Hécatombes routières au Cameroun : mes condoléances aux familles
Près de cinquante compatriotes ont péri ce jeudi 5 août, dans de tragiques accidents de circulation. Mes condoléances à leurs familles et proches.
Nous sommes des professionnels, étudiants, chômeurs, haïtiens de provenance et d’appartenance différentes qui prennent la route chaque jour pour nous déplacer d’un point à un autre. Mais nous ne sommes, après tout, que des rêves ambulants. Nos corps ont pratiquement les mêmes parties et le même fonctionnement. Ce qui nous différencie, ce sont nos chemins de vies. Ces chemins où il n’y a…
« Nous sommes en 2015 après Jésus Christ. Toute la terre est conquise par la science... Toute ? Non! Car une presqu’île peuplée d'irréductibles Ayitiens résiste encore et toujours à l'envahisseur. Et la vie n'est pas facile pour les rares qui font de la logique et de la science leurs principaux instruments de construction de la réflexion. »
La circulation est fluide en cette fin d'après-midi. Soudain un automobiliste perd le contrôle de son véhicule. La voiture percute un arbre. La route est pourtant dégagée. Apparemment, la cause de cet accident est due à une maladresse. Les gens accourent pour porter assistance à l'accidenté. Sa ceinture de sécurité est bien attachée.
Il y a des années, pendant mon enfance, quand je devais avoir entre 7 et 8 ans, je vivais dans une petite parcelle à Baixa (aujourd'hui Mutamba) dans la ville de Luanda. J'ai appris à faire du vélo là-bas, au milieu d'une rue, surplombée d'une pente assez impressionnante pour moi. Je passais des heures à descendre cette pente dans un seul but: aller le plus vite et le plus loin possible.
Il y a quelques jours encore, dans le monde entier – ou presque –, c’était liesse, joie, allégresse. C’était la fête, c’était Noël. Que célébrait-on exactement ? Je ne saurais le dire avec exactitude. Ici chez nous, tandis que les uns voient en la Noël la fête des enfants, d’autres lui donnent une connotation religieuse (le 25 décembre représenterait la naissance de Jésus Christ). Quelle que soit la raison de la…
Le restaurant du Sheraton empli d’inaudibles bruissements, comptait à peine une dizaine de convives, des amis triés sur services rendus à El-Hadji Idriss. Des serveuses d’un traiteur s’activaient autour des grosses bassines dégageant divers fumets d’ail, d’huile, d’oignon, de gingembre, de persil, de piments verts, de viande cuite de mouton et de bœuf. El-Hadji Idriss se leva, rendit grâce à Allah le miséricordieux qui, dans son infinie bonté, les a…
Vous prévoyez de venir à Lomé, où venez juste de débarquer à Lomé pour quelques jours, vous serez probablement, forcément, à un moment donné, confrontez au fameux zémidjan loméen ; ce zémidjan dont la fameuse directrice de la DOSI voudrait faire un entrepreneur à part entière. A Lomé le déplacement coûte cher, si vous ne disposez pas vous-même de votre propre moyen de transport ; auquel cas louer un taxi…
J’ai de la famille, en deuil, du côté de Boké. Au siècle dernier, un arrière-grand-père maternel qui en avait marre de vivre de l’agriculture sur brûlis et d’un rudimentaire élevage domestique, dévala les montagnes de son Télimélé occidental pour s’essayer au petit commerce de noix de colas sur les terres de la Basse-Guinée.
Une ville dont le nombre d’engins (à deux roues) ne cesse d’augmenter, Ndjamena est reconnu aussi par ces innombrables accidents de circulation. Avec un taux d’analphabétisme aussi important, le code de la route n’est qu’une simple expression que personne ne respecte. Résultat : il y a d’innombrables accidents tous les jours. La plupart des victimes sont des enfants et des jeunes. Conduisant la plupart sans permis, les jeunes font souvent…
Fraîchement venu de Labé, ville située à plus de 400 kilomètres de Conakry. Dans ma tête, aucune idée claire sur la capitale guinéenne dans son ensemble. Très tôt le matin à ma descente de la voiture, j’ai été accueilli par une boue indescriptible, qui dictait sa loi sur une ruelle du marché de Madina. Après un temps de repos, je devais me rendre dans la banlieue de la capitale guinéenne à 8 heures…
A la recherche des selles Wassadou, jeudi 25 Septembre 2007, 7h30 du mat… Je m’extirpe promptement du lit, aujourd’hui, je vais à la « chasse » ou pour être plus exact, je vais à la quête….pas du Saint-Graal mais presque : je dois faire des prélèvements de selles à des patients n’ayant jamais pris d’antibiotiques de leur vie pour le Pr Bernard Rouveix. Ce défi a commencé il y a…
Daniel Ndieh Adamou, le moto-taximan, se souviendra de cette journée pendantlongtemps. Il aurait pu perdre sa vie, mais il s’en est sorti avec le pied droit bousillé, et le comble est que le taximan qui l’a mis dans cet état a pris la fuite.