Cameroun : un mois de lutte contre le sida
Pour marquer la lutte contre le VIH, le Cameroun se joint à la communauté internationale pour commémorer la Journée internationale de lutte contre cette maladie.
La Camerounaise Djaïli Amadou Amal a remporté le Prix Goncourt des lycéens 2020, grâce à son roman « Les Impatientes ». Ce n’est pas tous les jours qu’une écrivaine camerounaise peut être célébrée dans un pays où la culture littéraire n’est pas assez développée.
L’environnement a besoin d’être protégé. Au Cameroun, des organisations de jeunesse, comme l’AJVC (Association Jeunesse Verte du Cameroun) de la société civile opérant dans le secteur de l’environnement et forêt jouent un rôle crucial. Ils servent de pont entre les communautés et le gouvernement. C’est ainsi qu’ils proposent des solutions et des mécanismes innovants visant l’implication et la participation de cette couche sociale dans la problématique de protection de la…
Ce sommet est une occasion pour le blogueur de se positionner comme un acteur de développement économique.
Le gouvernement camerounais n’a pas réagi comme il le devait à la crise sanitaire, et les Camerounais n’ont pu compter que sur eux-mêmes. Et de nombreux partis politiques ont tenté de tirer leur épingle du jeu.
Le samedi 24 octobre 2020 restera dans les mémoires au Cameroun. Ce jour où des enfants ont été brutalement arrachés à la vie dans leur salle de classe, dans ce qu’on peut qualifier de massacre de Kumba. L’éducation, un droit pour eux, c’est tout simplement ce que ces enfants recherchaient.
« L’eau, c’est la vie ; l’eau, c’est la mort » a-t-on coutume de dire. Avec la montée des eaux du fleuve Chari, les frontières deviennent incontrôlables par les autorités tchadiennes. Entre noyade et trafic clandestin, cette montée des eaux créé des pertes de vies humaines.
Le métier de chauffeurs poids lourds reste à ce jour un métier de tous les risques. Entre les routes extrêmement dégradées et les tracasseries douanières se niche un système de traitement salarial des plus indignes. Les chauffeurs de gros porteurs, les chauffeurs de l’extrême ?
Sous formes de rumeur, canular, propagande, théorie du complot, faits interprétés par des alternatifs ou des extrémistes… Les « fake news » connaissent curieusement un succès inquiétant au Cameroun. Les Camerounais en raffolent. Ils les adorent. Ils en ont font leur dada. Mais pourquoi ?
Au Cameroun on gagnerait à se dire les choses en face. Ce que les Camerounais attendent des experts - ces intellectuels camerounais, passés maîtres dans l’art de boucher les trous quand il s’agit de décrypter la situation de notre pays - c’est de l’objectivité. Qu’ils mettent leurs titres ronflants en valeur pour nous servir de vraies analyses. Qu’ils oublient leur mauvaise foi, il en va de leur crédibilité. Mais le peuvent-ils ? S’ils analysaient honnêtement la réalité du pays, peut-être que pour eux, les problèmes commenceraient…
Deux jours avant la manifestation du 22 septembre initiée par le MRC et les partis d’opposition au Cameroun, je me suis rendu à Yaoundé pour rejoindre le Kenya en avion. J’ai réalisé que je viens de ce pays où on n’a pas le droit de pleurer. Étouffer les sons d’un peuple, c’est encourager sa révolte.
La Société camerounaise de raffinage (SRC) Maya, entreprise agro-industrielle spécialisée dans la transformation des huiles végétales, dont Socapalm est l’un des fournisseurs, s’est fait interpellée, dans une correspondance adressée le 21 septembre, par la Synergie nationale des paysans et riverains du Cameroun (Synaparcam). Cette dernière appelle à la contribution et à la responsabilité sociétale de l’entreprise.