends généralement environ 100/125 francs, que je charge avec du chocolat de 50/100 francs, suivant mes envies 😆. A défaut de cela, je peux prendre mon kossam avec des beignets simples, fourrés au chocolat, à la crème (j’en présenterai dans de prochains articles 😉 )
Généralement, je prends cette boisson au petit-déjeuner, cela me convient mieux je trouve. Mais il m’est déjà arrivée d’en prendre à midi ou en soirée, tout ça parce que je voulais satisfaire une envie 😜. Bref, c’est comme voulez, suivant vos envies du moment. Il est vrai que je ne suis pas diététicienne pour vous conseiller une heure précise. S’il y en a qui s’y connaissent un peu, merci de partager avec nous 😚.
En attendant la devise est la suivante : « Si votre ventre ou votre palais en réclame, satisfaites-les 😉 »
Bye bye, et au prochain article !
PS : Prochainement, vous aimeriez que je vous parle de quoi ? (regardez parmi les sujets proposés dans l’article, ou alors parmi les suivants : Tapioca royal ou fournisseur de multi-fruits favori 😍😍)…