Dave Tendresse

Je veux juste blogguer

Pourquoi bloggues tu ?

Voilà ce que me demandes beaucoup de gens

Mais là c’est normal

Ce qui est moins normal c’est « pourquoi ne bloggues tu pas comme les autres » ?

Comme les autres ?

Je m’étonne et demande « et comment les autres bloguent ils ? » I

ls parlent de ce qui se passe dans le monde 

Et moi donc ne le fais je pas ?

Pas vraiment…… Alors explique-moi

Bah c’est simple BOKO HARAM GOMA ETC….. Tu n’en as jamais parlé CHARLIE HEBDO NON PLUS

Alors voilà ce que je lui ai répondu et cela est valable pour ceux qui se posent la même question

Avant Mondoblog, les seuls blogs que je connaissais étaient ceux des films que je suivais

Après ça il y a eu WordPress que j’ai découvert à l’aide d’une amie Phonsia Odingui qui était déjà du domaine.

Et c’est cette même amie qui m’a envoyé le lien d’inscription pour mondoblog dont je n’avais jamais entendu parler.

Me voici sur mondoblog aujourd’hui

Au début j’avais du mal à trouver mes marques

Mon style d’écriture

Mon genre

Et enfin je me suis plus ou moins fixé sur un style poétique

Sans le vouloir

Sans le savoir

C’est alors que nait en moi cette folle passion

Je pense que Le monde est déjà rempli de mal

Je ne préfère vraiment pas en rajouter

Alors je préfère voir la vie et le monde du meilleur côté

Sous son meilleur jour

Je n’exclus pas la politique, les droits humains

Et tout ce qui se passe dans le monde

Je ne dis non plus que cela n’est pas important

Mais Quand il faudra j’écrirai là-dessus

Mais pour l’instant je me focalise sur ce qui peut remettre du sourire aux lèvres

Sur ce qui peut faire oublier une seconde au monde combien de fois ce monde est mauvais

Alors oui je veux juste blogguer tout simplement

Car si ma petite histoire retranscrite dans un petit billet peut remettre le sourire à un syrien ou un irakien ou un congolais

Alors je trouve ça plus bénéfique que de parler des interminables guerres en Irak et Syrie ou des évènements du 04 mars au Congo

Car ça n’apportera rien d’autre que peine

Je veux faire de ce blog un miroir à travers lequel les gens verront Vérité amour bonheur passion.  


Ma mort parfaite

Il paraît que le parfait n’existe pas Mais je me suis toujours demandé à quoi ressemblerait une mort parfaite

Non ma mort parfaite

Et soudain « BLOUF » j’ai eu une vision »

Loin de moi ce cliché « allongée dans mon lit comme une poupée et quelqu’un à mon chevet pour me caresser la tête »

Alors voilà ma mort parfaite

Aussi rassasiée de mes jours je serai

J’attendrai calmement la mort qui viendra frapper à ma porte

Je causerai avec elle

Je lui demanderai comment vont tous les êtres chers qu’elle m’a volés

Je lui demanderai si elle savait tout ce que j’avais enduré à cause d’elle

Je lui demanderai si elle à un cœur

Si elle connaît l’amour

Si oui alors ça changerait tout

Avant de mourir

Dans un espace vert respirant la vie à grands coups

Voilà ce que je dirai et demanderai à la mort

☆★Me voici enfin prête à rejoindre ce monde si mystérieux ♡♥

Prends-moi morte et s’il te plaît ne reviens jamais déranger les miens

Dis à ton maître que là-bas sur terre rien n’est parfait

Mais ma venue n’arrange rien

Ils ont besoin de temps là-bas

Et comme la mort ne peut être totalement éradiquée

Et comme moi je ne peux le faire

Et comme tout ce que je peux essayer de faire c’est de ralentir sa trajectoire

Alors une fois là-bas j’implorerai Dieu

Qu’il vous accorde au moins un an

Vous imaginez un an sans qu’il y ait de décès dans le monde

Afin que vous puissiez jouir ensemble des merveilles de la vie

Dont je n’ai pu jouir

Car les miens n’étaient plus là

Alors oui après cela

Ma mort sera parfaite

Car d’une façon ou d’une autre

Votre année sera parfaite

Parce que mon miroir c’est vous

A ma mort parfaite

A vos vies parfaites

A votre année parfaite


Au secours dites aux parents d’arrêter

Girlshealth.gov
Girlshealth.gov

Au secours dites aux parents d’arrêter

Ce dimanche je me lève en sursaut à cause de ce vacarme

Je ne sais pour moi

Mais je pense que le dimanche est censé représenter la paix La bonté la tranquillité sous toutes ses formes

Mais ce n’était jamais le cas chez moi

Le dimanche était le jour dépliant comme je l’avais surnommée

Car c’était ce jour que papa et maman avait une dispute

Mais cette fois ça en était de trop

Ce que je plains ce n’est pas  leur dispute ou le calme dans la maison.

Je me demandais s’il se rendait compte de tous les retombés qu’il allait y avoir sur notre vision du mariage ou de la vie de couple

si la plupart de nos journées se déroulait de la sorte

Il la traite comme sa bonne Que penserai-je ?

Que tous les hommes traitent leurs femmes de leur sorte

C’est attristant de voir qu’il a tant de volonté pour se rendre à une soirée en célibataire pendant qu’il est marié

Qu’il rentre aussi tard aisément sans que qui que se soit n’ait à le dire quoi que se soit

De sortir avec qui il veut

Allant même jusqu’à piocher dans la famille de son épouse

La critiquant devant les travailleurs La discréditant

Non je leur prie d’arrêter,
d’arrêter de me donner cette image « pourrie » du mariage

Car je veux jouir du bonheur

Et le bonheur se trouve à deux

Je refuse d’être esclave de leur pensée

ou façon d’être et ainsi boycotter ma vie en essayant de réparer ou de

comprendre ce boucan qui les incitait.
Puisque mon mirroir c’est vous, aidez moi a dire aux parents d’arrêter. 


Il y a des matins comme ça

Dreamstime.com
Dreamstime.com

Il y a des matins comme ça

Où l’on veut tout changer

Partant de sa famille à son copain

En passant par ceux qu’on connaît

Tellement la vie nous dépasse

Et ces matins nous rappellent à quel point on est malheureuse

De faire partie de ce cercle

Nouveau père ; nouvelle mère, nouveau copain

C’est peut-être normal que ces phrases manquent de rimes

Tout est incohérent dans ce que je vis

Et surtout ce matin

Entre une mère qui bouscule notre porte de très bonne heure pour nous dire de nous réveiller sans affection

Et un père qui nous ridiculise tous les matins devant tout le monde qui vient à la maison

On commence à se demander si au final ce père nous aime

A-t-il honte de nous?

Est-il très déçu que l’on fasse partie de sa famille

Voudrait-il comme moi changer de famille ou de monde ?

Se séparer de nous afin de commencer une  nouvelle vie

Où ni T ou F ou P seront au rendez-vous ?

Si non, je dirais qu’il y a quelque chose qui cloche

Si oui, je trouverais cela égoïste et absurde de sa part

Parce que ce sont les « Nous » qui sommes susceptibles d’agir ainsi

Un père c’est censé aimé ses enfants

Et leur donner l’impression qu’il sont toujours numéro UNO

La preuve en est que même les toxicos ont des jours ou :

« Je t’aime plus que tout mon fils arrête de te détruire » sort de la bouche de leurs chers parents

Cela prouve à quel point nos parents sont sensibles à nous

Pauvres enfants

Et moi donc je ne mérite pas un je t’aime de vous ?

Ou un rappel pour justement savoir à quel point je suis formidable

Car tout enfant souhaiterait que le monde le voie à travers les yeux de ses parents.

Pourquoi ? Parce que pour eux nous sommes des petits anges

Malheureusement je n’ai pas eu la chance d’avoir ses yeux pleins d’amour se poser sur moi

Et puisque mon miroir c’est vous

Ce billet est dédié au plus profond de mon cœur à tous ceux qui comme moi n’ont pas eu ce reflet auprès de leur parents.


Une défaite si victorieuse

La CAN m’a fait rêver

Oui, car pour la première fois j’ai ressenti ce que j’ai toujours tant voulu

Le football n’a jamais été un hobby ou quelque chose de passionnant pour moi

Mais voir ces gens comme Bifouma, Oniangue défendre nos couleurs

je n’ai pu résister à cette folle envie de courir

Oui de courir de défier les policiers

De sentir les lacrymogènes picoter mon visage

De décorer mon corps mon visage

Et par-dessus tout fière d’être une Congolaise

Oui, je suis congolaise et j’en suis plus que fière

La victorieuse défaite n’a fait que raviver cette flamme enfuie en moi depuis toujours

Je suis contre ceux qui dénigrent l’équipe congolaise, car du début de la CAN à la journée de cette défaite si victorieuseN

Nous étions tous fiers d’eux

C’est alors hypocrite et mesquin de dire « qu’ils nous ont déçus »

Non, il n’y a eu aucune déception

En tout cas en ce qui me concerne

Mais d’un côté, je déplore l’attitude de mes confrères des deux Congo, ils ont démontré que l’expression « Fairplay » n’existe vraiment pas dans leur vocabulaire

Chez moi à Brazzaville des pillages, des actes de vandalisme, etc. (C’était l’ambiance soi-disant)

J’aurais préféré qu’on chante, qu’on danse pour cette victorieuse défaite

De l’autre côté, les Kinois qui considèrent cette réussite comme une vengeance en se référant à l’opération « Mbata ya ba KOLO » qui consistait à expulser les sans-papiers du Congo.

Mais sérieusement, cette réussite est tout simplement une fierté nationale pour eux rien de plus

Je trouve ça immature et ignoble de leur part d’en faire une affaire personnelle, une affaire d’Etat.

Je n’ai pas de problème particulier avec eux, mais grandissons, et ce une fois pour toutes.

Et Claude le Roy Claude le Roy Claude le Roy, que dire ? Bravo bravo bravo,

Tu as fait naître en moi un amour du sport que je n’aurais jamais cru avoir en aidant les Red Devils à arriver jusque-là. Peu importe les critiques

Je pense que c’est injuste de s’en prendre à lui

Il a fait ses preuves et je suis fière de lui

Bravo les Diables rouges, continuez ainsi Bana Mboka. On est fier de vous

Et retenez qu’en aucun cas nous n’avons été déçus

Parce que mon miroir c’est vous, au nom de tous les Congolais qui pensent comme moi que ces jeunes ont fait notre fierté…

To be continued


Amour: sexe ou passion?

r-eveillez-vous.fr
r-eveillez-vous.fr

Je me demande bien ce qu’est devenu les relations de nos jours
Pour d’aucuns
Des parties de jambes en l’air
Pour d’autres
S’envoyer des texto à longueur de journée

Bref dans les deux cas
Ce n’était vraiment pas la conception ou l’acception que j’avais de la chose
Le sexe est certes une preuve « indirecte de l’amour »
Mais de là à en faire une priorité comme je le vois « NADA »

Ça n’en vaut vraiment pas la peine
Pour moi l’amour est avant tout une passion

Ce sentiment profond et inexplicable

Cette beauté que l’on ne voit que de ces yeux

Cette compréhension unique

Paraitre folle aux yeux de tous

N’être compris que par lui ou elle

Cette sensation que le monde ne tourne qu’autour de nous
Pauvres amoureux

L’on est animé uniquement par cette passion ressentie au plus profond de nous

Non, je n’essaie pas de devenir poète ; juste de dire avec une telle exactitude ce que je pense

L’on se brise le cœur jour et nuit
L’on se donne tant de mal pour des gens qui n’en valent pas la peine

Ceci est valable des deux côtés ;

J’aimerai tellement que le monde ait cette même vision
Qu’il puisse comprendre l’amour à travers mon esprit
Certains diront que c’est prétentieux de ma part

Je dis non

Car je pense que je vois l’amour de la meilleure façon qu’elle soit (rire :-)) selon ma philosophie de l’amour en tout cas

Seulement le problème  est que je ne trouve pas la bonne personne

Résultat : je n’arrive pas à présenter l’amour sous son meilleur jour :-/

Ils disent que je suis petite pour comprendre cela

Comment ne pas comprendre ce que je conçois ?
Ce n’est pas une affaire d’âge ; cela n’est qu’un prétexte

Ne réfléchissez pas ; vivez juste

Aimez, aimez avec passion avec audace avec votre cœur

Seule règle d’or tournez le dos aux préjugés et ce serait nice.  <3


une nuit de Décembre


Meilleurcoach.com

Ça faisait longtemps que je ne l’avais plus revu
Notre rendez-vous de ce matin à échoué Enervé mais je brulais quand même d’envi de revoir ma Tendresse

Elle était timide ? Oui un peu 

Calme ? Non pas du tout ?

Pleine de vie ? Par moment

Passionné ? Oui très Bref ;
elle savait être elle-même
Elle savait apprécier les bonnes choses Je n’avais pas grand-chose sur moi alors je décidais de l’emmener dans un endroit qui n’était pas si agréable que ça :

en fait c’est moi qui pensait ainsi parce qu’elle m’a prouvé le contraire.

Alors voila ce qu’en était ce soir

Assis dans la pénombre d’un bar J’écoutais ton sourire me fondre le cœur

La douceur dans ton regard Me faire voyager au pays des tendresses

et caresses
Sais-tu pourquoi (seulement) je suis heureux ?

T’es  pleine de vie Et chacun de tes mots résonnent en moi

Comme l’écho des ventilo
qui nous gèlent ici

Sais-tu pourquoi je pleure ? Ton parfum m’enivre

Malgré les loupes qui nous déciment

je sens partout Dans mon corps le frisson de ta douceur Tendresse

Dans ta voix je savoure la substance qui enivre les gaillards saouls autour de nous

Tu vis tu jouis tu es Tendresse

sais-tu comment j’appréhende ton prenons ?
Toutes les lettres ?
T E N D R E S S E ?
T : Tant qu’il y’aura

E : en toi
N : ne fus qu’un  brin  

D : de sourire

R : raisonnera toujours en moi
E : enfant amoureux

S : seul dans l’obscurité
S : suc et douceur que ressentent

E : encore les amoureux.

Elle ne m’avait jamais offert une telle soirée. J’étais content, heureux mais en même temps peur ; peur parce que je découvrais cette nouvelle fille.


Amour conditionné

meilleurcoach.com

Nous croyons que nous sommes gentils
Si elles sont méchantes avec nous et qu’elles nous traitent de méchants nous les croyons également
Pendant l’enfance nous avons tous tendance à nous regarder selon le miroir de nos parents.
En effet la famille est le premier maillon de socialisation d’un enfant
Selon un évangéliste américain aumônier de prison aux états unis 90 pour cent des personnes actuellement en prison se sont entendus dire un jour par un parent très proche « tu iras en prison » quelle tragédie

Toutes les expériences désagréables, les paroles négatives ont pour effet de dégrader la perception de soi
La plupart des personnes vivant dans nos sociétés n’ont pas confiance en elle; elles ont besoin de la validation des autres pour pouvoir vivre

Très souvent cela est dû au fait que ces personnes blessées ont reçu de la part de leur parent dans le cas où ils étaient présent un amour conditionnel.

Lorsque vous faisiez quelque chose de bien vos parents vous aimaient, lorsque vous faisiez quelque chose de mauvais ils vous donnaient l’impression de ne plus vous aimer tel que vous étiez.

Du coup vous vous retrouviez en train de faire les bonnes choses pour pouvoir recevoir l’affection de vos parents ; je dirai que vous essayez inconsciemment d’acheter ou de mériter cet amour par vos actions

Résultat : l’enfant grandit avec un manque total de confiance en lui et un besoin permanent d’être apprécier valider et accepter par les autres il n’est plus capable de faire les choix si les proches ne le suivent pas.

A l’autre extrême on retrouve les indépendants ou les rebelles contre le système qui font tout de travers pour prouver au monde qu’ils n’ont besoin de personne pour survivre.

Alors comment vous à t – on conditionné ?

Vous à t – on longtemps appelé par votre expérience : divorcé ? Échec scolaire ? Drogué ?
Par votre apparence : la moche ? la grosse?
Par votre race : le nègre ?

Ou par votre handicap physique ou émotionnel ? Le bègue ? Le boiteux ? Le coléreux ? Le têtu ?
Même lorsqu’il s’agissait de plaisanteries sarcastiques, il est très probable que votre opinion de vous – même en a été affectée.

La société a une tendance impitoyable à nous classifier en fonction de notre histoire, notre témoignage, notre handicap, notre origine, notre sexe ou de notre couleur de peau.
Beaucoup d’enfants se sont fait appelé par leur comportement mais dire à un enfant qu’il est bête parce qu’il a fait une bêtise c’est l’appeler par son comportement c’est alors confondre l’identité à un événement.

Vous n’êtes pas ce que vous faites.

Les moqueries sur le sexe, la couleur de peau, les handicaps physiques ou mentaux ont tendance à dégrader l’estime personnelle. Lorsque vous êtes enfant vous ne choisissez pas vos parents ni votre couleur de peau ni votre lieu de naissance.
Si vous tombez sur des parents irresponsables qui ne savent pas vous nourrir de paroles d’encouragement de louanges d’appréciations et d’amour, vous grandissez avec un vide émotionnel qui vous conduira à rechercher votre validation auprès des autres ou qui vous conduira à devenir rebelle auprès de la société. Il est important de comprendre que chaque être humain possède un compte émotionnel ;

chaque geste d’amour, chaque parole positive de la part des parents crédite ce compte émotionnel que nous avons tous au-dedans de nous.

Chaque critique, chaque geste de haine ou d’indifférence débite le compte de celui qui le subit
Pour plusieurs ce compte émotionnel n’a jamais été alimenté, crédité depuis des années, ce qui engendre des sociétés contenant des Hommes remplit de haine d’insécurité, de peur, bref tous les ingrédients qui dégradent l’estime et la perception de soit.
Vous comprenez donc que votre perception du célibat, du mariage de la famille, de l’argent des enfants, des femmes des hommes des amis ; votre perception de l’éducation du travail de la religion et bien d’autres encore proviennent pour beaucoup des expériences de votre enfance.

Argent et religion : examinons par exemple votre perception de l’argent ;

la religion nous a souvent enseigné que l’argent est la racine de tous les mots associant ainsi le mot argent au mot mal. Pendant longtemps être financièrement confortable était perçu comme un signe d’extravagance et de danger qui pouvait hypothéquer vos chances d’aller au ciel : qu’est-ce que cela a produit inconsciemment en vous ? Une mauvaise image de l’argent et de la richesse
Dans la réalité nous voulons tous en acquérir mais de manière inconsciente nous faisons tout pour nous en débarrasser

Résultat : nous n’avons pas le désir ardent de devenir des créateurs de richesses pour la gloire de Dieu et pour l’avancement de l’humanité.

Nous avons tendance à faire le strict minimum pour note confort personnel et celui de notre famille nous nous contentons d’être employé pour la plupart au lieu d’être

Que se passe-t –il ?
Notre environnement nous a conditionnés et nous trouvons notre comportement normal.

Alors vous comment vous à t-on conditionné 

Vous pouvez répondre en commentaire et nous en débattrons.


Ma synthèse du Pleurer – rire

booknode.com

Au cours d’un entretien un journaliste demandait à Albert Camus « Dans l’œuvre d’art notamment l’œuvre littéraire à quelle valeur êtes-vous notamment le plus sensible » ?
– La vérité dit-il !!

Je vous expliquerai comment mon expérience de lecteur m’a permis de comprendre cette réponse. Et essayer d’expliquer comment celle-ci pourrait s’appliquer au roman le Pleurer rire d’Henri Lopès ?n’est-elle pas discutable ?

La valeur attribuée à l’œuvre littéraire singulièrement le roman dépend des écrivains. Bon nombres d’entre eux se sont présenté à ce sujet. C’est ainsi que s’inscrit Albert Camus qui au cours d’un entretien répondit que la vérité était pour lui la partie à laquelle il était le plus sensible.
Le Pleurer – rire est un roman dans lequel Henri Lopès fait la peinture de la société africaine précisément africaine de la période post coloniale.
Concernant les termes évoqués il s’agit de :
la dictature : elle est caractérisée par le tyran Bwaka Mabe ancien baroudeur devenu président à la faveur d’un coup d’état, il plonge le pays dans un régime dictatorial qui se caractérise par l’existence d’un seul parti « la révolution » et quiconque osait tenter un coup d’état signait son arrêt de mort tel a été le cas du colonel Haraka , du capitaine Yabaka ainsi que sa sœur qui était heureusement sauvée par la première dame du pays

Le tribalisme est caractérisé par l’opposition des djabotamas ethnie du président et les djassikinis. Bwaka Mabe n’aime être entouré que des siens et accordaient à ceux-ci les postes les plus favorables du gouvernement et il en était de même pour les bourses d’études favorables aux étudiants Djabotamas .

Chez Bwaka Mabe la violence est tant verbale que physique, il à l’injure au bout des lèvres, traite les femmes djassikinis de cuisse légère et on note aussi des appréciations arbitraires.
Nous pouvons ajouter
l’infidélité conjugale avec d’abord Monsieur le Président qui en dehors de son épouse légitime à une multitude de petites mamans.
*Maitre d’hôtel trompe Elengui avec Madame Serger Soukali et Edwige mais la relation qui nous intrigue le plus c’est celle de maitre d’hôtel avec Ma Mireille La première dame.
La presse est confisquée par le Président ; en effet au lieu de passer les informations l’éditorialiste de la presse locale « croix du sud » ne se contente qu’à faire des éloges en faveur de Bwaka Mabe.
La mégestion et la mégalomanie reflètent aussi le président. Pour l’inauguration des 21 villas il fait venir des Antilles une coiffeuse et de l’Italie un couturier, jette de l’argent dans les rues, vide les caisses de l’état les apportant avec lui lors de ses innombrables voyages.

Il est très acquis aux fétiches et dès le début du récit cela est prouvé avec le pouvoir litassa qui lui a été légué lors de son intronisation traditionnel au pouvoir ; il y a aussi l’existence d’un ministère des affaires traditionnelles.
Quant au temps et l’espace, ils sont réels. Il y a l’évocation de la période post – coloniale et des pays comme la France, la Bulgarie le Vietnam le Zaïre qui existe sur des cartes. Avec tous les faits évoqués nous pouvons affirmer que le Pleurer – rire est une œuvre dans laquelle l’auteur fait la peinture de la société ; cependant tout n’est pas vrai dans ce roman, on y trouve une part de fiction en commençant par les personnages qui ne sont que le fruit de la subjectivité de l’auteur.
Henri lopès l’affirme lui-même au début de son roman « non, tonton n’existe pas, ne peut exister de nos jour »
Le temps et l’espace sont fictifs, l’imparfait est partout hors celui-ci est un temps par excellence du récit donc qui relève de la fiction ; on a aussi des expressions comme « en ce temps-là » le temps n’est pas précis donc en quelque sorte imaginaire.
L’histoire se passe dans un pays imaginaire celle du règne de Bwaka Mabe, la capitale « Moundié » qui n’existe sur aucune carte
Enfin le burlesque caractérisé par le président ; il se fait appeler tonton, se livre à une danse érotique avec la première dame ; il a une expression moisie « avec moi pas de bla bla bla ».
Lors de la torture du capitaine yabaka il transforme la bouche de ce dernier en urinoir devant ses subalternes.
En définitive nous dirons que le Pleurer – rire est ambivalent, la part de vérité est partagée de même que celle de la fiction mais il n’en demeure pas moins vrai que c’est bien cette ambivalence qui fait toute la beauté de ce roman. L’œuvre littéraire doit bien lier l’utile à l’agréable car sa vrai nature demeure dans cette synthèse.


Arrête de croire que

Quand les masques tombent

Mais dites-moi qui me connait vraiment

J’ai perdu la notion du bien et du mal

A cause des jugements qu’ils portent sur moi

Pourtant tu trouveras de l’or en moi

Arrête de croire tout ce que tu vois en moi

Arrête de penser que je suis celle que tu crois

Limousine, major d’homme Crois-tu que cela est la recette du bonheur ?

Et l’amitié crois-tu que je ne connais pas ?

Défendre ce pour quoi je porte à cœur Te parait si absurde

Fragilité enfantillage Est – ce à ça que tu me résume ?

Je vaux mieux que ça

Il te faut juste creuser comme j’ai su le faire pour me découvrir

Parce que mon miroir c’est vous quand je dis « me » c’est de nous découvrir.


Pourquoi croient ils que?

On en a parfois marre de faire ce qui mettrai les gens à l’aise et au final pas nous

Pourquoi ne pas avoir le droit de faire un  choix ?

Pourquoi notre volonté serait toujours la 2ème option

Pourquoi croient – ils que nous sommes juste une jeunesse « de merde »

Pourquoi dans tout ce qu’on ferai il y’aurai toujours une part de « loucheté »

N’avons-nous donc pas une conscience ?

Ne pensons-nous pas à notre avenir ?

Ne voulons – nous pas devenir des cadres ?

J’aimerai avoir un jour des réponses aussi concrètes

Papa, maman ayez confiance

Je ne me proclame pas parfaite Ni la va nu pied que vous pensez C’est vrai j’ai mes défauts mais des qualités aussi Pensez-y toujours avant de croire que………….


Quelque part en Afrique

Quand j’avais 3 ans dans mon pays éclata une guerre dont je n’ai personnellement aucun souvenir
A force d’entendre divers témoignage je décidai alors de me tourner vers cet être qui pouvait tout me dire.
Voici un témoignage recueilli du tête à tête qu’il put m’accorder :
C’était un matin comme les autres
En me levant j’avais la visite de Brigitte Ma voisine elle voulait un peu de sous alors je lui donnai

Etant donné que c’était la paye Je me rendis donc au lieu de paye aux environs de midi
Avec tout le monde qu’il y avait jusqu’à 14h je n’étais pas encore servi

C’est à ce moment qu’il y a eu des tirs J’ai pris ça pour un banal coup de feu Mais j’ignorai à quel point ma vie et celle de tout mon pays allait basculer

Ma femme et mes 2gosses étaient à la maison C’est à eux que j’ai pensé ils étaient tout pour moi ; ils le sont toujours
Je m’empressais alors de prendre un taxi quand soudainement je remarquai qu’il n’avait plus aucun moyen de transport Juste une foule agitée qui courait dans tous les sens

Arrivé quelque part devant moi on abattait un colonel parce qu’il s’entêtait à traverser le front J’ai compris que la situation était plus que ce que je croyais

C’était la guerre

Je couru aussi vite que possible pour rejoindre a famille
On a insisté pendant trois jours mais après la situation empirait de plus en plus
Des obus ; des tirs ; des Chilka comme il le disait

Voir ma petite fille et mon garçon supporté cela était d’une telle atrocité que  je décidais de les faire voyager un peu plus à l’intérieur du pays

Je restais pour protéger ce qui nous restait la maison et autre C’est là que le pire commença Impossible de dormir

Pillage ; désordre, tueries, règlements de compte, exécution inexpliquée étaient au cœur de cette guerre
Il fallait jouer les gros durs Mais ce n’était pas moi, ça ne me ressemblai pas

Je partais de temps à autres rendre visite à ma famille dans le petit village où ils s’étaient réfugiés

Ce n’était pas facile à encaisser La situation a duré longtemps

C’est après 3mois qu’ils se décidaient de passerà l’offensive finale qui allait mettre fin à cet enfer infernal
Je décidai alors de quitter la ville Car ce n’était pas évident que je vive si je restais là-bas On était de nouveau ensemble

Le jour – J nous prions tous pour que ce soit les derniers coups de tirs ou d’obus ; roquettes

Une fois l’offensive terminée l’on n’avait jamais connu un tel silence

Le lendemain je décidais de repartir en ville Pour arranger notre chez nous afin de recevoir ma famille dans les
meilleures conditions que je pouvais

Me voilà à la gare après trois jours qui vois-je ? Ma famille ; je les serrai très fort dans mes  bras
On commença alors une nouvelle vie laissant le passé derrière nous Ça n’a pas été facile mais on a pu se reconstruire et être ce que nous sommes aujourd’hui.    


D’amour et d’âges

Adosblog.unblog.fr
Adosblog.unblog.fr

« L’amour n’a pas d’Age »
Voilà l’une des meilleures citations dans ce domaine aussi vaste que le monde.
J’ai pris l’habitude de souvent dire « je ne sortirai pas avec un garçon de tel ou tel âge)
Mais ce billet est inspiré d’une récente expérience personnelle
J’ai compris une chose ; c’est que :

Réellement ce n’est pas l’âge qui nous inquiète ou intrigue
C’est plutôt la maturité mais on ne s’en rend pas compte
Moi d’ailleurs il Ya à peine quelque semaines que je l’ai compris
Alors nous confondons âge et maturité
En amour nous avons besoin de cette personne intelligente, qui nous comprend qui sait entendre Qui a des ambitions etc…

Mais la plupart du temps nous pensons que ces critères ne sont à retrouver que chez des personnes plus âgées
D’où  cette façon irrationnelle de penser que nous ne pouvons se sentir bien qu’avec des personnes bien âgées comme je le dis souvent
L’âge n’a rien avoir 

C’est vrai qu’à 20 ans on ne peut s’aventurer avec un gamin de 15 ans

Mais je parle d’une relation 22 ans 24ans. Chose que je n’admettais pas auparavant.

Si vous avez un autre avis que mien mettez le commentaire On en discutera merci


Cri d’une Africaine

www.artvalue.com
www.artvalue.com

Pays démunis
filles aux grossesses précoces présidents dictateurs
Voilà de quoi est plus ou moins fait le cliché de la nation Africaine

Mais jusqu’à quand ?
Il est donné aux Africains même d’y remédier afin de protéger les futures générations.

Les protéger de cette image noire Obscure et sombre.
Moi je dis non
Non à cette Afrique des brigands
De ceux qui n’avancent pas
De ceux qui n’innovent pas
De ceux qui ne créent pas
De ceux qui n’ont pas de talents
On est un peuple comme tous les autres J’en ai marre qu’ils me disent de me comporter comme eux
Comme les autres
D’abandonner mes cultures pour m’y atteler aux siens
De renier mes origines
De me façonner à leur image
Je dis non à tout cela
L’Afrique rengorge de meilleures choses Il suffit de le présenter sous son meilleur jour
Confrères, consœurs, parce que mon miroir c’est vous ; soyez-vous – même soyez Africains.


Chez moi

Immonoclaste.canalblog com
Immonoclaste.canalblog com

Aisance, confort et tranquillité

Voilà comment je résume des fois chez moi

C’est quoi un chez soi?

Si d’aucuns définissent un chez soi par un toit ceci n’en est pas le cas pour moi

Aisance : Quand je suis chez moi je dois me sentir à l’aise
Pas parce que j’ai bien mangé
Pas parce que j’ai la plus belle maison qu’i soit
Juste parce que je sais que c’est chez moi
Confort :
Le confort n’est pas matériel Mais Psychologique
Chez moi c’est cet endroit où je peux tout faire
Là où je ne discute qu’avec ma conscience
Là où je peux crier et pleurer après avoir eu une dure journée
Là où personne ne me jugera
Ma bulle mon monde Voilà ce chez moi que je veux
Enfin la tranquillité
Chez moi c’est cet endroit tranquille ou personne ne me dicte quoi que se soit
Je suis le maitre des lieux
J’ordonne tout
L’unique entité avec  qui je collabore est la nature
Les limites sont fixées par moi
Comme vous.voilà c’est ça mon chez moi. Et le vôtre ?


Un mot pour la tabaski

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Unetoubabadakar.wordpress.com

Je me rappelle encore de la tête que faisait Yaya quand on a parlé ce matin On m’aura cru lors de l’ouverture de mon message m’annonçant mon admission pour mondoblog. La tabaski : Fête aussi grande que la Noëlle. Aujourd’hui est un grand jour pour tous les musulmans du monde Peu importe ce qu’on à L’humeur dans laquelle on se trouve Le mouton sera égorgé Cri de joie extase sentiment de bonheur sont au rendez – vous N’espérez pas pouvoir entrer dans une pâtisserie  et y trouver une place La ville est remplie Les musulmans sont en marche Leurs visage sont  ébloui et rayonne de beauté, Ils sont radieux et n’espère qu’une chose Faire en sorte que cette journée soit la meilleure qu’elle soit En espérant pouvoir manger un bon mouton Je vous souhaite à tous une joyeuse Tabaski.


Je voulais juste partir

Comme tous je voulais être libre
Libre de courir
Libre de crier; de ressentir ce froid dans mes cheveux et raviver mon être

Alors, j’avais cru que la meilleure solution était de partir
Je ne pense plus que c’était la meilleure
J’ai juste compris que fuir n’était pas toujours la bonne option

Comment j’en suis arrivé là ?
J’avais 4 ans il fallait que je sois protégée ; à 8 ans de même, mais à 18ans c’était différent
Je ressentais cette folle envie de vouloir me protéger
De prouver au monde entier que je pouvais me débrouiller
Mais seulement je ne pouvais pas, même si je le voulais de tout mon être
Il m’a fallu chercher pour arriver à mes fins

J’en ai eu plusieurs
Faire des crises d’épilepsie 3 à 4 fois par jour pour effrayer
Disparaître sans laisser de trace pendant 2 jours

 

Mais celle qui me donne des regrets
Un matin comme tous les autres je me rendis à l’école en période d’examens ;
Et oui c’est le bon moment pour le faire me disais-je. Seulement je n’avais pas d’argent j’ai dû emprunter 2 500F CFA à Marielle ; et je me rendis à Mavré :
S’il vous plaît je voudrais du valium
– Lequel précisément ? me répondit le pharmacien
– Perplexe je fus étant donné que je ne connaissais pas les différentes catégories : les plus forts (pourvu que ça marche)
– Mais sans ordonnance nous ne pouvons rien
– S’il vous plaît monsieur, il m’en faut vraiment
– Il me regarda profondément et dit : « vous êtes belle, jeune, ne gâchez pas votre vie s’il vous plaît »
Je m’en moquais, ce qui m’importait moi, c’était d’aller au bout de mon acte.
Je pris le paquet et me rendis dans une boutique à quelques mètres de mon établissement. Très vite, à jeun j’avalai tous les comprimés. J’ai eu l’impression que mon cœur allait exploser.
C’est fait, ça y est je n’ai plus qu’à attendre le résultat.
Je suis retournée en classe pour composer. Au bout de 5 min l’effet commençait à se faire sentir…………………………………………………………………… noir complet (juste des cris : prenez un taxi ; prenez son téléphone ; appelez ses parents)……………………………………………………….
Me voici sur un lit d’hôpital ; maman à mon chevet me regardant d’un air soucieux, elle ne dit mot. Je suis rentrée chez moi après une journée d’observation.
Je puis juste dire : je voulais juste partir, je voulais juste être libre.
Parce que mon miroir c’est vous ; ce billet me concerne et quand je dis  « me » c’est tous ceux qui ont eu besoin de cette liberté.


Mon Congo, mon nord mon sud

 

Drapeau congolais
Drapeau congolais

Je suis du Nord mais Ce n’est qu’une d’orientation ; rien de plus.
Congo tu es un ;Tu es tout.

Le 05 juin 1997 ; éclata au Congo une guerre civile opposant le nord et le Sud et dont nous nous efforçons chaque jour de notre vie de tourner la page (la mienne est tournée). Ne vivons pas dans le passé (rire).
Cette guerre était cette guerre. Le nord, le Sud n’étaient que des prétextes parce que Nul n’était l’existence des points cardinaux ; nous ne saurions certainement pas faire cette différence. Cette guerre opposait juste deux parties désireux du pouvoir.
Hélas certains de mes confrères et consœurs n’ont jamais compris cela ; pense que c’est un problème du Nord-Sud et ont évolué dans cette optique voyant ainsi les uns ou les autres comme leurs pires ennemis.
Indigné de voir cette grande différence régner entre les peuples de chez moi je me demande :
Le nord et le sud ? Qu’en est – il exactement ?
Premièrement : des points cardinaux (bien sûr, nous le savons tous)
Ensuite juste deux parties d’un seul pays.
Alors pourquoi cette différence ?
Intriguée je suis
Moi sudiste quand je vois, quand j’entends et quand je sens qu’un « taximen » habitant la partie nord refuser d’aller dans un arrondissement du sud sous prétexte que les gens sont sauvages
Sous prétexte qu’ils ne vous aiment pas
Sous prétexte que…………….voilà ils manquent même des mots pour ne dire que « je n’irai pas » j’ai une goutte de larme profonde ;
Moi nordiste quand je vois, quand j’entends et quand je sens que qu’un citoyen sudiste ne peut emménager dans le nord sous prétexte qu’il se sent en insécurité j’ai une autre goutte de larme profonde.
Quand j’associe ces larmes cela ne forme qu’une larme,pas deux larmes pour le nord et le sud une larme très profonde pour mon pays ; .

Alors aidez-moi à dire NON.
NON au nord, NON au sud. nous sommes le Congo