L’invasion du monde par le terrorisme
Y a-t-il encore dans le monde une région qui n’ait pas été frappée par le terrorisme ? Je n’en connais pas. Le fléau terroriste n’épargne aucune région du monde. Le terrorisme est partout.
Audio : qui se rapporte au son
Ecrire des histoires, raconter le réel ou la fiction avec des mots est certainement l’un des plus bel exercice qui soit. Mais ce n’est pas aux auditeurs de RFI qu’on va apprendre la force de l’audio, la force de la voix dans la transmission des informations comme des idées.
C’est pourquoi, pour Mondoblog audio, nous avons décidé de demander aux blogueurs de lire leurs textes.
Une manière de mieux incarner ces histoires par l’audio, d’entendre des voix, sensibles parfois, des accents aussi et de remettre de l’humain dans un monde binaire et alphabétique.
Chaque semaine, l’Atelier des médias de RFI diffuse Mondoblog audio sur l’antenne de la chaine internationale. Nous replongeons dans nos archives pour y trouver un billet qui apportera un autre éclairage à l’émission. Sur cette page, vous pouvez lire tous les billets que nous avons sélectionnés, mais vous pouvez aussi les écouter !
L’ère du net, c’est aussi l’ère des rumeurs, des systèmes de croyances, du complotisme, de la propagande … bref des « fake news » et de la désinformation. Difficile, dans ce contexte, de distinguer la vraie information (vérifiée et fiable) de la fausse information (manipulée, mensongère) … Parce-que – croyez-moi ou pas ! – mais rien ne ressemble plus à une vraie information qu’une fausse information !
Chaque matin, en un clic, j’écoute le générique de la radio mondiale dans le casque de mon Androïd. Les journalistes de Radio France Internationale s’invitent chez moi et me livrent le pouls du monde. Ce rendez-vous m’est familier. Comme des millions d’auditeurs, je vis au rythme du monde grâce à la magie de la radio.
Les questions relatives à l’égalité femmes – hommes ne sont pas perçues partout de la même façon. A l’occasion d’un voyage au Sénégal, je me suis rendue compte que la notion d’égalité n’est pas une évidence, ni une priorité pour tous.
Le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, qui a soulevé un tollé général sans précédent dans la communauté internationale, nous rappelle l’importance et la nécessité de dénoncer les menaces, les détentions arbitraires, les arrestations, les tortures et surtout les assassinats dont sont victimes régulièrement les journalistes.
On a de plus en plus l’embarras du choix parmi les milliers de contenus qui nous sont proposés sur la toile. Depuis peu, un type de contenu connaît une forte progression dans les choix des utilisateurs d’internet : le podcast. Je vous donne ici cinq bonnes raisons de vous mettre à en écouter.
La pandémie de coronavirus met en évidence la vulnérabilité des systèmes de production et de distribution des denrées alimentaires au Burkina Faso. Heureusement, certains paysans ont tout misé sur un autre modèle d’agriculture : l’agroécologie.
Dix blogueurs de l’Association des blogueurs du Cameroun (ABC) viennent d’achever la deuxième phase de formation sur le fact-checking et les discours de haine sur internet. #Defyhatenow, avec le soutien professionnel de DataCameroun, associés à quelques journalistes, nous ont formés sur des techniques à adopter sur internet en période de crise.
Ici, en République démocratique du Congo, les gens adorent les fake news. Je le constate tous les jours. Les fake news, les rumeurs et les manipulations, c’est un peu comme une tasse de thé ou de café bien tapée. On en prend quand on en a besoin, et on recommence.
Je ne crois pas avoir de raison de me sentir en marge de la société juste parce que je ne maîtrise pas les différentes gammes de fromages français ou parce que je ne connais pas par coeur les titres du nouvel album d’une quelconque célébrité américaine.
Depuis une décennie maintenant, on connaît bien le disque des démocratures africaines pour couper internet ou les réseaux sociaux. Morceau choisi, lutter contre les infox en période électorale et préserver l’ordre public. Mais ce que l’on connaît moins, c’est que des acteurs sociaux importants paraissent légitimer de telles pratiques. Décryptons !
Il est 19 heures et le soleil s’empresse de se cacher derrière les collines de Bamako. Le signal est donné. Le muezzin lance un appel aux fidèles. C’est l’heure de la prière du soir. Tapis et chapelets en main, les vieux prennent le chemin de la mosquée tandis que j’arpente les petites ruelles. Direction le grin. Ces groupes de discussion pullulent dans toutes les ruelles de Bamako.
Le rôle des médias n’est plus à démontrer. Ils peuvent être des vecteurs de développement s’ils sont soutenus et bien encadrés, ce qui n’est malheureusement pas le cas dans notre pays, la Mauritanie. Quelques pistes de réflexion qui pourraient nous aider à redonner à la presse mauritanienne ses lettres de noblesse.