De l’esprit de violence
Dans la plupart des capitales africaines, la présidentielle est toujours source de conflit.
Dans la plupart des capitales africaines, la présidentielle est toujours source de conflit.
Ce matin là, lorsque je suis sortie de mon lit, j’ai fait un tour sur Facebook, la maladie du siècle. On ne peut s’en passer. J’ai vu des images, des vidéos venues directement de la capitale ivoirienne. Elles m’ont fait froid dans le dos. Et je me suis souvenue de la célèbre réplique de Bruce Willis dans le mythique film Les larmes du soleil « Dieu a déjà quitté l’Afrique ».
Salutations chers tous J’aime à penser que ce troisième et dernier volet de « la violence dans l’histoire » vous trouve en bonne forme. C’est une chose étrange que de poursuivre sur ce sujet au vue de l’actualité, les tragédies qui émaillent le monde entier, surtout celles du Kenya, sont encore très vives et bouleversantes dans les esprits. Je profite de l’occasion pour dire, encore une fois, nos condoléances aux familles. Malheureusement,…
Prolégomènes : Ce billet ne sera ni une incitation à la violence, ni une apologie de la violence, « aveugle » ou non. Encore moins un procès à telle vision du monde ou tel courant de pensée. Ceci se veut une discussion amicale et, je l’espère, aussi plaisante qu’édifiante. Une réflexion strictement théorique au sujet de la « Violence dans l’histoire », au sens global du terme. J’ai trouvé intéressant de mettre le doigt sur…
Ce billet ne sera ni une incitation à la violence, ni une apologie de la violence « aveugle » ou non. Encore moins un procès à telle vision du monde ou tel courant de pensée. Ceci se veut une discussion amicale et, je l’espère, aussi plaisante qu’édifiante. Une réflexion strictement théorique au sujet de la "Violence dans l'histoire", au sens global du terme. J'ai trouvé intéressant de mettre le doigt sur certaines contradictions doctrinales auxquelles nous nous heurtons souvent. Notamment dans nos pays « autrefois » colonisés et soumis à la prédation de puissances extérieures.
Sept ans, c'est beaucoup. Sept ans que je vis en terra brasilis en toute sécurité et dans l'exercice pleine de mes libertés individuelles. Jamais encore, je n'ai vu personnellement un crime de grande envergure, jamais une arme n'a été pointée sur ma tempe. Pourtant, le ministère des Affaires étrangères de la République française classe le Brésil dans la catégorie "vigilance renforcée, zones déconseillées" des pays à éviter.
La violence est toujours là, qui gangrène insidieusement la société martiniquaise. Cette violence qui fait chaque jour des blessés, des morts (violence routière, violence physique, morale, etc…) Mais arrêtons nous sur les violences physiques, cette violence pernicieuse faites aux Hommes dans la plus grande banalité. Elle s’affiche en une de l’actualité quotidienne nationale et régionale avec son lot de faits divers. Face à ce phénomène exponentiel, les autorités préfectorales de…
Ridicule et inconscient est celui-là qui en veut à mort à son prochain juste pour un fichu match de football qui a mal tourné. Nous agissons toujours comme si la vie du Noir n’a pas de prix alors même que Noir et Arabe sont tous des nègres.
Jamais les enfants n'ont été aussi surveillés de près par leurs parents à Abidjan. Et pour cause, ces dernières semaines le pays est plongé dans une psychose totale en raison d’enlèvements d’enfants qui terrorisent les Ivoiriens. Récemment, la police a fait état de "21 cas d'enlèvements", mais les chiffres augmentent au jour le jour. Seul un enfant a été retrouvé vivant. Les autres ont été tués. Des enfants ont été décapités et mutilés avec la disparition de leurs parties génitales.
Ces dernières 24h j’ai dû chercher un repère entre le blogueur et l’humaniste que je suis. S’il faille que je me mette dans la peau de ce blogueur objectif, il est patent que je prenne le risque de biaiser les lignes de ce billet en privant mes lecteurs de certains détails qui sont pour autant importants. Par contre s’il faille que je mette une camisole d’humaniste, je prenais le risque…
#JeSuisCharlie, qui oserait affirmer le contraire? Voilà à quoi se réduit aujourd’hui la liberté d’expression, ce gros mot qui fait défiler sous une même bannière Benyamin Netanyahu, Mahmoud Abbas, Nicolas Sarkozy, Angela Merkel, Ali Bongo – le prince de Bel Air – ,
La nature humaine est étrange. Je me souviens d’un temps où dans une histoire, le méchant était le caractère que tout le monde détestait, mais c’est du passé maintenant. J’ai malheureusement été témoin, plusieurs fois, de l’excitation des gens, surtout des jeunes, à l’idée de voir des vidéos de personnes victimes de violence sur Internet. Les méchants sont félicités et les victimes, blâmées et ridiculisées. Ils semblent oublier que ces personnes…
Nous avons tous été indignés par l’image atroce de ce policier lâchement abattu par un homme cagoulé dans une rue de Paris. Personnellement, j’ai vu ces images au réveil encore dans mon lit. Imaginez ce que c’est que de commencer une journée par un tel spectacle. Ensuite, nous avons tous été emportés par un tourbillon d’émotions exprimées notamment sur les réseaux sociaux. Bref, nous sommes bien des hommes de notre époque…