Les blogueurs et blogueuses de la plateforme Mondoblog

Mondoblog regroupe près de 1.000 blogueuses et blogueurs francophones dispersés sur les cinq continents.

Avatar photoHarouna Neya

Blogueur | Journaliste critique d'art | Rédacteur web | Cinéaste documentariste | Éducateur aux médias | Rédacteur radio | Chroniqueur radio | Reporter radio |Journaliste Reporter de Son (JRS) | Communication culturelle | Community manager |

- Lauréat de science film festival 2023 (Burkina Faso)
|- Lauréat de clap Assainissement 2022(Afrique francophone)
|- Prix du jury du prix No'oculture de la critique d'art en Afrique 2023|

Avatar photoYenga Fazili wã Biregeya

Ex rappeur perdu dans les méandres des sciences de la nature, Yenga Fazili wã Biregeya est CEO à PyraCom. Journaliste Correspondant de différents médias à travers l'Afrique . Mondoblogueur-Rfi. Chercheur au CERCLECAD basé à Ottawa et libre penseur.

avatar for Aboudramane konéAboudramane koné

j'ai
soigné les hommes. Plus ils guérissaient, plus ma société se portait
mal. Alors je décidai de soigner le corps des hommes et de parler à la
conscience de ma société. Je suis médecin-blogueur.

avatar for mamoumamou

Mon nom est Mariam Aganze et pour les intimes Mamou. Je suis une bloggeuse indépendante d'origine congolaise(RDC). J'aime écrire, surtout écrire des billets sur mon pays la RDC .J'ai l'espoir que tout est encore possible pour une nouvelle RDC.

avatar for Arnaud BOCCOArnaud BOCCO

Passionné de l'actualité, j'aime également manier la langue française. En outre, je suis juriste en gestation. Repousser indéfiniment les limites du possible et mythifier l'impossible, telle est la mission, le sacerdoce de notre génération.

avatar for georgeskouamegeorgeskouame

Enseignant de philosophie, l'éducation est mon métier; le blog est mon outils d'ouverture au monde.

Avatar photoEdmond NANOUKON

"Dans notre société, l'opposé du courage n'est pas la lâcheté... C'est la conformité - les humains agissent comme n'importe quel autre humain, sans savoir pourquoi ni là où ils vont". - Rollo May

avatar for lafriqueauvertlafriqueauvert

Sous la plume d'un "reporter-citoyen du monde". En tant que citoyen, je suis curieux et je désire prendre des nouvelles du monde. En tant que reporter, j'aime transmettre ce que je sais et donner des nouvelles du monde. J'aimerais parvenir à synthétiser ces deux facettes, qui conjuguées dessinent les contours du passeur d'histoires, du conteur, du quêteur de vérités (toujours plurielles). Simple intermédiaire, simple médiateur, j'aime informer à partir de ce que je vois et ressens sur le terrain. J'essaie de décrire les faits le plus fidèlement possible, et je n'hésite pas à dénoncer les manipulations et les détournements dont l'information (qui sur le temps long accouchera de l'Histoire) est victime en permanence. Surtout en temps de conflits, lorsque les enjeux économiques et géostratégiques enflent à la mesure des appétits des industriels et des vendeurs d'armes.
Avec le temps, les porteurs de missives disparaissent, mais les messages restent, fût-ce sur la toile éphémère du web. Simples anonymes, nous empruntons des pseudonymes pour écrire sur le monde. Nous laissons une seconde vagabonder nos rimes au-dessus de l'abîme, pour le plaisir que s'y fécondent des pensées sublimes ou immondes. Le temps d'un article, d'une image, d'une rencontre, d'un regard, d'un sourire, c'est selon.

Mon rapport à l'Afrique francophone ? Passionné et nomade, comme tous les amours à distance. La porte d'entrée ? La méditerranée, de naissance. Marseille comme port d'attache, comme tout marin j'y reviens mais j'en repars toujours. Premier cap l'Algérie, où mes arrières-grands parents espagnols émigrèrent pour trouver une vie meilleure. Tiens tiens, l'exil à toutes les sauces. Au Niger, enfant, la découverte du désert, prélude de bourlingages sahariens (Mauritanie, Mali, Algérie, Tunisie) suivis d'autres pérégrinations, toujours en Afrique de l'Ouest (Sénégal, Guinée, Cap-Vert). Aujourd'hui, je pars au pays des hommes intègres, au Burkina Faso, où le pan-africanisme socialiste a été tué dans l’œuf en 1987 lors de l'assassinat de Thomas Sankara. Coup du sort, il m'a été confié d'y poursuivre l’œuvre d'un énergique bonhomme, que Sankara peu avant sa mort avait chargé de développer le modèle agro-écologique sur tout le territoire burkinabé. L'héritage se transmet, les combats se recyclent, l'histoire continue. Attendez-moi, j'arrive.