15 figures méconnues de l’histoire des noirs (partie 2)
L'histoire des noirs n'a pas débuté à l'arrivée des colons. Elle est grande, longue... Les figures que je vous propose ici sont choisies arbitrairement.
C'est triste d'être adulte en fait : on arrive à comprendre pourquoi, dans un contexte politico-sociolo-culturelo-(...) des massacres peuvent être commis. Mais les enfants, eux, ça ne leur dit rien, ça reste incompréhensible.
Je cherche un moyen d'expliquer l'inexplicable à mes enfants : pourquoi des frères et des sœurs décident de tuer leurs propres frères et leurs propres sœurs pour une idéologie, pour un dogme, pour rien d'objectif, en fait ? Je vous propose de m'accompagner dans ma réflexion afin de trouver une manière d'expliquer à mes enfants l'inexplicable.
Chacun des mots transporte une émotion, c’est réel et on est facilement transporté au Rwanda en plein génocide. Le génocide nous est conté de manière franche et sincère. Pas d’édulcorants, ni d’ajouts. Seulement le témoignage d’une victime qui a vécu le pire mais qui a rencontré Dieu au milieu de ces ténèbres.
Je fais partie de ce que j'appellerai aujourd'hui la Génération Kaya : ces millenials qui étaient encore sur les bancs de l'école en février 1999, lors de la mort du seggaeman. Le décès de Kaya, vraisemblablement victime de violence policière, ainsi que les émeutes qui en ont découlé ont été un profond traumatisme pour l'Ile Maurice.
Quand j’étais encore tout petit, on nous avait enseigné que « L’Histoire est la connaissance du passé basée sur les écritures ». Mais depuis que j’ai un peu vieilli, je n’arrive pas à comprendre pourquoi est-ce que les Camerounais ne se sont jamais réellement intéressés à leur Histoire.
On se souvient presque tous de ce que l’on faisait, ce fameux 11 septembre 2001, en apprenant que deux avions s’étaient encastrés dans les tours jumelles du World Trade Center. La réalité était bel et bien là, en breaking news, sur nos écrans. Ce serait faux de dire que ce jour ne m’a pas marquée, si bien que l’un des tous premiers lieux que j’ai visité, maintenant que je vis à New York, fut le "9/11 Memorial".
La langue est un instrument politique. Celui qui définit la langue définit bien plus encore que le pouvoir : il définit qui parle et qui se tait, qui mérite d’être entendu et qui n’est bon qu’à susciter le rire, le mépris ou l’indignation.